25 août 2007

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TUNISNEWS
8 ème année, N° 2650 du 25.08.2007

 archives : www.tunisnews.net

 

LTDH: Communiqué C.R.L.D.H.  Tunisie: Le zèle mesquin et inquisitoire du pouvoir policier en Tunisie FTCR: encore une fois la police tunisienne harcele ses citoyens Communiqué de la FTCR aux sans-papiers à Lille AFP: Tunisie: un journaliste agressé par des policiers en civil (RSF) AFP: L’avocat dissident Mohamed Abbou interdit de quitter la Tunisie Associated Press:Tunisie: l’avocat dissident Mohamed Abbou empêché de voyager AFP:Tunisie: Berlusconi rencontre Ben Ali, visite ses studios de cinéma Les syndicalistes démocrates et militants dans le point de mire d’une alliance contre nature entre la bureaucratie syndicale et le pouvoir politique KBAILI. N : syndicaliste:L’UGTT mobilise ses sbires pour exercer du chantage sur les syndicalistes militants…..


 

Ligue Tunisienne pour la défense des Droits de l’Homme Tunis le, 21 Août 2007 Communiqué
 
La Ligue Tunisienne pour la défense des Droits de l’Homme ( LTDH ) a appris avec consternation l’arrestation par les autorités italiennes le 8 août 2007 de sept pêcheurs tunisiens  et leur traduction en justice  sous le chef d’inculpation de favoriser l’immigration clandestine, ils comparaîtrons  le mercredi 22 août 2007 devant le tribunal d’Agrigente . Le seul «  tort » de ces pêcheurs  c’est d’avoir porter secours,(après en avoir avisé les autorités italiennes et tunisiennes et attendu l’arrivée des secours) à quarante-quatre personnes (dont deux enfants et onze femmes  parmi lesquelles deux enceintes)  qui étais à bord d’une embarcation gonflable qui chavirait à quelque  douze milles des côtes de l’île italienne  de Lampedusa .  Les pêcheurs , ne voyant pas les secours arriver ,ont embarqué les naufragés à bord de leur deux bateaux de pêche ( le « Mortdha » et le « Mohammed Elhedi ») et se sont diriger vers le port sûr le plus proche  comme l’exige la législation et les usages maritimes. En arrivant à Lampedusa les sept pêcheurs ont été arrêtés , inculpés et mis en détention ,les deux bateaux de pêche ont été arraisonnes par les autorités italiennes.  La LTDH  dénonce l’arrestation et la traduction en justice des sept  pêcheurs  et demande leur libération immédiate et l’arrêt des poursuites engagés contre eux, ainsi  que la libération des deux bateaux arraisonnés . Demande aux autorités tunisiennes de porter assistance aux  pêcheurs , les défendre et demander leur libération immédiate. Rappelle que le fait de porter secours à des personnes en danger n’est pas seulement un devoir humain ,mais aussi  une obligation légale ,et que de ce fait les marins tunisiens  auraient du être félicités au lieu d’être arrêtes et traduits en justice.         Le Président de la LTDH  Mokhtar TRIFI


C.R.L.D.H.  Tunisie Comité pour le Respect des Libertés et des Droits de l’Homme en Tunisie membre du Réseau Euro-méditerranéen des Droits de l’Homme   21ter rue Voltaire – F-75011 PARIS – Tel/Fax : +33 (0)1.43.72.97.34 contact@crldht.org / www.crldht.org  

