4 janvier 2009

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TUNISNEWS

8 ème année, N° 3148 du 04.01.2009

 archives : www.tunisnews.net  


 

Reporters sans frontières : Tunisie : des journalistes indépendants victimes du harcèlement des autorités AFP: Tunisie: nouveau report des audiences au procès d’Al-Mawkif Slim Bagga: Ineptie d’etat et affaire de famille Hannibal Le Carthaginois : Me Radhia Nasraoui serait-elle candidate au prix Nobel ? Moncef ZID: Le Génocide de Gaza est le début de  déclin de la civilisation occidentale


Liste actualisée des signataires de l’initiative du Droit de Retour : http://www.manfiyoun.net/fr/listfr.html Celles et Ceux qui veulent signer cet appel sont invités à envoyer leur: Nom, Pays de résidence et Année de sortie de la Tunisie sur le mél de l’initiative : manfiyoun@gmail.com
 
 


Tunisie : des journalistes indépendants victimes du harcèlement des autorités

Reporters sans frontières dénonce le comportement des autorités tunisiennes envers plusieurs journalistes indépendants en Tunisie, notamment lors de la couverture d’une manifestation pacifique protestant contre les attaques israéliennes sur la bande de Gaza, le 30 décembre 2008. Trois journalistes ont été agressés le 30 décembre 2008, alors qu’ils étaient en train de couvrir une manifestation pacifique organisée par le Parti démocratique progressiste tunisien. Lotfi Hajji, correspondant de la chaîne qatarie Al-Jazira a été brutalement agressé par des policiers en civil. Ses lunettes ont été brisées. Ismail Debara, correspondant du site d’information Elaph et membre de rédaction de l’hebdomadaire Al-Maoukif, a été agressé et insulté. Selon le journaliste, les policiers l’ont menacé de s’en prendre physiquement à lui. Son téléphone portable, ainsi que son portefeuille et ses papiers personnels, ont été saisis de force. Mohammed Al Hamlouny, correspondant du journal qatari Al-Arab et journaliste à Al-Maoukif, a été agressé alors qu’il se rendait sur les lieux de l’organisation du rassemblement. Ses agresseurs l’ont menacé de sanction pour ses articles dans le journal Al-Arab. “Je fais porter l’entière responsabilité de ces actes au gouvernement”, a-il déclaré dans un entretien à Reporters sans frontières. “Cette période est assez difficile pour les journalistes indépendants” a-t-il ajouté. D’autre part, le domicile du journaliste Lotfi Hidouri (sud de Tunis) a été cerné par plusieurs véhicules de police. Contacté par Reporters sans frontières, le journaliste a déclaré que cet incident avait pour but d’intimider sa famille et ses visiteurs. ”Les récentes agressions liées à la couverture de la manifestation, les menaces perpétrées à l’encontre de Slim Boukhdir et la campagne de diffamation contre Sihem Bensedrine sont une preuve des agissements des autorités pour faire taire la presse indépendante”, a-t-il affirmé. Slim Boukhdir a, le 20 décembre 2008, été menacé par un correspondant d’un journal local proche du pouvoir et par des appels téléphoniques, d’être renvoyé en prison s’il ne mettait pas un terme à sa profession de journaliste. Cet événement intervient suite à son statut de correspondant de Reporters sans frontières. En dernier lieu, Sihem Bensedrine subit depuis quelques mois une campagne de diffamation orchestrée par le régime pour son travail en faveur des droits de l’homme. (Source :« Reporters sans frontières » le 2/1/2009) Lien : http://www.rsf.org/article.php3?id_article=29853


