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Urgent: Reprise de la GrĂšve de la faim
Condamnation en appel d’un diplomate tortionnaire tunisien
Peine aggravĂ©e Ă Â l’encontre de l’ancien Vice Consul tunisien
Dans une dĂ©cision historique rendue le 24 septembre, la Cour d’assises de Meurthe et Moselle a condamnĂ© en appel Khaled Ben SaĂŻd Ă 12 annĂ©es de rĂ©clusion criminelle pour avoir ordonnĂ© des actes de torture Ă l’encontre de Mme Gharbi, les 11 et 12 octobre 1996, dans le commissariat de Jendouba, en Tunisie. Elle a aggravĂ© ainsi la peine prononcĂ©e en premiĂšre instance par la Cour d’assises du Bas-Rhin, le 15 dĂ©cembre 2008. Â
Contacts presse : Fabien Maitre/Karine Appy + 33 1 43 55 14 12 / + 33 1 43 55 25 18 Â
1Pour plus d’information :http://www.fidh.org/-Affaire-Ben-Said-
2http://www.fidh.org/Justice-internationale-La-CFCPI-consternee-par-le
Un ancien diplomate tunisien condamné en France pour torture
Nouvelles des libertés en Tunisie
Luiza Toscane dimanche 26 septembre 2010
Le 24 dĂ©cembre 2009, Yassine Ferchichi, de nationalitĂ© tunisienne, Ă©tait embarquĂ© contre sa volontĂ© Ă bord dâun vol assurant la liaison Roissy-Charles de Gaulle/LĂ©opold SĂ©dar Senghor Ă Dakar. Ă son arrivĂ©e, il disparaissait dans les locaux de la police pour ĂȘtre remis en libertĂ© quelques jours plus tard sur le sol sĂ©nĂ©galais. Il nâen est jamais revenu.
Titulaire dâun brevet de cuisine, Yassine Ferchichi, originaire de la citĂ© Tadhamoun prĂšs de Tunis, avait vainement tentĂ© de trouver un emploi stable. HarcelĂ© par la police politique, il fut interpellĂ©, convoquĂ© et finalement arrĂȘtĂ© Ă plusieurs reprises. TorturĂ© gravement, notamment Ă lâĂ©lectricitĂ©, dans les locaux du ministĂšre de lâIntĂ©rieur au dĂ©but des annĂ©es 2000 et devinant que ce harcĂšlement ne prendrait pas fin de sitĂŽt, il quitte le pays en 2004, sans charges ni poursuites, le plus lĂ©galement du monde, pour lâEurope.
Ă 29 ans, Yassine Ferchichi achevait Ă la maison dâarrĂȘt de Fresnes en France, une peine dâemprisonnement de six ans dans le cadre dâune affaire en relation avec le terrorisme et une peine de six mois pour usurpation dâidentité [1]. Il avait Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© en juillet 2005, mais avait bĂ©nĂ©ficiĂ© de quelques remises de peine. Sa condamnation Ă lâemprisonnement avait Ă©tĂ© assortie dâune interdiction dĂ©finitive du territoire français, contre laquelle il a dĂ©posĂ© une requĂȘte aux fins de relĂšvement, rejetĂ©e par le Tribunal de Grande Instance de Paris le 3 juin 2010.
Quelques mois plus tard, il a Ă©tĂ© condamnĂ© par contumace en Tunisie : dans une premiĂšre affaire Ă huit ans dâemprisonnement et cinq ans de contrĂŽle administratif [2], et dans une seconde affaire, Ă vingt-quatre ans dâemprisonnement et dix ans de contrĂŽle administratif [3], en vertu des dispositions de la loi antiterroriste du 10 dĂ©cembre 2003. Il totalisait donc trente-deux ans et six mois dâemprisonnement et quinze ans de contrĂŽle administratif.