Communiqué Le zèle mesquin et inquisitoire du pouvoir policier en Tunisie

  Monsieur Taoufik MEZNI, frère de M. Kamel JENDOUBI, président du REMDH et du CRLDHT, a été empêché ce matin de regagner la France, son pays de résidence depuis plus de sept ans. Il a été avisé par la police de l’aéroport de Tunis-Carthage, qui lui a retiré le passeport, qu’il doit attendre les instructions le concernant et qu’il ne peut donc prendre le vol de Tunis Air de 9h. Il a enfin pu prendre celui de 15h après donc six heures d’attente.   Ce n’est malheureusement pas la première fois que M. MEZNI est victime de telles provocations. Il a été déjà intimidé à son arrivée, début août lorsqu’il a été interrogé sur ses liens (sic !)  avec son frère Kamel Jendoubi. L’an dernier, on l’a contraint à passer une partie de la nuit à l’aéroport de Tunis Carthage avant d’être autorisé à le quitter pour retrouver sa famille à Tunis.   La chose peut paraître «futile» ou encore «anecdotique» au regard de ce qu’endurent celles et ceux qui ont le courage de dénoncer l’arbitraire des autorités tunisiennes. Ceci n’est pas une raison pour la passer sous silence. Bien au contraire. Car de telles comportements participent de ces tracasseries multiples et incessantes que les autorités se permettent en toute impunité, illustrant continûment l’inexistence de tout Etat de droit.    Taoufik MEZNI est un honnête citoyen tunisien qui vit régulièrement en France depuis plusieurs années. Il n’a jamais eu d’activités politiques, ni en Tunisie, ni en France. Il est tracassé et humilié uniquement parce qu’il est le frère de Kamel JENDOUBI.   Cet empêchement inadmissible dénote du zèle mesquin et inquisitoire d’un régime policier qui intimide avec lâcheté des citoyens paisibles dans le but d’exercer des pressions sur leurs proches, opposants ou défenseurs des droits humains.   Le CRLDHT considère ces méthodes, qu’il dénonce avec vigueur, comme faisant partie de la panoplie des actions répressives qui se combinent avec celles, musclées et violentes, exercées notamment contre les journalistes, les avocats, les syndicalistes, les opposants et les défenseurs des droits humains en vue de  propager la peur et d’imposer le silence et la résignation à l’ensemble de la société tunisienne.   Paris, le 25 août 2007.


FEDERATION DES TUNISIENS POUR UNE CITOYENNETE DES DEUX RIVES COMMUNIQUE ENCORE UNE FOIS LA POLICE TUNISIENNE HARCELE SES CITOYENS

 
Pour la troisième année consécutive la police tunisienne harcèle M Taoufik EL MEZNI durant ses vacances en Tunisie. Chaque année lors de se son retour en Tunisie, il est illégalement interpellé pendant des heures. Cette année elle lui a carrément retiré son passeport l’empêchant ainsi de reprendre son travail en France. Les seuls reproches et les seules questions qui lui sont adressés tournent autour de son Frère Kamel JENDOUBI, militant des droits de l’homme, président du comité pour le respect des libertés et des droits de l’homme en Tunisie (C.R.L.D.H.T) ainsi que du réseau euro-méditérranéen des droits de l’homme. Kamel JENDOUBI lui-même ne peut se rendre dans son pays natal car les autorités tunisiennes refusent arbitrairement de lui donner son passeport. Rien n’y fait malgré les campagnes de dénonciations et la réprobation international, le gouvernement tunisien continue de fouler aux pieds les libertés et le respect des plus élémentaires des droits de l’homme. Il malmène et harcèle les familles des militants tunisiens en vue de les intimider et de les réduire silence. La FTCR dénonce ces pratiques attentatoires aux droits de l’homme et demande la restitution immédiate du passeport de Taoufik EL MEZNI et l’arrêt du harcèlement de la police à son encontre. La FTCR demande au gouvernement tunisien de respecter ses engagements en matière de liberté de circulation des ressortissants tunisiens et de respect des droits de l’homme. Paris le 25 août 2007
Le bureau fédéral de la FTCR


 

Fédération des Tunisiens pour une Citoyenneté des deux Rives Association nationale loi 1901 3 rue de Nantes 75019 Paris Tél : 00 33 (0)1 46 07 54 04 Fax : 00 33 (0)1 4034 18 15 Courriel : ftcr2@wanadoo.fr

Communiqué de la FTCR aux sans-papiers à Lille

 

