29 janvier 2009

AFP, le 29 janvier 2009 à 11h20 ALGER, 29 jan 2009 (AFP) – L’ambassade américaine a confirmé jeudi à l’AFP à Alger que le chef de la CIA en Algérie, accusé de viol par deux femmes, était «rentré à Washington» et que le «gouvernement américain examine la situation». «Comme l’a bien indiqué le porte-parole du Département d’Etat, les Etats-Unis prennent très au sérieux toute accusation de mauvais comportements impliquant ses personnels à l’étranger», a déclaré un porte-parole de l’ambassade interrogé par téléphone. «La personne en question est rentrée à Washington et le gouvernement américain examine la situation», a-t-il ajouté en demandant de s’adresser au Département de la justice «pour tout renseignement complémentaire». Un porte-parole du Département d’Etat, Robert Wood, avait utilisé mercredi les mêmes termes. La justice américaine a ouvert une enquête sur le chef de la CIA à Alger, accusé de viol par deux femmes qui affirment avoir été droguées, selon plusieurs médias américains mercredi. AFP  

---

AFP, le 29 janvier 2009 à 11h31 KOWEIT, 29 jan 2009 (AFP) – e Koweït réclame toujours un milliard de dollars à l’Irak pour les dommages infligés à sa compagnie aérienne nationale lors de l’invasion du Koweït en 1990, a indiqué un responsable de Kuwait Airways dans la presse parue jeudi. L’Irak a annoncé dimanche avoir conclu un accord avec les autorités koweïtiennes sur un versement de 300 millions de dollars de compensation, mais « cette somme n’est pas un accord final concernant les demandes koweïtiennes à Iraqi Airlines », a affirmé le président de Kuwait Airways Corp. (KAC), Hamad al-Falah. « Le fait d’accepter les 300 millions de dollars (…) ne veut pas dire abandonner le milliard de dollars restant », a-t-il ajouté. La justice britannique, saisie par Kuwait Airways, a ordonné à l’Irak de payer 1,2 milliard de dollars de dommages pour des avions et des équipements volés durant les sept mois d’occupation du Koweït. A cette somme s’est ajoutée 100 millions de dollars de frais de justice et pénalités de retard, a souligné M. Falah. « KAC va poursuivre les procédures juridiques pour le reste des demandes », a-t-il affirmé. Le porte-parole du gouvernement irakien, Ali al-Dabbagh, avait annoncé dimanche le versement de 300 millions de dollars et l’engagement des deux parties « à mettre un terme aux procédures judiciaires respectives ». Mais selon Hamad al-Falah, le Koweït n’a accepté cet accord que pour permettre à Iraqi Airways de recevoir 10 avions Bombardier CRJ900, commandés dans le cadre du renouvellement de sa flotte et saisis par la justice canadienne après une plainte de l’émirat en août 2008.

---

 

APRÈS LE 7…

               Gilbert Naccache                20 novembre 1987  

A ceux dont le métier n’est pas d’applaudir, il doit aussi être permis de dire. Pas seulement l’espoir que soient tenues les promesses. Mais aussi, mais surtout ce que les événements passés et présents ont de pesanteur, de réalisé, voire d’achevé, et qui infléchit le cours des temps, et qui, pour avoir façonné la mémoire ou le peu de mémoire des acteurs et des spectateurs, exige un arrêt pour réfléchir, pour comprendre, pour savoir ce que l’on peut et comment.   Oh, que l’on se rassure. On ne dira pas ici – pas encore – les rêves étouffés, les rêves éveillés, les cauchemars entrevus ou seulement imaginés. On ne dira pas – pas encore – les mots renfoncés dans la gorge, les cris rentrés de colère de désespoir d’impuissance, les cris sortis de douleur de tristesse d’abandon. Ni les silences du patient amour des femmes, des mères, des sœurs, des frères et des pères, de prison en tribunal, d’administration en parloir, ce qu’il fallait supporter pour dix minutes de rencontre par semaine ou par mois, ce qu’il fallait payer pour avoir la fierté intérieure d’un proche enchaîné et debout. On ne dira pas non plus la solitude des familles des exécutés, des condamnés même, la misérable vie et la grande dignité de ceux qui ont attendu quand même, et celles de ceux qui n’ont pas pu attendre. Pas plus qu’il ne sera dit à propos du scandale des silences complices, des têtes qui, pour être trop courbées, ne pouvaient que se tourner du même côté en même temps, pour ne pas voir, on n’a qu’une tête mon Dieu et pourquoi assumerais-je le destin de tous et puis pourquoi ne pas faire comme les autres et pourquoi ne pas accepter de fermer les yeux, d’ouvrir sa poche et puis et puis…   Dans le fouillis de ce qui interpelle. des choses à dire pour qui ne cherche pas un fauteuil, comment trouver un chemin logique, un ordre de priorités ou tout simplement un ordre quelconque ? Tout arrêt sur un passé proche, sur une décision récente renvoie à un passé plus lointain, toute conclusion tirée d’un faux-pas d’antan invite à crier holà pour aujourd’hui, pour demain.   Peut-être d’abord laisser monter du fonds des tripes cette demande que poussent sans doutes tous ceux qui (re)naissent à la politique : qu’on en finisse avec les doubles discours, avec les mensonges proférés et les vérités tues, avec le cynisme des vérités officielles fabriquées à la gomme et aux ciseaux, avec les poursuites pour fausses nouvelles de ceux qui n’en disaient que des vraies, mais trop tôt. Et qu’on entende moins le t’bal qui ne laisse pas sa chance au rythme de la musique du peuple…   Que ceux qui se sentent visés en tirent leur profit. Les autres, qui ne se sentent pas visés, devraient tout de même réfléchir à deux fois avant d’avoir la conscience tout à fait tranquille : peut-on s’éveiller innocemment d’un cauchemar où les cris s’arrêtaient dans la gorge?