Craignant dâĂȘtre soumis Ă nouveau Ă la torture en Tunisie [4], il a demandĂ© lâasile en France auprĂšs de lâOffice Français de Protection des RĂ©fugiĂ©s et Apatrides (OFPRA), qui le convoquera Ă deux reprises Ă la fin de lâannĂ©e 2009 pour un entretien. Yassine Ferchichi Ă©tait emprisonnĂ© Ă Fresnes (94) et lâentretien devait se dĂ©rouler Ă Fontenay (94). Par deux fois, le juge chargĂ© de lâapplication des peines lui refusera lâautorisation de sortie pour se rendre Ă lâOFPRA, jugeant les risques dâĂ©vasion trop grands. Quant Ă le faire escorter, lâadministration pĂ©nitentiaire ne veut pas lâenvisager. Ne pouvant honorer ses rendez-vous, lâintĂ©ressĂ© sâen excuse, et reçoit une troisiĂšme convocation de lâOffice pour le 4 janvier 2010, soit deux semaines aprĂšs sa sortie de prison prĂ©vue pour le 24 dĂ©cembre.
Le 21 dĂ©cembre, la situation bascule : il est extrait de prison. Une escorte lâattend et il est conduit Ă lâOFPRA, les mains menottĂ©es dans le dos et pieds entravĂ©s, sans rendez-vous, sans prĂ©avis, pour le fameux entretien. Soudainement, tous les obstacles soulevĂ©s par le juge dâapplication des peines et lâadministration pĂ©nitentiaire sont levĂ©s : une escorte est dĂ©pĂȘchĂ©e. Manifestement, lâentretien ne pouvait avoir lieu aprĂšs la sortie de prison ! LâĂtat français ne pouvait tolĂ©rer quelques jours de plus Yassine Ferchichi sur son territoire. Cette soudaine prĂ©cipitation ne pouvant venir de lâOFPRA qui nâa pas dâ« intĂ©rĂȘt » particulier Ă avancer un entretien, il devient Ă©vident que lâOffice a Ă©tĂ© sommĂ© en haut lieu de convoquer Yassine Ferchichi, pour pouvoir donner sa rĂ©ponse avant quâil ne sorte de prison. En quelque sorte, tout doit ĂȘtre « bouclé » avant le 24.
Redoutant le pire [5], Yassine Ferchichi saisit la Cour EuropĂ©enne des Droits de lâHomme (CEDH), via son Conseil, le cabinet Bourdon, le 22 dĂ©cembre, tandis que des organisations de dĂ©fense de droits humains tirent la sonnette dâalarme [6]. Et le 23, la CEDH enjoint Ă la France de ne pas renvoyer Yassine Ferchichi en Tunisie [7].
Le 24 dĂ©cembre, au moment de sa sortie de la maison dâarrĂȘt de Fresnes, Yassine Ferchichi reçoit simultanĂ©ment notification de la dĂ©cision de lâOFPRA et notification de son renvoi au SĂ©nĂ©gal. Il est exclu du bĂ©nĂ©fice de lâasile en vertu des dispositions de la convention de GenĂšve. LâOFPRA nâa fait que respecter les textes et cette rĂ©ponse Ă©tait prĂ©visible [8]. Il refuse de signer son renvoi au SĂ©nĂ©gal, mais il est immĂ©diatement emmenĂ© par la police en direction de Roissy, tandis que son avocat saisit une seconde fois la CEDH, qui enjoint Ă la France de ne pas le renvoyer au SĂ©nĂ©gal, compte tenu de lâabsence de garanties que ce dernier pays ne le renvoie en Tunisie. Il sâagit dâune mesure provisoire, la CEDH devant encore statuer sur le fonds.
Lâavion part avec une demi-heure de retard, mais avec Yassine Ferchichi [9]. Jusquâau mardi suivant, il est en dĂ©tention au secret dans un commissariat de Dakar, pour des raisons inconnues, puisquâil est arrivĂ© lĂ©galement dans ce pays, muni dâun sauf conduit sĂ©nĂ©galais et quâun ministre dira quâil a Ă©tĂ© accueilli pour des raisons humanitairesâŠÂ [10] Les autoritĂ©s tunisiennes dĂ©noncent le renvoi de Yassine Ferchichi au SĂ©nĂ©gal, niant une fois de plus la pratique de la torture en Tunisie [11]. Le 28, il est abandonnĂ© Ă son sort sur le sol sĂ©nĂ©galais. Il nâa sur lui aucun papier dâidentitĂ©, pas de ressources, pas de logement. Les quelques jours passĂ©s au commissariat ne lui ont rien appris sur le sort qui lâattend, et qui se rĂ©vĂšlera au quotidien celui dâun paria.
