22 septembre 2008

Home – Accueil

 

 

TUNISNEWS

8 ème année, N° 3044 du 22.09.2008

 archives : www.tunisnews.net  


ALTT: Que cesse le harcelement de Slim Boukhdhir Un cartable pour les enfants des  prisonniers du Bassin Minier de Gafsa en

ELKHADRA: Lettre à un repenti

Xinhua: Tunisie : une citoyenne vit depuis 11 ans avec des ciseaux dans le ventre

AFP: Qaeda calls for jihad in North Africa: SITE

AP: Libye: un retour en grâce favorisé par son pétrole et son rôle en Afrique

Reuters: Algeria curbs dismay foreign investors


 
ASSOCIATION DE LUTTE CONTRE LA TORTURE EN TUNISIE

QUE CESSE LE HARCELEMENT DE SLIM BOUKHDHIR

   

Le journaliste Slim Boukhdhir  a contacté l’association, hier tard le soir, pour l’informer qu’il a été enlevé par quatre policiers en tenue civile, vers 21.30 alors qu’il était devant le cybercafé qu’il fréquente à Sfax. Ils l’ont emmené au district de police ou il a passé environ dix minutes sans qu’on l’informe de l’objet de son interpellation. Les quatre policiers l’ont ensuite emmené en voiture et ont pris la route de Sidi Mansour puis celle de «  Tarik el Aiin » . Ils l’ont l’insulté, l’ont traité d’espion et l’ont menacé de viol et de meurtre… «  le problème c’est qu’on ne t’a pas baisé quand tu étais à la prison de Sfax … c’est pour cela que tu continues d’écrire… »  lui ont ils déclaré. Après avoir fait des kilomètres ils l’ont laissé dans un lieu sombre et désertique. L’Association de lutte contre la torture : – exprime son entière solidarité au journaliste Slim Boukhdhir. – Appelle les organisations de défense des droits de l’homme, les organisations et syndicats de journalistes en Tunisie et dans le monde à mener toutes les actions possibles afin de protéger Slim Boukhdhir  et de lui garantir son droit de continuer son travail sans risques.     Fait à Tunis le 21 Septembre 2008. Pour l’Association La Présidente Radhia Nasraoui   Pour contacter l’A.L.T.T  tel ( 00216) 98 33 99 60 / 98351584

Un cartable pour les enfants des prisonniers du Bassin Minier de Gafsa en TUNISIE Une rentrée scolaire pas comme les autres

 

 
La rentrée scolaire aura cette année un goût amer dans la région du Bassin Minier en ébullition depuis le mois de janvier 2008. 160 personnes ont été arrêtées à Redeyef, Metalaoui, Om Laârayes et Em-Mdhila. Enseignants, étudiants, élèves, chômeurs ont été déjà jugées et croupissent dans les prisons de Gafsa, Sidi Bouzid et Kasserine. Les procès se sont tenus presque toutes les semaines durant la période estivale. D’autres personnes, encore, sont toujours recherchées. Nombre de ces prisonniers de l’emploi et de la dignité ont des familles, des enfants qui reprennent l’école ce 15 septembre. Mais cette rentrée n’aura pas le goût de la fête pour des dizaines de familles. En plus d’un contexte global extrêmement difficile, ces familles de prisonniers sont privées de leur unique source de revenus et sont victimes de dépenses supplémentaires engagées lors des visites de leurs proches détenus dans les prisons dans d’autres villes. Adressez vos dons à l’ordre de « Amorces – [comité de soutien GAFSA]». Comité de soutien à lapopulation du bassin minier de gafsa C\OFTCR, 3 rue de Nantes 75019 Paris Tel : 01.46.07.54.04 – Fax 01.40.34.18.15 maghrebsolidarite@ras.eu.org  