Tunisie: nouveau report des audiences au procès d’Al-Mawkif

AFP:  03.01.09 | 17h02  Le procès intenté par des sociétés privées aux directeur et rédacteur en chef du journal Al-Mawkif, organe hebdomadaire du Parti démocratique progressiste (PDP, légal) a été reporté une nouvelle fois samedi à l’issue d’une brève audience, a-t-on appris de source judiciaire. Le tribunal a repoussé au 24 janvier l’examen de plaintes déposées contre Ahmed Nejib Chebbi et Rachid Khechana par cinq sociétés leur réclamant 300.000 euros de dédommagements pour des pertes présumées causées par la publication d’un article sur la distribution d’une huile frelatée en Tunisie. Ce report, le cinquième depuis l’ouverture du procès en mai dernier, a été prononcé à la demande des plaignants qui ont évoqué des « raisons techniques » concernant l’évaluation des pertes présumées pour chacune des sociétés, a indiqué à l’AFP le rédacteur en chef, Rachid Khechana. La défense a reformulé une demande antérieure pour la cessation des poursuites motivée par l’absence d’arguments fondés, a ajouté M. Khechana. Le procès s’était ouvert le 10 mai suite à la publication d’un article « commentant », selon le comité de rédaction du journal, une information publiée le 30 mars 2008 par le journal algérien Al-Khabar concernant la distribution en Algérie d’une huile végétale frelatée importée de Tunisie. Les dirigeants du journal considèrent que les poursuites engagées contre eux relèvent d’un « procès d’opinion » et accusent les autorités de vouloir asphyxier le journal. Le pouvoir dément formellement être à l’origine de l’affaire et accuse les dirigeants du journal de vouloir « se dérober à leurs responsabilités légales ».

INEPTIE D’ETAT ET AFFAIRE DE FAMILLE

 Dernière sommation au sergent Ben Ali d’arrêter car je dégaine… et je vais tirer
 
Slim Bagga
 
 Les opinions publiques tant nationale qu’ internationales savent que le Général-Maréchal des Logis Ben Ali est atteint de plusieurs maladies incurables, dont la cécité politique n’est pas des moindres. Et voilà qu’à l’aube de cette nouvelle année, l’on découvre que la colonne vertébrale de son régime abject, sa police en l’occurrence, est à son tour atteinte d’Alzheimer.
Une telle confusion règne dans son esprit que l’on a sans doute pris un avocat sans histoire, s’apprêtant à voyager vers Beyrouth en famille, pour le tortionnaire recherché par Interpol, Khaled Ben Saïd, récemment condamné par la Cour d’Assises de Strasbourg à 8 ans de prison, et par contumace. Ou pour un quelconque autre traficant de drogue, apparenté à la famille de Ben Ali-Baba, comme il en existe des dizaines depuis l’avènement de l’ère meurtrière du 7 machin…
A chercher deprès, l’événement quasi-quotidien consistant à malmener des familles entières serait banal. Mais on ne connait à cet avocat aucune activité politique qui porterait ombrage à notre héros de BD de mauvais goût, qui règne depuis plus de 20 ans sur le pays, et qui distille ses ordres à partir de son bunker…
Non, cet avocat est tout simplement mon beau-frère qui aurait commis le crime de lèse-majesté « d’autoriser » sa soeur d’être libre de ses choix dans le pays de Bourguiba.
Début décembre, cela commença par un coup de fil de la DST tunisienne à l’avocat. La raison: « on voudrait le numéro de téléphone de votre soeur et son CV. » C’était « poli », mais le message était clair et l’intimidation subtile. Car comment immaginer que la police politique du Maréchal des Logis pût avoir une quelconque panne ou souci avec les ordinateurs de TUNISIANA? Comment ne pas trouver un CV dans les archives du ministère de la répression puisque chaque fonctionnaire, et de surcroît enseignant à la fac, a son son CV consigné à l’Intérieur depuis 1994?
Je crus d’abord à une mauvaise blague, avant de redescendre sur terre et de me remémorer les « 7 qualités » principales du Général-Maréchal des logis: Menteur, imposteur, manipulateur, usurpateur, brute, truand… et même un clown qui s’ignore à l’instar de M. Jourdain qui faisait de la prose sans le savoir.
D’ailleurs, je n’ai jamais cessé de me demander comment un aussi mauvais et ubuesque personnage pouvait durer aussi longtemps au pouvoir. Et comment un piètre dictateur n’a été balayé ni par un démocrate ni par un vrai Général tunisien…
Les sociologues et les historiens analyseront peut-être un jour ce phénomène atypique. En attendant, j’ai décidé de reprendre ma plume qui est mon flingue. car il y a dans la famille Ben Ali-Trabelsi des mines d’informations à divulguer au grand public, beaucoup plus croustillantes que l’intérêt soudain que porte la police politique à ma belle-famille, des gens tranquilles et sans histoire…
Et ce sera aux lecteurs de décider par quelle turpitude royale je commencerai:
Celle concernant Larbi Khayat, ce bodyguard  exilé par peur de représaéilles après avoir longtemps accompagné un être précieux? Ben Ali sait où il est. Mais… moi aussi!!!
Les photos d’un illustre dirigeant arabe, protégé d’Israël, en positions compromettantes sado -maso ou « SM » pour notre maréchal très initié?
Leur publication égayera à coup sûr les Tunisiens et les trevues spécialisées en ces temps de morosité imposée par un Etat policier.
Une confidence: je ne vendrai pas ces photos; je les offrirai au monde entier, gratis.
Ou les vrais comptes bancaires des Trabelsi à Dubai. Ben Ali devrait se méfier. Je connais des cheikhs que sa petite police ignore…
Voilà donc: c’est public et, pour une fois, c’est à la mafia de choisir.
Pour ma part, j’ai décidé de la servir, et même de l’habiller pour l’hiver.
En ces temps de solde, je solderai des mafieux et ferai rire la Tunisie et le monde.
Un sergent prévenu en vaut sa caserne de pitoyables policiers. Rompez!!!