Ne pouvant se loger ni travailler ni se soigner sans papiers dâidentitĂ© ni statut, il erre Ă la recherche dâun logement, se bat par des grĂšves de la faim [12] ou des sit-in [13] pour arracher un hĂ©bergement, qui sâavĂšre prĂ©caire, ne subsiste que grĂące Ă des gestes ponctuels et au soutien dâassociations de droits humains [14], de militants ou de mĂ©dias solidaires [15]. Il passe ainsi deux semaines Ă la rue, devant le ministĂšre des Affaires ĂtrangĂšres Ă Dakar, jusquâĂ ce quâun logement lui soit offert par les autoritĂ©s, sans le consentement du propriĂ©taire des lieux qui harcĂšle Yassine Ferchichi pour quâil parte⊠Il a appris aussi Ă ses dĂ©pens quâil nâavait pas droit aux soins et traĂźne depuis le mois de mars une fracture non soignĂ©e⊠Une tragĂ©die qui nâa pas de nom : la dĂ©portation nâexiste plus en droit français, lâ« expulsion dans un pays tiers » est, quant Ă elle, prĂ©vue par la loi. Il reste que lâĂtat français aurait pu faire un autre choix : celui de lâassignation Ă rĂ©sidence sur le sol français. Câest ce quâavait demandĂ© lâAssociation Human Rights Watch dans un courrier [16] adressĂ© Ă Brice Hortefeux, ministre de lâIntĂ©rieur, câest ce quâĂ©tait en droit dâattendre un dĂ©tenu qui avait prĂ©parĂ© sa sortie de prison, par des Ă©tudes et des projets. Câest ce que lui a dĂ©niĂ© lâĂtat français, mu par des considĂ©rants inavouĂ©s et un acharnement incomprĂ©hensible.
[1] Tribunal de Grande Instance de Paris, 23 octobre 2008.
[2] Cour dâAppel de Tunis, affaire n°11320/&3 du 9 juillet 2008.
[3] Tribunal de PremiÚre Instance de Tunis, affaire n°11187 du 11 novembre 2006.
[4] « Le risque de la torture pour un Tunisien expulsable », Libération, décembre 2009.http://www.liberation.fr/societe/0101609948-le-risque-de-la-torture-pour-un-tunisien-expulsable
[5] « Chronique dâun rĂ©fugiĂ© en sursis », Yassine Ferchichi, 18 dĂ©cembre 2009,http://www.lepost.fr/article/2009/1âŠ
[6] « Risque de renvoi dangereux : la France doit respecter ses engagements » Action des ChrĂ©tiens pour lâAbolition de la Torture (ACAT), FĂ©dĂ©ration Internationale des Ligues des Droits de lâHomme (FIDH), Ligue des Droits de lâHomme (LDH), Cabinet de Me William Bourdon, CommuniquĂ© de presse du 23 dĂ©cembre 2009.http://www.fidh.org/Risque-de-renvo⊠« Lâavocat dâun dĂ©tenu tunisien enjoint la France de ne pas lâexpulser », AFP, 23 dĂ©cembre 2009.https://www.tunisnews.net/25DecembreâŠ
[7] Article 39 du rĂšglement.
[8] LâOFPRA a respectĂ© les cas dâexclusion prĂ©vus par la Convention, notamment par lâarticle 1F, aucune protection ne pouvant ĂȘtre accordĂ©e aux personnes dont on aura des raisons de penser sĂ©rieuses quâelles se sont rendues coupables dâagissements contraires aux buts et principes des Nations Unies.