Voici le numéro 114 d’ELKHADRA. Bonne lecture

http://elkhadra.over-blog.com elkhadra@hotmail.com

 
*************************** #  Lettre à un repenti # NOS AMIS LES FLAGORNEURS µ Le soleil se couche à l’Ouest # DE HEND HAROUNI # http://www.tunis-online # Marginal en Tunisie, expulsable en France # Antisémitisme et islamophobie # Comment le peuple juif fut inventé # SIONISTES PARTOUT, DROIT NULLE PART… # Halima Boumediène TAHKI…… # Le pape ou le Coran # N’OUBLIEZ JAMAIS # Un jeu vidéo invite à tuer tous les musulmans de la planète # 11 Septembre : Il n’y a aucun doute à avoir. # Edvige-Facebook, les liaisons dangereuses # Les Américains vont perdre la guerre en Iraq # SIONISTES ESCLAVAGISTES # Tunisie: Confiance bancaire # Help Erragi # K.TRAOULI # A.HAROUNI SG DE L’ORGANISATION DES DH LIBERTE ET EQUITE # MON11 SEPTEMBRE # « L’injustice sociale tue » # Mohammad Abdouh au cœur de la Nahda (2/2) # LA FINANCE ISLAMIQUE # Mohammad Abdouh au cœur de la Nahda # Suspension de l’Accord d’Association Union Européenne-Israël # SARKO BEN ALI # Le Maghreb au carrefour des luttes # AUX ÊTRES CHERS ABSENTS ها صيام وقيام وأنوار في عز… # « L’ELAN DE SOLIDARITE »  