 
La fédération des tunisiens pour une citoyenneté des deux rives suit  avec beaucoup d’inquiétude  l’évolution de la grève de la faim entamée depuis le 15 juin dernier par les sans-papiers à Lille. La FTCR qui n’a cessé d’appeler à la régularisation de tous les sans papiers, apporte un soutien indéfectible aux sans-papiers grévistes  de la faim, au CSP 59 et à tous les militants engagés dans cette cause. Elle s’insurge contre les pratiques dégradantes subies par les grévistes de la faim et les méthodes musclées et inhumaines employées par les  forces de police à Lille sous l’égide du préfet Daniel CANEPA, conformément  à la politique du président Sarkozy et de son gouvernement. La FTCR exige l’arrêt des interpellations des grévistes de la faim,  la libération de ceux qui ont été conduits dans des lieux  d’enfermement aisi que l’arrêt des expulsions. La FTCR considère que la seule issue à même d’éviter des  conséquences dramatiques est la régularisation de tous les sans papiers concernés  et en particulier les grévistes de la faim. Elle fait porter la  responsabilité de toute évolution négative à l’entêtement des autorités  préfectorales. La FTCR réitère son  soutien aux grévistes de la faim et appelle à  une régularisation de tous les sans papiers.   Paris le 22.8.07


 Tunisie: un journaliste agressé par des policiers en civil (RSF)

AFP, vendredi 24 août 2007
PARIS – Un journaliste de la chaîne de télévision satellitaire privée tunisienne Al-Hiwar Attounsi, Aymen Rezgui, a été agressé vendredi à Tunis par des policiers en civil, a affirmé vendredi soir Reporters sans frontières (RSF) dans un communiqué. Selon l’organisation de défense de la liberté de la presse, le journaliste « sortait d’une conférence de presse tenue par le Parti démocrate progressiste (PDP, opposition) dans ses locaux en plein centre-ville, lorsqu’il a été agressé par une dizaine de policiers en civil ». Aymen Rezgui « a été blessé à la main. Sa caméra ainsi que toutes ses notes ont été confisquées », ajoute RSF en précisant que « ce n’est pas la première fois qu’il se fait agresser et confisquer son matériel ». « Cette nouvelle agression témoigne de la volonté réelle des autorités tunisiennes d’empêcher les journalistes indépendants de travailler. A l’instar d’Aymen Rezgui, ces journalistes sont sans cesse surveillés et harcelés », déclare l’organisation, « indignée » par cet incident qui « s’est produit en plein jour, devant de nombreux témoins ».

L’avocat dissident Mohamed Abbou interdit de quitter la Tunisie

AFP, le 24  août 2007 à 20h34

TUNIS – Les autorités tunisiennes ont interdit vendredi l’avocat dissident tunisien Mohamed Abbou, libéré récemment, de quitter la Tunisie, invoquent des « garanties juridiques » liées à sa libération conditionnelle. Me Abbou a indiqué à l’AFP qu’il avait été refoulé vendredi à l’aéroport de Tunis-Carthage au moment où il s’apprêtait à s’envoler pour Londres, où il devait enregistrer une émission dans les studios de la chaîne Al-Jazira sur la liberté d’expression et les droits de l’Hommme. Selon les autorités l’avocat était « dans l’impossibilité de voyager » en raison des « garanties juridiques » entourant sa libération conditionnelle. « Des mesures nécessitant sa présence sur le territoire pendant la période de probation, M. Abbou a été informé qu’il ne pouvait quitter le territoire avant que sa libération n’acquière un caractère définitif », a-t-on indiqué de source officielle. « J’ai effectué toutes les procédures relatives au voyage mais la police m’a refoulé à l’aéroport quelques minutes avant le vol », a précisé l’avocat à l’AFP, dénonçant un « prétexte fallacieux » visant à l’empêcher de « s’exprimer ». Il avait déclaré mercredi que l’argent destiné à couvrir les frais d’un séjour à Paris à l’invitation de l’association des droits de l’Homme Frontline (Dublin) a été détourné. Me Abbou, 41 ans, a été gracié le 24 juillet dernier à la veille de la fête nationale de la République par le président tunisien Zine El Abidine Ben Ali, après 16 mois de prison. Il avait été condamné en 2005 à trois ans et demi de prison, dans deux affaires séparées, notamment pour « diffamation des autorités judiciaires » et « diffusion de fausses nouvelles », et pour « violence contre une avocate ». Sa condamnation intervenait après la publication d’un article sur internet, dans lequel l’avocat comparait la torture pratiquée dans les lieux de détention en Tunisie aux sévices exercés par des Américains dans la prison d’Abou Ghraïb, en Irak. AFP

