TNA- Interview exclusive de Nicolas Sarkozy LeMonde.fr: Pour Amnesty International, Internet est le nouveau front de la liberté d’expression Mellouliphobe: Mellouli.. la voix de son être!! Le Monde: L’Algérie face à la question islamiste
Nicolas Sarkozy loue les “relations privilégiées” entre la France et la Tunisie
INTERVIEW EXCLUSIVE DE NICOLAS SARKOZY
(Source: Le blog de Omar Khayyam le 24 mai 2007)
Pour Amnesty International, Internet est le nouveau front de la liberté d’expression
L’AFFAIRE DU SENATEUR RIDHA MELLOULI … SUITE
Convocation
Une instruction judiciaire a été ouverte contre le sénateur Ridha Mellouli pour diffamation.
Le Président de l’AJT a été convoqué par le Substitut du Procureur de la République pour faire se déposition le mardi 29 mai a 15h30.
(NDLR : ce message envoyé à TUNISNEWS par M.Zied EL-HENI était accompagné d’une copie de la convocation en attachement)
Mellouli.. la voix de son être!!
Si je pouvais t’écrire une lettre à une adresse indiquée, LE SENAT à titre d’exemple je l’aurais fait et tu serais un sénateur un vrai dans une République ou tout se respecte
Ah Mellouli! tu ne m’est pas sympathique;;; tu permets que je t’appelle par ton nom même s’il ne m’est pas sympathique? Du tout!
Quand il m’arrive de te croiser dans la rue et quand je jette un coup de deuil sur ta démarche de névrosé
je me pose des questions et je me dis comment est ce que le casting des arcanes du pouvoir t’a élu sénateur?
Sénateur ai-je dis? Et sans passer par les urnes, mais bien par les latrines du coup tu t’es senti investi d’un pouvoir magique divin.. Celui par exemple de cracher sur l’intelligence nationale. Bravo petit étron! Tu as la capacité d’être méchant et de sentir mauvais.
On peut alors se demander (y compris moi petit citoyen de cette vieille terre) : pourquoi les journaux de divers tendances ne racontent jamais rien de Mellouli Zouaoui et de ses petits en tant que sénateur parachuté attentivement, méchant spécifiquement, révulsif ?!
Toi Ô toi qui n’es en somme qu’un petit journaleux (ayant raté ses diplômes a l’IPSI) pour devenir un échotier ou parolier de merde à dents de chien encagé… enragé!
Et je t’ai vu à la télévision chez le marchand d’armes
d’Hannibal TV.! Je t’ai vu avec ton ordinateur portable qui cache quelques papiers en guise de cache-vomi!
Tu débites Marx ou Hegel à ta guise..
Bravo! tu as appris ta leçon… et tu dessertes sur la laïcité en passant d’une phrase l’autre… On ne
suit plus. Ma parole, tu divagues oui, mais t’as un gouffre de méchanceté qui inquiète les politiciens et
les psy. Disons que ton processus bouligraphique de facho complet, d’un universitaire papelard, faux dévot et surtout hypocrite .
Ah mellouli (avec le petit m) par ou tu passes âme devient froide… T’es cet espèce de croque mort grotesque de prétention avec une vanité de paon!
Rien ne t’arrête tu passes ton temps à troufignoler a plaisir les bonnes raisons et tes mauvaises causes, tu
confusionnes très vachement, tu aboies derrière l’intelligence nationale en barrant la route aux droits minimums du citoyen pour servir tes droits sacres… Sacré coquin! quand tu as fini avec la Ligue, te voila étendard en main à combattre les islamistes et du coup tu deviens Brasillach des temps modernes. Tu
connais brasillach? Non et non, pourtant tu essayes d’être son indigène c’est tout.. Passons petite fiente
qu’as tu osé écrire sur les journalistes sous payes, mais toujours fiers d’être en première ligne? Tu connais toi la première ligne?
Satanée petite saloperie, étron éjecté de l’Algérie française pour t’installer en Tunisie et te naturaliser deuxième zone (tu caches ton vrai nom d’un certain Zouauoi pour mieux t’enraciner sur le marbre
du sénat. AH QUE J’AI MAL A LA TUNISIE!
Passons, passons en évoquant à ta guise dans un chiffon. Brimer.. là tu nous sors de l’entre fesse pour nous salir dehors ..anus …pfoui!!
Que cherches tu? qu’on nous écrase ou qu’on nous achète avec un quart de poulet? et ça te plaît ? C’est
l’évidence que je t’écrabouille. Oui je te vois encore en photo avec tes gros yeux… cette ventouse baveuse tu es un cestode dégoûtant
Que n’inventerait il le monstre pour tuer la plume desjournalistes?