 

Une comparaison qui vient de la campagne paraît convenir, et en même temps… Les vieux oliviers qui ne produisent plus, on leur fait une taille forcée, ne laissant plus que le tronc et un ou deux bouts de rameaux, lorsqu’on ne veut pas, en sciant le tronc à la base, attendre une quinzaine d’années qu’ils se renouvellent complètement. Sans doute novembre n’est-il pas le bon mois pour ce genre de taille : on risque alors de n’avoir qu’un éclaircissage, sauf si on se remet à la tâche au mois de février Beaucoup, trop d’éléments font craindre que cette comparaison ne soit juste. Si les geôles sont un peu moins encombrées, les pages des répressions passées ne sont pas tournées, aucune amnistie n’est encore venue confirmer que la Cour de Sûreté de l’État, les autres tribunaux souvent aussi, avaient plus pour fonction, en barrant la route à la démocratie, de défendre le pouvoir personnel que le pays. Le retour des comparses, de beaucoup de ceux qui ont joué un rôle dans la sinistre farce, et que l’on bisse peut-être un peu trop vite, et le maintien spectaculaire, en impertinents donneurs de leçons de démocratie responsable, et en incorrigibles censeurs des opinions un peu critiques {prématurées), de ceux qui applaudissaient hier si fort celui qui a créé la nation tunisienne, et qui trouvaient tant de bonnes raisons pour justifier le silence de mort autour de lui… et d’eux, et l’absence de délai pour des élections, et l’absence de mention de la pourtant nécessaire Assemblée Constituante, et, pour l’avenir, la revivification artificielle – et néfaste, on l’a encore vu le 24 janvier – de ce corps politiquement vide qu’était devenu le PSD, dont une réhabilitation trop rapide ferait ressusciter les vieux démons, et l’incapacité manifestée jusqu’ici à réellement laisser mener des débats publics sur les véritables problèmes du pays, sur ses choix civilisationnels et économiques.   Oui, tout cela fait penser que la taille de l’olivier n’est pas encore faite.   Bien sûr, pour tailler hardiment, il faut savoir où on va, avoir confiance dans la vie au point de savoir qu’elle fera repousser un nouvel arbre plus fort et plus chargé de fruits, parce que la terre dans laquelle il est planté est riche et bonne…   Car le terreau de notre peuple est certainement un bon terreau, tout en atteste. Il n’est pas absurde de parier sur la démocratie, de donner la parole, de rendre au peuple la souveraineté qui lui avait été confisquée. Même si tout n’est pas encore bien clair aujourd’hui, même si l’âme populaire a été très ébranlée par les épreuves qu’elle a subies, ballottée entre une absence de projet de civilisation et un projet trop précis de retour en arrière…   C’est que donner la parole est en même temps nécessaire pour que se lèvent de nouvelles récoltes de l’esprit, et aussi pour que soient semées d’autres graines : s’il est clair que le pays est appelé à redéfinir sa culture, il faut que ce soit la culture de l’avenir, non celle d’il  y a quelques siècles, et c’est en exprimant sa richesse et en affrontant les difficultés qu’il pourra aller vers cette culture de demain.   Et d’abord en remettant en question les choix stériles d’hier : tout héritier a le devoir de mettre de l’ordre, de jeter ce qui est mité, qui a fait son temps, de nettoyer et apprêter ce qui peut encore préparer l’avenir, car c’est de cela qu’il s’agit.   Et c’est le sens de la parole que nous prenons ici aujourd’hui, que nous nous efforcerons de prendre partout où cela sera possible : dire, pour que l’avenir soit, pour ne pas laisser le champ libre au passé, à tous les passés.     20 novembre 1987. Gilbert Naccache