[9] « MĂ©pris des autoritĂ©s françaises pour les dĂ©cisions du juge europĂ©en » Maitre William Bourdon, ACAT France, Amnesty International, Ligue des Droits de lâHomme, 24 dĂ©cembre 2009.http://www.amnesty.fr/index.php/amnâŠ. « Un dĂ©tenu tunisien, menacĂ© dans son pays, expulsĂ© vers le SĂ©nĂ©gal », AFP, 25 dĂ©cembre 2009.http://www.lesoleil.sn/article.php3âŠ
[10] « Notre pays a Ă©tĂ© choisi pour des raisons liĂ©es Ă la libertĂ© et Ă la sĂ©curitĂ© de lâintĂ©ressĂ© [âŠ] pour des raisons purement humanitaires », in « Yassine Ferchichi nâest pas retenu contre son grĂ© au SĂ©nĂ©gal », Agence de Presse sĂ©nĂ©galaise, 29/12/2009.http://www.rewmi.com/Yassine-FerchiâŠ
[11] « Tunis dĂ©nonce la dĂ©cision dâexpulser Yassine Ferchichi au SĂ©nĂ©gal », AFP, 26/12/09.
[12] « Yassine Ferchichi menace dâentamer une grĂšve de la faim, le SĂ©nĂ©gal a dĂ©cidĂ© dâarrĂȘter sa prise en charge », Pressafrik.com, 27 mars 2010.http://www.pressafrik.com/Yassine-F⊠« Yassine Ferchichi entame une grĂšve de la faim », LâObservateur, 30 mars 2010.http://www.lobservateur.sn/index.phâŠ
[13] « Ferchichi dort devant le ministĂšre des Affaires EtrangĂšres », Nettali.net, 22 mai 2010.http://www.nettali.net/Ferchichi-doâŠ
[14] « Affaire Yacine Ferchichi : les ONG exigent la prise en charge du Tunisie », Wal Fadjri, 13 janvier 2010.http://fr.allafrica.com/stories/201âŠ
CommuniquĂ© de presse : Amnesty, ONDH, RADDHO Ă propos de Yassine Ferchichi, 26 Mars 2010.http://www.leral.net/Communique-de-âŠ
« Affaire Ferchichi : Nous nâaccepterons pas quâil soit clochardisĂ© dixit Me Dima Ndiaye », Pressafrik.com, 30 mars 2010.http://www.pressafrik.com/Affaire-FâŠ
« LâONDH appelle la communautĂ© nationale et internationale Ă ne pas oublier Yassine Ferchichi », Agence de presse sĂ©nĂ©galaise, 1er avril 2010.http://www.aps.sn/aps.php/img-fr/diâŠ
[15] « Ouf de soulagement »,http://makaila.over-blog.com/articlâŠ
[16] « Risque dâexpulsion vers la Tunisie de M. Yassine Ferchichi, Human Rights Watch, 8 dĂ©cembre 2009.http://www.hrw.org/fr/news/2009/12/âŠ
Dinosaures des Temps Modernes En Voie de Disparition
Amor Harouni-Tunisie
Tunis le 26 Septembre 2010
Le sort a voulu que leurs noms commencent par la lettre H et dont la politique pratiquée est comparable aux dégùts causés par la bombe H (bombe hydrogÚne).
Commençons par le premier, il sâagit dâAdolf  Hitler hystĂ©rique ayant pour stratĂ©gie la domination du monde en dĂ©clenchant la deuxiĂšme guerre mondiale 1939-1945 et dĂ©truisant certains pays, semant la terreur et la dĂ©solation, tuant des millions dâinnocents allant jusquâĂ la pratique impitoyable de lâholocauste (ghettos et fours crĂ©matoires) mais comme toute chose a une fin, il a subi le sort quâil mĂ©ritait amplement et que personne nâest sensĂ© ignorer.
Le second, câest Saddam Hussein, dictateur invĂ©tĂ©rĂ© et sadique dont les crimes perpĂ©trĂ©s envers le vaillant peuple Irakien, osant mĂȘme utiliser des armes chimiques en aspergeant les villageois de Halabcha, mais comme pour tout dictateur, il a connu une fin dramatique puis pendu le jour sacrĂ© de AĂŻd El Idha, dĂ©fiant et humiliant le monde Arabo-musulman.