Lettre à un repenti

 
Par Sonia.D « Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse » ALFRED DE VIGNY On a tellement écris de sur le retour de CHOKRI HAMROUNI (tunisnews 19.09.08https://www.tunisnews.net/19septembre08f.htm ) en Tunisie, pour les uns et surtout pour certains de ses anciens amis et nos toujours amis résidents en Tunisie, il s’agit , tout simplement d’une reddition, et comme  chacun sait et c’est humain, chaque reddition a son prix, qui peut imaginer, le voyou de Carthage  et ses chiens de garde, faire excès de compassion et d’humilité ? Chokri à l’époque de son départ a défendu son point de vue et son choix qui sont somme toute respectables, il n’a de compte à rendre à personne,  et je suppose  que sa démarche fut réfléchie et libre. Ce qui commence à devenir gênant, lourd et pénible  dans cette histoire, son histoire avec un tout petit « h »  qui est un non événement, tellement qu’avec ce genre de bisbilles à deux balles, certains s’amusent et amusent la galerie à la fixer sur le dérisoire et le futile, mais des fois même dans ces dérives on peut trouver matière, en fait le cas HAMROUNI est banal, ce qui ne l’est pas, c’est  cette frénésie des ego dans l’usurpation des conditions, jusqu’à plonger la majorité silencieuse des tunisiens dans la lassitude,  à bien réfléchir,  beaucoup d’autres que HAMROUNI, et d’un autre calibre, rentrent ou vivent en Tunisie, sans peur ni reproches, comme M.MARZOUKI, M.YAHYAOUI, MAATAR, HAROUNI, ZOUARI ect.. et nous évitent  leurs états d’âme, ils assument totalement leurs conditions,  et n’attendent rien de personne, ils sont dans la fidélité, la solidarité, les principes et l’éthique, c’est en cela qu’ils seront toujours supérieurs à la dictature, et aux second couteaux de l’opposition, ces justes exercent leurs libertés, ou plutôt courageusement essaient malgré tout de les imposer et de les exercer, sur tous les sujets , ils écrivent, s’expriment ect…malgré la répression  et le harcèlement permanent,  dont eux et les leurs  sont les  victimes expiratoires, donc et à partir de là, chaque tunisien qui s’engage et assume sa condition, le fait en conscience et librement, avec toutes les conséquences que cela suppose, aucun tunisien , pas plus HAMROUNI que quiconque n’est dans l’obligation  de lutter et de militer ; mais si on le fait, on évite dans son droit  légitime de  renoncement de cracher dans la soupe, et de salir les autres, ni de se mettre mine de rien, avec subtilité et puérilité , dans une autojustification pompeuse et mensongère, comme si cela pouvait apporter quelque chose au débat de fond ;  de justifier ses échecs, en se mettant au service, même d’une façon light, avec roublardise,  de ce qu’hier encore on diabolisait à juste titre, c’est-à-dire la dictature, c’est petit et c’est humiliant, c’est payer trop cher  l’embrouille,  et en plus  cela produit  l’effet contraire de  l’effet recherché, tant d’amateurisme fait pitié,  CHOKRI ne mérite pas  autant de bassesses, et les démocrates tunisiens non plus.  Oui tous ceux qui sont dans le système, qu’ils soient ministres, fonctionnaires ou militants  au RCD, le parti unique, quoiqu’en pense HAMROUNI,  doivent assumer devant l’histoire les crimes de la dictature.BEN ALI n’est que la muse de cette dictature tunisienne, tout le reste et les fondements qui la maintiennent en place, d’une façon dramatique, sont ces légions de janissaires qui brodent ses limites, sans eux BEN ALI, les TRABELSI et CIE, ne pèsent pas lourd, Chokri le sait, pourquoi ce retournement ? Oui ces JANISSAIRES ne sont pas des tunisiens comme les autres, la majorité des tunisiens sous le harnais,  ce sont le bras armée d’une dictature qui avilisse le peuple tunisien, qu’ils soient alimentaires, opportunistes, arrivistes, kobbzistes ou débiles mentaux, cela ne change rien au problème, ce n’est pas une excuse, ils ont été dans une stratégie de mort et de destructions, tout est relatif dans cette vie terrestre, mais chacun doit assumer ses errements. Dans une Tunisie libre et future, cela sera à une justice libre, indépendante,  de faire la part des choses, et aux gens  comme HAMROUNI et tout autre tunisien d’avoir le choix d’être des témoins à charge ou à décharge, pas besoin de justifications  ou d’usurpations dans un système  régit par le droit, tout est affaire de vérité historique, les témoins et les archives servent à cela,  c’est le propre de la démocratie, c’est notre vision de démocrates, nous ne nous abaisserons pas  à utiliser les mêmes méthodes  que la dictature, des méthodes