Lisez bien ce qu’il a écrit dans REALITE dont le propriétaire n’est autre qu’un sadique tunisois qui se
vante d’avoir son hôtel à mille étoiles et d’avoir réduit ses journalistes à la mendicité tout juste des subsides pour que le journaliste ne crève pas.
Pour ma part et sur la foi de ce qu’il a dit à la télévision et ce qu’il a écrit ailleurs je suis bien
forcé de ne plus voir Zouaoui MELLOULI que dans la peau d’un assassin et encore mieux d’un foutu donneur (indic pour les braves) maudit, hideux, chiant, pourvoyeur, bourrique à lunettes. Voila que je m’emballe même si ce n’est pas de mon âge ni de mon état, j’allais clore là dégoûté c’est tout et je réfléchis à cet assassin avec ses yeux d’embryonnaire et ses épaules de bandit à quat’sous. Il fait joujou, il court après les épreuves, il veut passer tout à fait monstre. Il engueule même les ministres de la Republique!! Du coup il veut commettre l’irréparable, et tu passeras succube.
Je vous vois bien ténia, certes mais pas cobra du tout cobra sans lunettes..Oui nul méchant sale ingrat, haineux, bourrique, et ce n’est pas tout ZOUAOUI MELLOULI
cela ne suffit pas.. J’attends que tes sorcières te transmutent, éclosent en vrai phénomène en ténia qui joue la zoukra..
Qu’attends tu des journalistes flagelle de moustique ?
Qu’ils regardent ton spectacle? Mais là tu vas faire des merveilles quand tu seras éclos vrai monstre!
JE TE VOIS DEJA HORS DE TA FIENTE JOUANT PRESQUE DE LA
ZOUKRA ET DEJA UN VRAI PETIT MONSTRE.
MELLOULIPHOBE…
L’Algérie face à la question islamiste
par Florence Beaugé
Pour se faire entendre, les Algériens ont choisi le silence. En refusant dans leur grande majorité de se rendre aux urnes, le 17 mai, pour renouveler leurs députés, ils n’ont pas suivi les appels au boycott lancés par la branche d’Al-Qaida au Maghreb. Ils ont en réalité manifesté leur refus de cautionner davantage le semblant de vitrine démocratique qui leur est imposé depuis des années : institutions vides de sens et de pouvoir, multipartisme de façade, responsables politiques réduits à l’état de pantins… Jamais la population algérienne n’avait manifesté un tel désintérêt pour une consultation électorale depuis l’indépendance du pays : 35,5 % de participation, selon le taux officiel. Dans la réalité, sans doute encore moins (entre 12 % et 20 %).
Le pouvoir a-t-il entendu le message qui lui était adressé ? A écouter Yazid Zerhouni, le ministre de l’intérieur, se féliciter, d’une voix monocorde, deux heures durant, vendredi 18 mai à Alger, du succès de ces élections législatives, on peut en douter. Difficile de savoir si le ministre croyait à ce qu’il disait ou s’il ne cherchait qu’à sauver les apparences, face à la presse algérienne et internationale. M. Zerhouni pourra-t-il jamais mesurer, en tout cas, l’ironie de la situation lorsqu’il a célébré “la maturité politique” dont venaient de faire preuve les citoyens algériens à l’occasion de ces élections législatives ?
Sur ce point, le ministre ne se trompe pas. La société algérienne n’est pas immature. “Elle est même très bien informée sur les standards minimaux d’une vie politique sérieuse. Ne pas le comprendre ne peut mener qu’à des déconvenues, souligne K. Selim, éditorialiste au Quotidien d’Oran. Le système en place est totalement organisé sur une logique de conservation et surtout de défiance à l’égard d’une société qui s’est rebellée en 1988 et qui a “mal voté” (en faveur des islamistes) en décembre 1991. Et il ne semble pas près de sortir de cette fixation qui le pousse à décider lui-même de la représentation des Algériens.”
Le pouvoir reste en effet hanté par la victoire du Front islamique de salut (FIS), il y a seize ans. Il n’a de cesse, depuis, de façonner une scène politique à son image, en entretenant artificiellement des apparences de partis – la nouvelle Assemblée populaire nationale (APN), truffée de plus d’une vingtaine de formations différentes, certaines microscopiques, a des allures de mosaïque -, à coups aussi d’interdictions, d’éliminations ou, à l’inverse, de regroupements forcés.