Tunisie: l’avocat dissident Mohamed Abbou empêché de voyager

Associated Press, le 24 août 2007 à 17h56  
 TUNIS (AP) — L’avocat dissident tunisien Mohamed Abbou, qui vient d’être libéré, dit avoir été empêché de voyager vendredi. Selon son épouse Samia Abbou, il devait prendre l’avion pour Londres pour participer à une émission de la chaîne satellitaire Al-Jazira sur la liberté d’expression et les droits de l’Homme.  « Nous sommes à l’aéroport de Tunis-Carthage où mon mari se trouve bloqué, les autorités lui ayant signifié qu’étant en liberté conditionnelle, il ne lui était pas permis de quitter le territoire », a déclaré Mme Abbou à l’Associated Press. L’avocat conteste cette interprétation du droit.  Dans un communiqué, le gouvernement déclare que Me Abbou « avait bénéficié d’une mesure de libération conditionnelle et que, conformément à la loi, il était en période probatoire jusqu’au terme de la peine qui avait été prononcée à son encontre ». Aussi, le conseil « ne peut quitter le territoire tunisien avant que sa libération n’acquière un caractère définitif, et ce au terme de la période qui lui restait à purger ».  Condamné en mars 2005 à trois ans et demi d’emprisonnement à la suite de la publication sur Internet d’articles critiques envers le pouvoir et pour l' »agression » d’une consoeur, l’avocat avait purgé 16 mois de prison avant sa libération.  Deux jours auparavant, l’avocat avait dénoncé ce qu’il avait qualifié de « machination » visant à l’empêcher de se rendre à Paris avec sa famille, à l’invitation de l’association des droits de l’Homme Front Line basée à Dublin. De l’argent déposé au nom de son épouse pour couvrir les frais du voyage aurait été dérobé au bureau de poste principal de Tunis. Les autorités ont affirmé « ne pas être au courant » d’un tel incident. Associated Press


Tunisie: Berlusconi rencontre Ben Ali, visite ses studios de cinéma

 
AFP, le 25 août 2007 à 16h44
TUNIS, 25 août 2007 (AFP) – L’ancien Premier ministre italien  Silvio Berlusconi a effectué une courte visite en Tunisie au cours  de laquelle il a rencontré le président Zine El Abidine Ben Ali et  visité ses studios de cinéma, a-t-on appris samedi de source  diplomatique. Durant ce séjour à caractère privé effectué jeudi dernier, M.  Berlusconi a été l’hôte du président Zine El Abidine Ben Ali et  s’est rendu dans la station balnéaire d’Hammamet, où il est  copropriétaire de studios cinématographiques avec le producteur et  riche hommes d’affaires Tarak Ben Ammar. MM. Berlusconi et Ben Ammar sont associés dans « Quanta  communication », qui gère aussi des studios à Rome (Italie). La  société, dirigée par M. Ben Ammar, a aussi aménagé un laboratoire de  post-production à Gammarth, sur le littoral nord de Tunis. L’agence italienne Ansa avait indiqué que l’ancien Premier  ministre avait quitté jeudi la Sardaigne, où il passait ses  vacances, pour se rendre en Tunisie afin d’y rencontrer le président  Zine El Abidine Ben Ali, son ami de longue date. L’actuel chef de l’opposition italienne a été au pouvoir à deux reprises en 1994 puis de 2001 à avril 2006.   AFP


Voici le numéro 76 d’Elkhadra.BONNE LECTURE. ****************************************

N’appartient à personne!