 

Contacter Gilbert Naccache:naccacheslim@yahoo.fr

 

Source: Le Blog de Sami Ben Abdallah-Blogueur de Tunisie www.samibenabdallah.com

---

L’oxymore MEZRI HADDAD

Par Biju

 

C’est une pastiche, et une réponse à l’article de MEZRI HADDAD, mercenaire de la plume de la dictature tunisiennehttp://www.lemonde.fr/opinions/article/2009/01/12/gaza-la-trahison-des-clercs-par-mezri-haddad_1140738_3232.html?xtref=

 

Bien plus que le spectacle tragique des enfants palestiniens déchiquetés et des familles palestiniennes décimées, c’est le mutisme et la collaboration des dictateurs arabes, aux pogroms commis contre le peuple palestinien qui est révélateur de la dégénérescence de nos sociétés, bien plus que la hargne des propagandistes sionistes, c’est la répression qu’ont subi les peuples arabes qui voulaient manifester leur solidarité avec les palestiniens suppliciés, et ceux de Tunis à DJEDDAH, où même des pseudos savants débiles de la foi musulmane, viennent de lancer une FATWA contre ces manifestations de solidarité, fatwa valable pour tout l’espace musulmans, bien entendu, ces dictateurs et ces gens là, servis par la crédulité des plumes thuriféraires, des gens comme MEZRI HADDAD, redonnent presqu’un visage humain à la barbarie sioniste, du moins, ils légitiment l’existence coloniale et génocidaire de la bête immonde sioniste, qui ne peut-être que dans la haine et la violence, ils la légitiment quand par leur rhétorique habituelle, et sous couvert de dénoncer sa dernière et meurtrière agression, ils diabolisent à moindre frais le HAMAS,qui sous couvert, et à juste titre de s’en prendre et de dénoncer l’habituelle posture des vigies sionistes comme BHL, KOUCHNER, Gluksman, FRANKROTTE, ils viennent à attaquer les défenseurs des droits de l’homme français, avec l’accusation mensongère que ces derniers ne font rien pour la PALESTINE et les palestiniens, mais la vérité de MEZRI est bien ailleurs, la cause palestinienne est le dernier de ses soucis, ce qui l’importe et qui le dérange vraiment , c’est que les militants français des droits de l’homme sont du côté des arabes en général, et des tunisiens en particulier, heureusement qu’ils sont là d’ailleurs, pour demander des comptes au dictateur BEN ALI, son employeur, comme l’occasion fait le larron, cet envoyé spécial, a sauté sur l’occasion pour régler ses comptes, personne n’est dupes de ses feintes, même ses amis BHL, GLUKSMAN et compagnie, avaient compris le sens de son message, et personne d’entre eux ne s’est dérangé pour lui répondre, c’est vraiment inhabituel chez ces pleureuses sionistes des médias français aux ordres, MEZRI croit s’en tirer à bon compte, et avec les félicitations de son boss de TUNIS, mais c’est sans compter avec la haine et la hargne conne de certains sionistes encore plus schizophrènes que lui, du genre GOLDANEL, cet avocat sioniste qui a toujours appelé à voter de VILLIERS OU LE PEN, des gouffres nazis, pour purifier la FRANCE, de ses forces vives d’origine arabe ou musulmane, c’est sans compter avec ce raciste et le CRIF, intimes de l’ambassadeur tunisien à PARIS, qui lui ont soufflé dans les bronches et l’ont traîné dans la boue, la boue où il a ses habitudes, mais quand même.Pour ta gouverne, plume dévoyée et prébendé MEZRRI HADDAD, les archanges de la liberté et des droits de l’homme existent dans les démocratie, s’expriment, nous soutiennent contre la barbarie de ton dictateur, et soutiennent à font les palestiniens contre la hargne morbide de tes amis sionistes, cette amitié que tu as toujours assumée, et qui s’est jamais démentie, quand il s’agissait de te donner à toi et le système dont tu es le VRP avec les BESSIS et compagnie un tant soi peu de fausse légitimité , même tes maîtres à penser sont dans la défausse, à force de lécher des pompes, tu arrives à confondre l’utile et l’agréable, le possible et le délire, c’est trop tard pour les gens comme toi, même ABBAS, ne se reconnaît plus en vous, vous avez trop de sang dans les mains, ton maître BEN ALI devrait t’embarquer dans ses bagages et s’exiler dans