archaïques et barbares, qui semblent ne PLUS déranger HAMROUNI qui fait étalage, sans vergogne, sans aucune pudeur,  de ses  sublimes amitiés occidentales, nous,  nous serons toujours  dans la responsabilité, la justice et le droit, et tout le reste est affaire de faits accomplis et de rapports de force. Je me demande par quelle opération du saint esprit, HAMROUNI compte servir son pays qu’il dit aimer tant, en faisant l’impasse sur tout ce qui l’enlaidit tant. Si pendant  toutes ses années d’exil, il a pu  acquérir la moindre  expérience, des savoirs et des savoir-faire, comme il le dit si bien, devant le népotisme et la gabegie qui ruine la Tunisie , il devrait ou bien affirmer son engagement contre la dictature, se taire et se terrer dans l’attentisme, ou bien  ouvertement se mettre au service de la dictature, il n’y’a d’autres choix dans l’état actuel des choses en Tunisie, et plus que tout,  n’importe lequel de ces trois choix  est inscrit dans l’honnêteté, c’est cela l’éthique. Un drôle de mot, mais malheureusement,  nous en sommes en manque dans notre culture politique, quelque part, c’est pour cela que  le système BEN ALI perdure et  risque de perdurer bien après sa mort.  « Se rendre utile autrement, servir et non se servir de mon pays toujours avec la même dignité et le même sens du devoir », je reprends  la même phrase que CHOKRI, car  elle est  pleine de bon sens, prise dans un autre contexte, mais dans la situation actuel de notre pays, c’est de la pure démagogie, aujourd’hui on ne peut SERVIR la Tunisie , sans SE SERVIR, qu’en combattant radicalement la dictature de BEN ALI, toute compromission, ou même  écoute des prétentions  de cette dernière,  ce n’est pas servir  notre patrie, mais bel et  bien servir la Tunisie de l’ère nouvelle de BEN ALI,  et donc par voie de conséquence se servir, si c’est cela le sens du devoir de HAMROUNI, je regrette, moi j’appellerais cela le sens du compromis, et du parjure ;  c’est le droit  de CHOKRI de procéder ainsi, ce n’est pas son droit par contre de pêcher par opportunisme  et d’enfiler  par effraction l’habit du moine et de la pureté. D’après ses dires,  HAMROUNI a côtoyé d’immenses personnalités, ce qui est  le plus malheureux  dans la litanie de son étalage, c’est  son idolâtrie  de leurs actes  les plus  aboutis, sans aune conscience, ces  exemples n’ont jamais été dans le renoncement. CHOKRI HAMROUNI est très loin du cheminement  d’un SARFATY ou d’un NEGRI, il n’a absolument rien compris à leur démarche et à leur projection dans l’avenir, le leur, et celui de leur cause, je lui conseille de réviser, et revisiter  leurs fondamentaux et leurs lieux communs, s’il a la moindre conscience politique  ou lucidité, il comprendra facilement,   que lui et ses semblables, sont la  parfaite contradiction philosophique et humaine de ces grands hommes. Quand au folklore  familial  de l’amour  de notre terre , de l’équipe national de football et bla bla bla, les gens du RCD aussi sont dans cette même considération, dans leur délire chauviniste,  tous les tunisiens contre la dictature ont cette vibration aussi, d’un côté comme de l’autre  cela ne donne aucune preuve de bonne foi,   quand à une vision moderniste de la Tunisie, car  il s’agit pour nous de morale et de libertés, pas d’affect conditionné, de chants patriotiques détournés par des voyous pour servir leurs intérêts privés, et qui semblent trouver grâce aux yeux de HAMROUNI. Nous sommes aussi pour beaucoup d’entre nous nés ici, en France, mais notre vision de la TUNISIE, est à mille lieues  de celle de ben Ali, sa TUNISIE handicapée à tous les niveaux par l’arbitraire et la barbarie. Et ce qui est plus choquant encore dans la pensée de HAMROUNI, c’est l’emploi des mêmes procédés que les propagandistes et les repentis  de la dictature honnie de BEN ALI, plus fins que BESSIS, MEZRI, mais aussi répugnants,  du genre, ceux qui ne sont pas d’accord avec moi, ceux qui s’activent  contre la réalité dictatoriale,  sont des opportunistes, des frustrés , voire des irresponsables qui salissent l’image de la TUNISIE…heureusement que le ridicule ne tue pas, CHOKRI  HAMROUNI, pire que d’aveuglement, il est atteint de la cécité du cœur, maladie de blaireaux, incurable ; franchement que reste-t-il à salir de l’image de cette TUNISIE défigurée par la dictature depuis l’indépendance ? Elle et ceux des pauvres hères qui se soumettent à elle,  salissent la TUNISIE jusqu’au dégoût. (Source : le blog « ELKHADRA », N° 114 du 21 septembre 2008) Lien : http://elkhadra.over-blog.com  