Me Nasraoui dans la course au Nobel :  

alliance sacrée ou front unique ?

 

Me Radhia Nasraoui serait-elle candidate au prix Nobel ?

 La rumeur ne manque plus de sérieux ; un collectif est d’ores et déjà monté pour la soutenir1. L’aura-t-elle ou non, là, n’est pas la plus importante des questions. La désignation du lauréat se fait au mois d’octobre, soit un mois avant la date de l’élection présidentielle tunisienne. L’agenda du Comité du prix Nobel de la paix ne pouvait pas mieux tomber pour mettre le pied dans le plat que Ben Ali sert aux tunisiens depuis bientôt 22 ans.

En l’engageant dans la course pour son prix, le comité Nobel dépassera le seuil de la reconnaissance des actions militantes de Me Nasraoui. Plus qu’un prix décerné à une femme engagée, le prix Nobel fera office d’un blâme à une dictature. Un blâme que Ben Ali devra porter à chaque instant de sa course pour la présidence et qui obligera tout dictateur de se sentir visé. Ceci, sans pour autant que la fondation et ses membres, à l’instar de bien d’autres, succombent dans l’ingérence.

Malgré son désarroi, depuis plusieurs décennies déjà, l’opposition tunisienne continue à se battre bec et ongle contre une des plus atroces formes de dictature. Infatigables, les figures de la lutte en Tunisie ne manquent pas une occasion, peu importe le prix à payer, pour mettre à nu le régime Ben Ali. Aux yeux du monde, ce président jadis « démocrate », auteur d’un « miracle économique » et je ne sais quoi d’autres, n’est plus qu’un vulgaire tyran. Réduit à sa réelle dimension, Ben Ali, sans avoir froid aux yeux, continue sa fuite en avant. Il continue, au détriment des droits universels les plus fondamentaux, à piétiner son peuple pourvu qu’il reste encore et encore au pouvoir.

Désigner une figure représentatrice de la lutte tunisienne dans la liste des candidats au Nobel mettra, certes, le régime tunisien en péril et donnera, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur, une légitimité nouvelle à des militants déterminés. Depuis des décennies, l’opposition tunisienne, notamment de gauche, milite pour dévoiler la dictature dont elle n’est pas la seule victime. Une tâche ardente qui n’a pu se faire sans séquelles, sans handicaper, voir même paralyser la gauche dans sa tâche principale…Cette reconnaissance lui permettra t-elle, enfin, de finir avec la Contestation et de se réconcilier avec la Proposition ?      

Censure, prison, exil, répression, torture, assassinat : c’est le quotidien des Tunisiens et ça fait bientôt 22 ans que ça dure. Fort d’un soutien implacable des dirigeants du monde, le vulgaire tyran préside paisiblement tandis que le peuple paie la facture. Qu’importe la souffrance d’un peuple face à l’équation économique et sécuritaire du monde !  