l’entité sioniste, mais ne compte pas sur lui, il ne sait pas ce que veut dire »pour service rendu ».Ce qui est incompréhensible et insupportable, c’est cette façon de faire qui transforme les assassins, les criminels et les liberticides en procureur, tu en maîtrise la technique, ce qui te révolte, c’est bien l’ingratitude de tes marionnettistes. MEZRI HADDAD est liquéfié dans sa forfaiture habituelle et d’une façon obscène règle ses comptes avec la société civile et les défenseurs des droits de l’homme français et tunisiens, coupables, d’après lui, par leur mutisme d’être indifférents au pogrom que subissent les palestiniens à GAZA. Son article est un chef d’œuvre de mauvaise foi et de tromperie; nous sommes là, dans la désinformation et le mensonge qui travaillent l’opinion au niveau de l’affect et de l’émotion, pour la retourner et s’en servir par la manipulation pour la légitimation d’autres causes inavouées, des causes discréditées depuis belle lurette, pour cela, et la diabolisation des démocrates arabes, les boucs émissaires sont tout trouvés, leurs appuis et amis, les défenseurs français des droits de l’homme, c’est simpliste, mais je le reconnais, c’est bien joué, aux vu des réactions, beaucoup sont tombés dans ce vulgaire piège à cons, et non des moindres, sans compter les quelques imbéciles du net qui sont toujours dans le premier degré, et croient que la politique , c’est celui qui radote le plus.Car dans la réalité, les défenseurs des droits de l’homme français par leur écrits, leurs mobilisations, leurs actes et leurs actions ont depuis toujours , et encore aujourd’hui plus que jamais, sur l’agression de GAZA de ces derniers jours , donné la preuve de leur amour, leur solidarité et leur éthique concernant, nos justes causes en général, et celle des palestiniens, sans aucune exclusive ni exclusion ; c’est à mon avis, cela, qui dérange MEZRI, envoyé spécial de la dictature tunisienne, le soutient total des défenseurs français des droits de l’homme, sans aucune sectarisme idéologique, soutien à tous les palestiniens, en particulier, qu’ils soient de chez ABBAS ou du HAMAS.Les centaines de milliers de personnes dans les rues françaises, les milliers d’intellectuels, d’artistes, de syndicalistes, , LCR, PC,VERT, les dizaines de responsables politiques de tout bord, les, ceux là qui sont la galaxie des droits de l’homme en France, représentatifs de toutes les tendances qui sont assurément solidaires de tous les palestiniens en tout temps, mais aussi des combats pour la démocratie et la liberté dans les pays arabes, contre les dictateurs arabes, y compris, la dictature de Ton employeur BEN ALI, ces milliers de gens ne comptent pas pour MEZRI HADDAD ? Ils ne sont pas représentatifs? ces centaines de milliers de personnes, ces médecins volontaires pour aller aider nos frères sous le déluge de GAZA, ces avocats, ces juges, ces fonctionnaires d’un état de droit, tous réunis avec nous face au lobby sioniste et ses incroyables moyens; alors pour les salir, avec doigté et subtilité , MEZRI, les plonge dans l’amalgame, et les représentent sous l’identité de militants sionistes comme BHL, GLUSKSMAN, KOUCHNER ECT..ces derniers qui n’ont jamais été dans le fait des droits de l’homme,seulement dans l’indignation plus que sélective, raciste, arabophobe, islamophobe et antisémite, dans la propagande la plus mensongère de l’entité sioniste et ses méthodes nazis et même, eux, qui sont des fervents défenseurs de son dictateur reconnu par ces « intellectuels » comme un rempart contre l’intégrisme, n’avaient pas osé clouer ainsi, aussi bassement au pilori la société civile française, en fait ces usurpateurs sionistes sont objectivement dans le même camp que MEZRI, et là, merci GOLDANEL, la LICRA et les médias aux ordres, ils lui servent de feuille de vigne, et de fumigène pour salir les authentiques défenseurs français des droits de l’homme , qui sont solidaires avec les palestiniens et les véritables ennemis , des dictateurs arabes et des sionistes en réalité, ces consciences et ces bonnes volontés ,qui sont justement à réduire au silence, par tous les moyens, c’est l’ordre de mission de MEZRI HADDAD et les sicaires comme lui.Oui il n’est pire aveugle que ceux qui ne veulent pas voir, nos amis français démocrates et humanistes ont toujours été à nos côtés pour la Palestine, comme pour toutes nos/et les autres causes qui frappent à nos consciences.Pour pasticher MEZRI,je dirais : plus graves que l’omerta des bonimenteurs sionistes, et son indignation trompeuse et mensongère, ce sont les propos scandaleux de certains pharisiens, dont il est un des maîtres les plus imminents, qui établissent une responsabilité symétrique des coupables et des victimes, de ceux qui tuent et de ceux qui décèdent par centaines, et ceux qui désignent le HAMAS sortis des urnes palestiniennes, peuple libre comme un fauteur de troubles et de guerre, comme la cause et non l’effet de la situation actuelle à GAZA , alors que la cause première de la NEKBA palestinienne reste le colonialisme sioniste, et cette maladie endémique et destructrice que sont les dictatures arabes, alliées objectives des assassins des palestiniens. Cette langue de bois déchainée, qui se présente comme philosophe, est, un prosélyte des causes liberticides les plus abjectes, un zélote du terrorisme d’état, et un ignoble consommateur du poison dictatorial, qu’il diffuse toujours, et à volonté par le mensonge et la haine.Pour ces trois nécroses mortelles qui rongent les pays arabes en général et qui sont si contraires à l’islam, il s’est battu en prenant des risques démagogiques sans bornes qui lui assurent les deniers de JUDAS, le toit et le couvert, le beurre l’argent du beurre et par un droit de cuissage régalien la crémière. Chaque fois que les circonstances l’ont exigé, il n’a pas hésité à mépriser les siens qui prétendaient à la liberté, au nom de ce qu’il prenait pour des valeurs universelles, le droit du plus fort, le népotisme, la haine de l’autre et de soi, l’opportunisme, l’arrivisme et la bassesse, au nom d’une coexistence pacifique entre les dictatures et les colonisateurs, les bellicistes et les criminels, au nom d’une fraternisation entre sionistes agresseurs et arabes aux ordres et collaborateurs et oppresseurs. Il a dénoncé l’imposture démocratique, car toute forme de démocratie dans un pays arabe est une imposture pour lui, il considère que les arabes sont un peuple d’esclaves qui ne mérite aucun égard; pour lui la démocratie est la cause de tous les dérèglements du monde, y compris le climatique, c’est cette sale démocratie, qui a hissé le Hamas à la tête de Gaza. Il craignait pour le déjà agonisant processus de paix, qui n’a jamais signifié quoique ce soit pour ses amis sionistes et pour lui par voie de conséquence. Le réveil d’une conscience arabe qui balaierait les dictatures arabes serait la fin de son monde de maffieux, il redoute par dessus tout, comme tous les fanatiques et les schizophrènes, le véritable choc amoureux et fraternels des civilisations, entre peuples libres et troupeaux d’esclaves, il appréhendais le totalitarisme des idées, de l’alternative, du libre choix, du droit et de la justice qui pourrait libérer les masses arabes en général et palestiniennes en particulier, en les rapprochant du reste du monde libre. Vive BEN ALI!!!

 

PS: A l’attention de ces quelques militant de la paronymie politicienne, et qui sous couvert de se poser en défenseurs des palestiniens, nous présentent MEZRI HADDAD, comme un intellectuel tunisien épris de justice et de légalité, je leur répond seulement que leur idole serait bien inspiré d’écrire avec justesse et bonneté sur les prisonniers politiques tunisiens, sur les suppliciés tunisiens que son maitre BEN ALI traite comme les sionistes traitent les palestiniens, et que la TUNISIE grâce à la dictature et des usurpateurs comme lui, est aussi un territoire occupé, notre libération sera celle des palestiniens et des opprimés du monde entier, et vice-versa « D’abord, ils vous ignorent, ensuite ils se moquent de vous, ensuite ils vous combattent et enfin, vous gagnez. » Gandhi