Le 3Ăšme sâappelle Hosni Moubarak, PrĂ©sident en exercice qui a plongĂ© le peuple Egyptien dans une misĂšre noire et se plait actuellement Ă isoler les habitants de Gaza, allant jusquâĂ poursuivre derniĂšrement un haut responsable des Services de SĂ©curitĂ© du Hamas lâaccusant dâĂȘtre responsable du blocage des efforts de rĂ©conciliation avec lâautoritĂ© Palestinienne dirigĂ©e par Mahmoud Abbas et Ă lâorigine dâun tir de roquette vers IsraĂ«l depuis le SinaĂŻ Egyptien et semble soucieux de la sĂ©curitĂ© des sionistes et procĂšde Ă la finition de son macabre projet de construction dâune sĂ©paration souterraine en tĂŽles en acier sur une longueur de 14 kms.
En somme, câest la politique de la mort lente de tout un peuple. Puis, coup de théùtre il ordonne lâouverture du terminal de Rafah et ce suite aux pressions exercĂ©es aprĂšs lâabordage sanglant de la flottille de la libertĂ© par lâarmĂ©e sioniste dans les eaux internationales et se contredit en disant quâil Ă©tait temps de penser Ă la levĂ©e du blocus sur Gaza, alors quâil Ă©tait lâinstigateur en premier lieu et sans aucun doute avec la complicitĂ© dâIsraĂ«l. Nâayant pas le choix, et pour se disculper, il donna lâordre dâouvrir le terminal de Rafah simplement pour sauver la face. Il a autorisĂ© le passage des denrĂ©es alimentaires, matĂ©riel sanitaire et mĂ©dicaments nĂ©anmoins, il se permet dâinterdire lâentrĂ©e des matĂ©riaux de constructions (fer et ciment) et semble en dĂ©finitive quâil ne se sent pas concernĂ© par la reconstruction des habitations endommagĂ©es par les bombardements de lâarmĂ©e sioniste mais par contre, il autorise lâexportation du ciment et du gaz Ă IsraĂ«l surement Ă bas prix pour la construction illĂ©gale des colonies juives.
Par ailleurs, et pour faire taire les critiques sur la gravitĂ© de son acte, il avance lâargument du traitĂ© de paix conclu avec IsraĂ«l, mais il sâavĂšre que le descendant de RamsĂšs ne se prĂ©occupe que de la sĂ©curitĂ© de lâĂ©tat sioniste et ferme les yeux sur lâoppression inhumaine exercĂ©e contre les Palestiniens et se dĂ©lecte  de voir les habitants de Gaza sans abris et coucher Ă la belle Ă©toile en pĂ©riodes de froid ou de chaleur.
Le quatriĂšme, il sâagit tout naturellement du PrĂ©sident de la grande puissance (de la terreur) de lâoncle Sam Barack Houssein Obama. Celui-ci sâest avĂ©rĂ© un bon orateur (paroles mielleuses) mais pratiquement inefficace pour ne pas dire autre chose (se rĂ©fĂ©rer Ă son discours) tant attendu au Caire et dans le monde Arabo-musulman mais leurs espoirs sâavĂ©rĂšrent utopiques, nĂ©anmoins il faut lâexcuser du fait que le lobby sioniste est aux commandes des USA et maĂźtre de la situation dâune part et sans oublier lâinertie de la position Arabo-musulmane qui dâautre part laisse Ă©normĂ©ment Ă dĂ©sirer.
Quant aux pays europĂ©ens, ceux-ci suivent Ă la lettre les directives du gendarme du monde. En ce qui concerne la Russie et la Chine, celles-ci pratiquent une politique dâalternative essayant de contenter tout le monde et ce par intĂ©rĂȘt Ă©galement. Partant de ce principe, les occidentaux en gĂ©nĂ©ral et Yankees en particulier se lamentent et ne semblent pas comprendre pourquoi les Arabes et les Musulmans les dĂ©testent.