Libye: un retour en grâce favorisé par son pétrole et son rôle en Afrique

 
AFP, le 22 septembre 2008 à 08h34 Par Imed LAMLOUM         TRIPOLI, 22 sept 2008 (AFP) – Réintégrée dans le concert des nations et membre du Conseil de sécurité de l’ONU, la Libye est devenue un partenaire incontournable de la communauté internationale pour son influence en Afrique mais aussi ses réserves énergétiques. Pour l’analyste politique libyen Mustapha Fitouri, le fait que ce riche pays pétrolier ait été élu à l’un des sièges non permanents de l’exécutif onusien pour la période 2008-2009 est « une victoire pour la diplomatie libyenne » et la « reconnaissance de l’importance de son rôle surtout en Afrique ». « Tripoli a d’ores et déjà réussi à laisser son empreinte à l’ONU », a-t-il affirmé à l’AFP. Le numéro un libyen Mouammar Kadhafi, dont les déplacements ne sont jamais annoncés à l’avance, ne se rendra probablement pas à New York mardi pour l’Assemblée générale annuelle des Nations Unies et devrait y être représenté par son ministre des Affaires étrangères, Abdelrahman Chalgham. Naguère considéré comme un « parrain » du terrorisme international, M. Kadhafi est désormais perçu comme un acteur possible de la résolution des conflits en Afrique, où son pays a effectué des investissements massifs. La Libye, qui partage notamment des frontières avec le Soudan, le Tchad et le Niger, est ainsi plusieurs fois parvenue à convaincre des rebelles du Darfour et le gouvernement de Khartoum à s’asseoir autour de la table des négociations. Jouissant d’une influence considérable auprès de certains dirigeants africains, de certaines tribus ou factions rebelles du continent, le colonel Kadhafi, chantre du panafricanisme, tente surtout d’éviter toute présence de forces occidentales près de ses frontières. En recevant le 5 septembre la secrétaire d’Etat américaine Condoleezza Rice, il a réaffirmé son opposition à l’établissement d’un commandement militaire américain en Afrique (Africom). Avec sa visite historique à Tripoli, Mme Rice a confirmé le nouveau statut de Mouammar Kadhafi, progressivement devenu un dirigeant fréquentable après être sorti de son isolement international en annonçant en 2003 son renoncement aux armes de destruction massive. D’autre pays comme la France, la Grande-Bretagne ou l’Italie avaient déjà renoué des liens officiels avec Tripoli, avec en prime de juteux contrats, dont un accord en matière de nucléaire civil pour Paris. La Commission européenne a entamé de son côté début septembre ses discussions avec Tripoli dans la perspective d’un accord de partenariat annoncé après le dénouement, en juillet 2007, de l’affaire des soignants bulgares. Cette percée diplomatique, Tripoli la doit surtout à son or noir, « toujours au centre de ses discussions » avec l’Occident, selon le président de la Compagnie nationale libyenne du pétrole Chokri Ghanem. « Les portes sont actuellement ouvertes aux compagnies pétrolières occidentales pour investir dans un pays stable et riche en réserves énergétiques », a-t-il indiqué à l’AFP. Un observateur arabe à Tripoli a estimé sous couvert de l’anonymat que le rapprochement de l’Occident avec la Libye « vise à contrecarrer les tentatives de la Russie et de la Chine de renforcer leur influence sur le marché mondial de l’énergie dans un contexte de retour à la guerre froide ». Mais pour les Européens, l’importance stratégique de la Libye ne tient pas uniquement à la richesse de ses sous-sols. Elle relève aussi de sa position géographique. Tripoli, espèrent-ils, doit jouer un rôle pour contenir les flux de clandestins vers l’Europe. Pour les Libyens, l’immigration est un levier. Si Rome s’est récemment plié aux exigences de la Libye en acceptant de la dédommager pour l’époque coloniale, c’était surtout pour obtenir de Tripoli une meilleure coopération dans la lutte contre l’immigration clandestine.     AFP  