Par Nouha http://elkhadra.over-blog.com/article-7062111.html ***************************************** VIEILLES CANAILLES. Par Biju. http://elkhadra.over-blog.com/article-7061344.html ********************

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COEUR DE L’ÂME.

Par Bilel http://elkhadra.over-blog.com/article-7061105.html ******************************** CHRONIQUES PALESTINIENNES http://elkhadra.over-blog.com/article-7058236.html ********************* ARABESQUE. http://elkhadra.over-blog.com/article-7052747.html **********************************

ISLAM ON LIGNE

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KIPPA à pointe 5

Par DERBALI http://elkhadra.over-blog.com/article-7041847.html *****************************

Panique sur les marchés financiers

Sur le forum d’ELKHADRA http://elkhadra.aceboard.fr/271939-7119-1991-0-Panique-marches-financiers.htm http://elkhadra.over-blog.com/article-7041689.html *************************

LES ARABES AUX USA

http://elkhadra.over-blog.com/article-7039861.html ********************

Je suis pour le terrorisme

Nizar Qabbani http://elkhadra.over-blog.com/article-7035488.html  


L’UGTT mobilise ses sbires pour exercer du chantage sur les syndicalistes militants…..

 
Par : KBAILI. N : syndicaliste Au moment ou de plus en plus de syndicalistes se mobilisent pour lutter contre la tendance affichée par les membres du bureau exécutif à « confisquer » les prérogatives des syndicats sectoriels et de base et contre la démarche antidémocratique et autoritaire qui va jusqu’à essayer de faire avorter les luttes des syndicats par les compagnes de dénigrement de contre propagande et même par la force et le chantage l’UGTT vient d’accélérer le rythme en lançant ses sbires ( la commission national de discipline de Ali Romdhane ) à la trousse des syndicalistes dans toutes les régions du pays écartant ainsi les conseils de disciplines régional et prétendant ne faire que « des enquêtes ou investigations de routine » (sic…même l’UGTT commence à avoir ses enquêtes comme la police !!!!!!). Mais personne n’ignore, sur la place de Med Ali, que c’est le secrétaire général de l’UGTT (Abdesselem Jrad) lui même qui tient à « donner une leçon » à certains syndicalistes militants de tout bords pour avoir refusé d’arrêter leurs mouvements de lutte après son engagement personnel vis à vis du pouvoir, et pour avoir employé des slogans qui rappellent sa trahison par rapport aux revendications des travailleurs et son appui aux choix politiques et économiques du pouvoir en place. Beaucoup de syndicalistes commencent à crier au scandale à propos de ce que A.Jrad est entrain de raconter en privée pour justifier son acharnement qui a touché les syndicalistes militants de plusieurs régions et secteurs :  » ils m’ont insulté et diffamé….. » dit-il rappelant tristement les épisodes sombres ou le pouvoir a usé du même argument pour arrêter les militants (diffamation envers le président ou le pouvoir politique comme pour l’avocat Med Abbou) et poussant les syndicalistes à rappeler au « camarade ! » jrad que l’UGTT défend la démocratie et la liberté d’expression et que même s’il devient  » gâteux  »  à force de se l’avoir coulé douce lui l’ancien simple ouvrier du secteur du transport il ne doit pas s’imaginer qu’il devient « Roi » à force d’avoir concentré les pouvoirs entre ses mains et il qu’il peut désormais invoquer le crime de  » Lèse majesté » !!!!! Rappelant que le mouvement de traduction en masse devant le conseil de discipline de l’UGTT a touché tous les secteurs et régions dont la région de Béja (sur le groupe qui est passé devant le conseil de discipline deux, soit le secrétaire général et le secrétaire général adjoint du syndicat régional de la santé, ont déjà été limogés et ont perdu leurs responsabilité syndicales avec l’accord de jrad) de Gafsa, du Kasserine, de Tunis, de Ben Arous de l’Ariana de Mannouba. En outre, on croit savoir que ce mouvement va se poursuivre au cours des jours à venir.  

 


 

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