A mon humble avis, il ne faut pas ĂȘtre sorcier pour comprendre que les impĂ©rialistes ne sont uniquement prĂ©occupĂ©s que par leurs intĂ©rĂȘts, fussent-ils acquits sur le compte des peuples opprimĂ©s par la majoritĂ© de leurs gouvernants qui ne persistent quâĂ vouloir sâĂ©terniser sur leurs trĂŽnes ou prĂ©sidences Ă vies et aux fins dâhĂ©ritages.
En conclusion, et pour tout dire maintenant ce qui nous reste Ă espĂ©rer, câest quâil se pointera le jour oĂč atterrira le ballon dâoxygĂšne tant dĂ©sirĂ© en vue dâassainir lâatmosphĂšre afin de nous permettre de vivre librement comme il est prĂ©dit Ă la naissance de chaque individu de la planĂšte.
 Il ne nous reste plus quâĂ se rendre Ă lâĂ©vidence.
« Nous sommes à Allah et à Lui nous retournons ».
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Le Parti pirate s’implante en Tunisie, une premiĂšre au Maghreb
Tunisie. Lâinformation, victime collatĂ©rale de lâaccident de Bir El Bey
Tunisie. Du nouveau dans lâaffaire ââEl Moussamih Karimââ
Tunisian play broaches Arab world schizophrenia
A controversial Tunisian play that tackles love and sexual relationships in the Arab world has made a sounding success both locally and in several European countries. “Hobb Story⊠Ouvrir par ici”, which means âLove Story⊠Opens here,â has witnessed an unprecedented turnout and has so far attracted more than 20,000 viewers for its daring approach to issues regarded as taboos in the Arab world, on top of which is the relationship between men and women with a special focus on the sexual dimension. The play offers a mixture of theatre, music, documentary cinema and sex education as well as live testimonies of men and women (one of them veiled) about their love life and sexual experiences. One of the women is an adaptation of a character from the novel Banat al-Riyadh (Girls of Riyadh) by Saudi writer Rajaa al-Sanea. Performers in the play recite a variety of texts that deal with marriage and sexual relations like sayings by prophet Mohammed and his companions as well as articles from the law and police reports that document sexual crimes. Tackling taboos Hobb Story” tackles sensitive issues that are generally considered taboo in the Arab world Director of the play Lotfi Achour. âThe play does so in a very daring manner without any sugarcoating,â he told Al Arabiya. âI do not agree with critiques that said the play was shocking or that sexual insinuations were too intense.â In response to critics that slammed the playâs explicit approach to relationships regarded as illicit in the Muslim world, Achour stated that sex outside marriage has become a reality in Tunisia and other Arab countries and that is why it cannot be overlooked. âThe problem with Arabs is that they do not face their reality. Arab and Muslim societies suffer from schizophrenia because they look like they are liberated from sex issues while the exact opposite is true.â Regarding the fact that he tackled sex in countries other than Tunisia like Lebanon, Egypt, Algeria, and Saudi Arabia, Achour said that this was his duty. âAs an artist, I canât only tackle problems of my country, but I have to include other Arab countries as well as the entire world.â Politicization of religion Actress Anissa Daoud, who wrote the play, denied allegations that the topic of the play was chosen for commercial reasons. âWe did not discuss taboos because they attract more people,â she told Al Arabiya. âThe play also tackles several other issues that are not of less importance.â For example, Daoud pointed out, the play talks about the recent emergence of reality shows in the Arab world and the politicization of religion. In previous statements, Daoud explained that it was important for the play to tour cities like London and Paris, which are homes to large Arab and Muslim communities. The play premiered in the 2009 Carthage Theatre Festival then toured several European countries. In March 2010, the play was performed in Paris and in July it was staged in the UK as part of the London International Festival of Theatre. (Source: alarabiya.net le 27 septembre 2010) Lien: http://www.alarabiya.net/articles/2010/09/27/120458.html Â
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