ANALYSIS-Algeria curbs dismay foreign investors

 
Reuters, le 22 septembre 2008 à 13h48 By William Maclean ALGIERS (Reuters) – Investment curbs announced and proposed in the last two months look set to dampen foreign interest in OPEC-member Algeria, delay diversification and slow job creation vital to social stability. Adopting a strongly nationalist tone ahead of a presidential election in 2009, the north African energy exporter says foreign investors are having it too easy and the war-weary 34 million population should get a bigger share of national wealth. Analysts say populist measures unveiled and proposed in the non-energy sector will tighten an investment regime already hobbled by a complex and ponderous bureaucracy and overshadowed by political uncertainty and sporadic al Qaeda bombings. The measures, announced apparently without consultation with business and including a 49 percent limit on foreign ownership, may make investors think twice about entering a country still searching for stability after years of political violence. That would be bleak news for Africa’s third biggest economy, which badly needs new skills and technology, relies excessively on oil and gas and where most adults under 30 are unemployed, analysts say. It is in the non-energy sector that Algeria hopes to create most new jobs. « If they implement this it’s going to be a disaster for the economy, in terms of affecting investors wanting to commit to the economy, » said Philippe Dauba-Pantanacce, senior economist, Middle East and North Africa at Standard Chartered Bank. « Foreign investors have continued to talk about Algeria as a place of great potential, but these new regulations will deter potential foreign investment, » said EFG-Hermes senior economist Simon Kitchen, who sees Algeria’s new attitude as a « U-turn ». The steps include the imposition of the 49 percent foreign investor stake cap on foreign investors from no previous limit and an end to the right of industrial investors to own land on which they build a project. Also, the 2009 draft budget proposes giving the state the right of first refusal should a foreign investor decide to sell. « AGGRESSIVE TERMS » Kitchen said of the right of first refusal plan: « Even if you expect to come in for a long time, it does raise questions over how you get out if you need to. » A proposed ban on financing construction through prior sale of property to end-users may affect some big projects planned by Arab Gulf property developers, Algerians say. Geoff Porter, an analyst at Eurasia Group consultants, said the terms looked tough. « If they only applied to hydrocarbons then they would be in line with global trends, but even compared to China these terms are aggressive. » « Compared to elsewhere in Africa these terms are very tough » apart from South Africa which has similar land ownership curbs. The 49 percent limit is a staple of many investment regimes. However, unlike some emerging economies, Algeria lacks free zones that offer foreign companies a workable alternative to minority participation. The measures echo nationalist changes in the hydrocarbon sector in 2006 that entrenched a dominant role for state firm Sonatrach and slapped foreign energy firms with a windfall tax. Like the 2006 moves, the new changes are popular with a population steeped in nationalism since independence from France in 1962 and have powerful backing. In a July 26 speech, President Abdelaziz Bouteflika startled foreign investors by lashing out at those he said had profited at Algeria’s expense. Officials insist they need foreign investment and Prime Minister Ahmed Ouyahia says he wants to build a market economy. « There is no failure of economic policy and there is no change of course. There is a refinement of method, » he said. Diplomats suspect some steps will eventually be dropped or that the 49 percent limit will be applied case by case. UNCERTAINTY « Before drawing drastic conclusions we should see if this is pre-election rhetoric, » said Dauba-Pantanacce. But for some investors, a case by case scenario is worse, since it injects more uncertainty into the planning process. One senior diplomat worries that the damage may already have been done: he said the nationalist tone of official statements could encourage middle-ranking administrators to impose the maximum demands in processing foreign companies’ paperwork in the belief that it is their patriotic duty. Algerian economist Lyes Kahouadji favors many of the measures as a necessary defense of Algerian interests but he dislikes the way the measures appeared suddenly. « We don’t understand why the government has taken these decisions, » he said. « There is no debate, no explanation. » His comments echo those of many foreign investors who still await details of the some of the measures and their implementation. Some Algerians say that instead of hitting foreigners the state should do more to help the small domestic private sector. Most analysts suspect the government’s motives are political rather than economic ahead of a presidential election in April 2009 in which Bouteflika is expected to seek re-election. But for foreign investors, the election itself poses a another uncertainty: Bouteflika can stand only if the constitution is changed to permit him a third term. Bouteflika has not yet even confirmed that he will seek another term.  