Dernier exemple en date de ces manipulations à courte vue : la disparition du parti El Islah du paysage politique. Par des manœuvres administratives, le pouvoir a éliminé il y a deux mois Abdallah Djaballah, le chef charismatique de ce parti islamique agréé, non membre de l’Alliance présidentielle. Dans la nouvelle APN, El Islah (conduit par un autre leader, sans légitimité) ne dispose plus que de trois sièges, contre quarante-trois précédemment. Or M. Djaballah conserve une réelle popularité au sein d’une bonne partie de l’électorat islamiste en Algérie. A l’inverse de son frère ennemi, le Mouvement de société pour la paix (MSP, ex-Hamas), cet islamiste pur et dur, à l’allure austère, n’a jamais accepté d’entrer au gouvernement et a toujours exprimé des positions critiques à l’égard du pouvoir.
El Islah n’a sans doute pas tort d’affirmer qu’il a été écarté parce que faisant de l’ombre au FLN et que son chef Djaballah devenait une figure trop visible de la scène politique algérienne. Mais escamoter M. Djaballah ne le fait pas disparaître. D’autant que les chaînes de télévision paraboliques du Golfe, Al-Jazira notamment, s’empressent de lui offrir leur antenne. Son éviction suscite une grande frustration en Algérie, au sein de l’électorat islamiste. Même problème avec l’ex-FIS, dorénavant interdit, mais dont les chefs historiques, Abassi Madani (exilé au Qatar) et Ali Benhadj (resté à Alger), conservent leur aura. Soigneusement annoncés à l’avance, les déplacements d’Ali Benhadj dans les mosquées d’Alger sont suivis avec une ferveur discrète mais réelle par de nombreux fidèles, souvent des jeunes.
APPARITIONS INOPINÉES
Gracié, donc libre de ses mouvements comme beaucoup d’autres islamistes depuis la “réconciliation nationale”, il y a un an et demi, Ali Benhadj semble tenté de mettre fin à la retraite que le pouvoir lui avait imposée, ces trois dernières années, à sa sortie de prison. Le numéro 2 de l’ex-FIS fait de plus en plus fréquemment des apparitions inopinées ici et là – à Blida, Alger ou ailleurs -, quitte à plonger dans l’embarras ou la fureur ceux à qui il rend visite de façon ostensible…
Seize ans après l’interruption du processus électoral, le pouvoir algérien ne peut que le constater : le traitement autoritaire de l’islamisme est un échec. L’électorat islamiste refuse de se laisser capter par les partis du pouvoir. D’où le gouffre qui sépare les partis de la société, d’où surtout la crise de la représentation politique en Algérie. En janvier 1995, une proposition de solution – le “Contrat de Rome” – était apparue. Parce qu’elle préconisait de vrais mécanismes légaux pour quiconque accéderait au pouvoir et qu’elle insistait sur la question des libertés, elle allait être rejetée par le pouvoir. Mais l’Algérie, si elle veut avancer, pourra-t-elle éviter éternellement d’établir un vrai contrat entre le pouvoir et les forces politiques réelles ?
Pour l’heure, le “système” est surtout préoccupé de sa survie. Les jeux d’ombres se multiplient, alors que la santé du président Bouteflika décline. Le peuple algérien est tenu dans l’ignorance de l’état réel de son président, ce qui ajoute au climat d’incertitude et d’anxiété. Officiellement, M. Bouteflika est en pleine forme. Il est même “infatigable”, a affirmé, le 18 mai, le chef du gouvernement, Abdelaziz Belkhadem, contre toute évidence. “L’entourage du président parvient presque à donner le change. Mais ce qu’il n’arrive pas à faire, c’est à masquer ses absences prolongées”, admet un membre du pouvoir.
Soumis à des traitements répétés – qui le redopent un temps -, préoccupé par le mauvais état de santé de sa mère, âgée de 91 ans, plus encore que par le sien, M. Bouteflika ne préside plus vraiment la maison Algérie. D’autres s’en chargent pour lui. Ils le font dans la pagaille, sans la lucidité et la capacité d’anticipation que réclame le pays. L’Algérie est en état d’ébullition sociale. Les jacqueries se poursuivent, du nord au sud et d’est en ouest, parfois une semaine durant. Privés de véritables représentants, les jeunes Algériens ne connaissent que l’émeute comme moyen d’expression. L’étincelle menace depuis longtemps d’enflammer le pays. Il suffirait d’un rien…
(Source : « Le Monde » (Quotidien – France), le 25 mai 2007)