Désigner une militante tunisienne pour le prix Nobel ressoudera t-il le problème ? Certainement pas. Il permettra juste au peuple tunisien, et ses semblables, de garder l’espoir : l’espoir de vivre un jour en paix. Le dictateur tortionnaire de la Tunisie sera-t-il enfin infréquentable ? C’est sûr que, tel un lépreux, même ses homologues/dictateurs éviteront sa compagnie. Pour le Tunisien subissant Ben Ali, à contre cœur et avec la peur au ventre, qui n’ose plus réver, n’ose plus vaincre, cela voudra dire : Ben Ali n’est pas éternel, Ben Ali n’est pas une fatalité, Oui c’est possible…

Doit-on alors proclamer l’alliance sacrée derrière la candidature de Me Nasraoui ?

Il est clair que l’unanimité de l’opposition sur une telle initiative reste difficile. Même dans son propre camp (la gauche), Me Nasraoui n’a pas que des amis. Personnellement, j’avoue que mes points de divergences avec elle sont plus nombreux que les points de convergences (une partie de mes critiques a déjà été formulée ailleurs). Par ailleurs, tout en restant humble je ne peux être un grand admirateur de Nobel et de son prix. Étant authentiquement de gauche, je ne suis guère séduis par les formes même les plus sublimes des créations de la bourgeoisie. Néanmoins, ça n’engage que ma propre personne. Quelques-soient mes convictions, il faut être dupe pour ne pas reconnaître que la désignation d’une militante tunisienne pour le prix Nobel sera une conquête. Même partielle, elle permettra de faire avancer les choses.  

Il faut être dupe pour chercher à inclure dans cette équation des calculs personnels ou sectaires. Les retombées, dans le cadre des présidentielles 2009, ne seront que positives. Le débat libre et démocratique entre militants tunisiens détaillera tous les aspects politiques et sociaux de cette initiative. Certes, c’est Me Nasraoui qui est candidate. A mon sens, sa candidature ne sera pas emblématique de l’opposition tunisienne, elle en sera représentative. Il est temps que Ben Ali soit officiellement blâmé sur la scène internationale. Il est temps que l’opposition tunisienne soit, sur la même scène, honorablement reconnu et officiellement légitimée. Quelque soit le nom du candidat, c’est une position de principe qui s’impose à nous.

Au nom de telle ou de telle divergence politique ou idéologique, certains seront contre. C’est leur droit. Sous prétexte de telle ou de telle divergence politique ou idéologique certains (et heureusement qu’ils ne sont pas nombreux) joueront le jeu de Ben Ali. Ça sera l’occasion pour faire le tri et ne plus confondre les vrais militants avec les faux semblants. Ceux-là ne pensent point, se moquent du débat et ne seront là que pour causer le naufrage de l’initiative au grand bonheur du Prince.    

Dans un esprit démocratique et selon un raisonnement dialectique, l’alliance sacrée derrière la candidature de Me Nasraoui sera préjudéciable pour l’opposition en général et pour la gauche en particulier. Des propagandistes tunisiens fortement maladroits appellent, en vain, au nom de je ne sais quel défi, à l’alliance sacrée derrière le Prince. C’est une forme du totalitarisme et de dictature intellectuelle : c’est une adhésion totale et inconditionnelle à un projet. Quelque soit l’obligation, la menace ou même la noblesse de la cause, l’alliance sacrée tue d’abord l’esprit critique et amène au point du non retour. L’histoire, depuis au moins la veille de la première guerre mondiale, ne cesse de le confirmer. Il n’est donc pas question de plagier les indisérables de l’histoire.