Tunisie : une citoyenne vit depuis 11 ans avec des ciseaux dans le ventre

 

 2008-09-22 21:01:40      TUNIS, 22 septembre (Xinhua) — Une citoyenne tunisienne âgée de  43 ans a vécu 11 ans avec des ciseaux dans le ventre, suite à une  césarienne pratiquée sur elle en 1997, rapporte lundi l’  hebdomadaire tunisien « Tunis-Hebdo ».        Selon « Tunis-Hebdo », l’équipe médicale qui l’avait opéré le 14  octobre 1997 au centre d’ accouchement et de pédiatrie à Tunis,  avait commis la négligence « d’oublier » des ciseaux dans les tripes de la bonne dame sans prendre les précautions nécessaires pour  éviter cette erreur médicale grave.       « Face aux crises douloureuses persistantes, le frère de la  victime dénommée « Nejma », décida de consulter un avocat qui porta l’affaire devant la justice » , souligne « Tunis-Hebdo ». Une enquête s’ensuivit sans grand résultat, puisque tous le médecins de  l’hôpital de sa ville natale (Tébourba) ainsi que des médecins  privés consultés conclurent à l’unanimité que les douleurs dont se plaigne la victime étaient dues à un microbe dans l’estomac.  Toutefois, ajoute « Tunis-Hebdo », cette explication n’a pas  convaincu le frère de la victime qui décida cette fois de faire  passer sa soeur au scanner. La grande surprise était de constater  que sa soeur portait dans le ventre une paire de ciseaux , celle- là même qui avait servi à l’opération depuis 11 ans.        Face à preuve irréfutable, « Nejma » fut opérée de nouveau dans  le même centre où on lui a extrait la fameuse paire de ciseaux.  

Qaeda calls for jihad in North Africa: SITE

 
AFP, le 22 septembre 2008
DUBAI (AFP) – Al-Qaeda’s North Africa chief has called on Muslims there to join the jihad (holy war) and slammed governments in the region where the group has repeatedly claimed attacks, a US monitoring service said on Monday. « Unite around the jihad that is the only alternative power to the apostate regimes that dominate over our lands, » Abu Musab Abdul Wadud, leader of Al-Qaeda in the Islamic Maghreb (AQIM), said in an audio speech posted on Sunday on Islamist militant websites, the SITE Intelligence Group said. Abdul Wadud blasted the regimes in Mauritania, Algeria and other North African countries, charging that Mauritania has become « a nest of foreign intelligence » topped by Israel’s Mossad. « Mauritania… has become a nest of foreign intelligence, at its forefront the Mossad, and has become a station of crusader colonial ambition, » he said, according to a SITE transcript. « History will continue to mention that this is the first Arab country, outside of the Tawq (Arab nations surrounding Israel), that recognised the state of Israel and exchanged ambassadors with it, » he said. SITE said the remarks came in a 29-minute video titled « A message to our ummah (nation) in the Islamic Maghreb. » Abdul Wadud also claimed that former colonial power France continues to impose its authority in Algeria, using the Algiers government as a proxy. Algeria is threatened not only by France, but also by the United States which seeks to install military bases there, he charged. Al-Qaeda in the Islamic Maghreb has repeatedly claimed responsibility for deadly attacks in Algeria, including a spate of bombings in July and August. The group has also been blamed for an ambush on a Mauritanian patrol last week after which the decapitated bodies of 12 Mauritanians — 11 soldiers and one civilian — were found.

 

Home – Accueil الرئيسية

Lire aussi ces articles

17 juillet 2008

Home – Accueil TUNISNEWS 8 ème année, N°2977 du 17.07.2008  archives : www.tunisnews.net  Worldblog: Fighting for Press Freedom in Tunisia

En savoir plus +

10 août 2007

Home – Accueil – الرئيسية TUNISNEWS 8 ème année, N° 2635 du 10.08.2007  archives : www.tunisnews.net   APPEL A LA REOUVERTURE DU

En savoir plus +

Langue / لغة

Sélectionnez la langue dans laquelle vous souhaitez lire les articles du site.

حدد اللغة التي تريد قراءة المنشورات بها على موقع الويب.