 Sans pour autant être d’accord avec les pensées de Mme Nasraoui et avec son projet, il est possible, voir incontournable, de reconnaître son combat qui ne cesse de s’ouvrir même à ses antagonistes. Adhérer à une telle initiative ne vaudra pas dire abondonner son approche critique. Tout en gardant la vivacité de sa critique, de sa colère et de bien d’autres choses envers notre chère gauche tunisienne, envers l’ensemble de l’opposition et même envers Me Nasraoui, je suis convaincu de la nécessite de soutenir cette femme qui sera représentative des militants tunisiens pour blâmer le Prince. L’un et l’autre ne sont pas forcément contradictoires. C’est un soutien ponctuel pour un combat légitime. Ce combat, qui est le notre, chacun l’abordera en campant sur ses propres positions. Ça ne sera possible que dans le cadre d’un front unique. Au-delà de ce cadre/combat, seul le front unique permettra au Tunisien subissant Ben Ali…..de dire : Ben Ali n’est pas éternel, Ben Ali n’est pas une fatalité, Oui c’est possible…

En invitant tout le monde à prendre part au débat, j’aimerai tant lire Mme Radhia Nasraoui s’exprimer sur le sujet.

Hannibal LeCarthaginois le 04 janvier 2009        

hannibal.lecarthaginois@gmail.com

1-      Voir communiqué du Collectif Dignité Tunisienne publiée sur tunisnews le 02/01/2009

 

 

  Le Génocide de Gaza est le début de  déclin de la civilisation occidentale

Un silence mortel  et  une absence incroyable des défenseurs  des  merveilleuses valeurs occidentales : liberté , égalité , fraternité , droits des enfants , droits des femmes , droits des personnes âgés , respect des lieux de culte , droit à la vie , les droits de l’Homme , … Des medias aveugles !!!  , des philosophes en congé !!!  , des hommes politiques non concernés !!! , des journaux occupés par les fêtes de fin d’année  et le début des soldes !!! . Mais il est  ou le problème ???  , mais c’est quoi la raison ???  , mais  c’est quoi l’explication ??? Pardon je n’ai pas parlé de l’histoire ; c’est l’histoire d’un génocide à Gaza  qui se passe en 2009 et dont les images sont transmises en directe sur la télévision  , des enfants massacrés par des missiles portés par les fameuses F16 , des femmes enterrés vivantes , des personnes âgés assassinés dans leurs maisons  ,… Je pense que l’explication est très trés  simple , ceux qui sont tués et peu importe qu’ils soient des bébés , des enfants   , des femmes , des  vieux , … ceux qui sont tués sont simplement des musulmans, sont simplement des terroristes  qualifiés  depuis leurs naissances et nécessitent une extermination  immédiate et propre et bien protégé  car ils portent un gène défectueux nommé gène RLCC  (Resistance et lutte contre la colonisation) (les régimes arabes pro-occidentaux sont totalement en accord avec ce type d’extermination). Les Hommes politiques , les medias , les penseurs , les écrivains  occidentaux ont des valeurs  portés et défendus complètement différentes de celles de ces musulmans (ceci est annoncé plusieurs fois par des hommes de politiques , des écrivains , …). Pour cette raison la mort , l’assassinat , le bombardement , la destruction , le génocide  , contre ces musulmans ne mérite même pas d’être dénoncé , ne mérite même d’être critiqué car l’état d’Israël qui est responsable de ces actions partagent les mêmes valeurs de l’occident. La civilisation occidentale a montré des signes de déclin dans plusieurs situations , dans plusieurs guerres , dans plusieurs génocides (sabara et chatila , Genine, sud de liban , Irak , …) Ce nouveau Génocide a Gaza montre un signe majeure dans le déclin de la civilisation occidentale , la civilisation n’a plus la  possibilité de défendre ces valeurs humanitaires  surtout  au niveau de son élite (écrivains , journalistes  , philosophes ,…) car l’appartenance religieuse , ethnique ou raciale de la victime est devenue un facteur déterminant. Le déclin de la civilisation occidentale sera forcement accompagné dans les années qui viennent par la chute spectaculaire des régimes  pro-occidentaux dans les pays arabes et musulmans.   Moncef ZID  Paris 03/01/2009


Voici le numéro 120 d’ELKHADRA,

 Très bonne lecture http://elkhadra.over-blog.com/  

elkhadra@hotmail.com ************************************************** Vous pouvez nous lire aussi sur FACEBOOK -http://www.facebook.com/group.php?gid=51475154679#/group.php?gid=12934183470 -http://www.facebook.com/inbox/?ref=mb#/group.php?gid=108410690584 -http://www.facebook.com/inbox/?ref=mb#/group.php?gid=23278639217 **********************************

 

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