22 juillet 2008

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TUNISNEWS
8 ème année,N°2982 du 22.07.2008
 archives : www.tunisnews.net 


Liberté et Equité:Urgent : Le gréviste de la faim Adel Ouni est en danger

Liberté et Equité: Demande de déchéance de nationalité

Sihem Bensedrine:Slim Boughdhir LIBRE

Associated Press:Tunisie: libération anticipée du journaliste dissident Slim Boukhdhir

AFP:

Danemark: la justice se prononce vendredi sur la détention des 2 Tunisiens

Nidhal Chérif Résurrection miraculeuse de l’AJT

Al-Oufok

« Tout donner… absolument tout ! »

BALHA BOUJADI:A CHACUN SON CLAIRON ET SON ORCHESTRE, Mr. ADDASSI

mourad regaya : La devise clé du systeme universitaire Tunisien

Taïeb Moalla:précision

AFP : Maroc: les islamistes se présentent comme une alternative à l’abstention

AFP :Les Marocains ont roulé près de 1,7 milliard de « joints » en 2007

AFP :Un million de noms figureraient sur la liste antiterroriste américaine


Sauvez la vie du prisonnier politique et ingénieur Ridha Boukadi Liberté et Equité Organisation de droits de l’homme indépendante 33 rue Mokhtar Atya, 1001 Tunis Tel/fax: 71 340 860 Email : liberte.equite@gmail.com Tunis, le 22 juillet 2008

Urgent : Le gréviste de la faim Adel Ouni est en danger

 
Adel Ouni, gréviste de la faim, a été transporté aujourd’hui, mardi 22 juillet 2008, par ambulance à l’hôpital de la Rabta, dans un état extrêmement critique. Il est jusqu’à maintenant totalement inconscient. Le Président Maître Mohammed Nouri (traduction ni revue ni corrigée par les auteurs de la version originale, LT)  


  Sauvez la vie du prisonnier politique et ingénieur Ridha Boukadi Liberté pour Slim Boukhdhir, la plume libre Liberté et Equité Organisation de droits de l’homme indépendante 33 rue Mokhtar Atya, 1001 Tunis Tel/fax: 71 340 860 Email : liberte.equite@gmail.com  Tunis, le 21 juillet 2008  Demande de déchéance de nationalité  

Nous avons reçu une lettre d’un ex-prisonnier politique qui a insisté auprès de l’association pour que nous la publions telle que :  Monsieur le premier Président du Tribunal de Première Instance de Tunis Tunis, le 21 juillet 2008  Objet : demande de renoncement à la nationalité tunisienne  Le requérant : Houssine Ben Mohammed Jelassi, carte d’identité nationale n°00566857  Adresse : rues et ruelles tunisiennes   J’ai déposé une plainte contre le ministre de l’Intérieur et du Développement Local auprès du Tribunal administratif pour abus de pouvoir, car on a refusé le passeport qui me permettrait de jouir de mon droit de citoyen au voyage et à la circulation où il me plaît sur terre. La chambre de première instance du Tribunal administratif a rendu le 3 mai 2006 (affaire n°1/14487) un jugement en ma faveur, refusant la décision du ministre de l’Intérieur, jugement confirmé en appel par le tribunal administratif le 11 décembre 2007 (N°25859). Bien qu’un huissier de justice ait informé le ministre en lui remettant une copie exécutoire le 12 mars 2008, le ministre a feint d’ignorer l’existence de ce jugement. […]J’ai reçu une promesse d’embauche comme chauffeur de camion . J’ai voulu obtenir le permis exigé bien que l’emploi de chauffeur ne soit pas ce que j’ambitionnais, car mes diplômes scientifiques sont d’un autre niveau. Mais j’y ai été obligé du fait de ma condition sociale et juridique. […] de nouveau il y a eu un abus de pouvoir, […] il a été le fait cette fois-ci du directeur du bureau régional de l’agence technique du transport de Zaghouan et du PDG de l’agence technique du transport, le premier m’interdisant de passer le permis dans le gouvernorat de Zaghouan et le deuxième appuyant le premier, au motif de m’éviter la fatigue du trajet Tunis-Zaghouan, comme c’est dit dans les motivations écrites des deux fonctionnaires. Leur haute moralité les a conduit à un abus de pouvoir […] Attendu que j’ai porté plainte auprès du tribunal administratif, comme indiqué plus haut […}] Attendu qu’il n’y a pas de sanctions réprimant ceux qui se rendent coupables d’abus de pouvoir […] Attendu que les demandes de réparations des préjudices nécessitent un avocat, une attente de plusieurs années et que la demande d’aide judiciaire suppose de présenter des justificatifs qu’il est malaisé de se procurer, Attendu que les honoraires d’un avocat ne sont pas faits pour les pauvres […] Attendu que j’appartiens à cette dernière catégorie […] je demande à être déchu légalement de ma nationalité puisque on m’en a retiré les avantages dans les faits : je suis un citoyen dépourvu de sa citoyenneté. J’obtiendrai peut-être par la suite un passeport du Haut Commissariat aux Réfugiés, serai libre et réfugié dans le monde et pourrai récupérer ma nationalité quand sera chassée la tyrannie et recouvrée la dignité […] Signature : Houssine Ben Mohammed Jelassi […] Le Président Maître Mohammed Nouri (traduction d’extraits ni revue ni corrigée par les auteurs de la version originale, LT)


 

Slim Boughdhir LIBRE

 
Publié par Sihem Bensedrine dans  21/07/2008 Le journaliste Slim boughdhir vient d’être libéré aujourd’hui 21 juillet de la prison de Sfax où il était détenu depuis 8 mois. Il s’agit d’une libération conditionnelle survenue à l’occasion de la fête de la République. Cette libération a été accueillie avec soulagement par ses amis et tous les démocrates tunisiens ainsi que les ONG internationales. Cette libération a été saluée par les ONG de liberté d’expression qui se sont mobilisées pour sa libération et notamment  l’Observatoire pour la liberté de presse, d’édition et de création dont la vice présidente Naziha Rjiba a ainsi commenté l’événement: <!–[endif]–> « Slim Boughdhir n’a jamais outrepassé les limites de sa profession qu’il a exercée avec audace et courage. Mais les institutions de l’Etat (sécurité et justice), tout comme les médias, ont été instrumentalisés en vue d’accréditer la thèse que les militants la liberté en Tunisie ne sont que des criminels de droit commun ; C’est une politique à laquelle il doit être mis un terme définitif. ». Reporters sans Frontières (RSF) a déclaré de son côté: « Nous accueillons la libération de Slim Boukhdir avec une joie profonde. Comme Mohammed Abbou avant lui, Slim Boukhdir n’avait pas sa place en prison. Il a été privé de sa liberté pendant 238 jours et traité comme un criminel pour n’avoir jamais cessé de dénoncer les dérives du pouvoir. Nous voulons voir dans la décision des autorités tunisiennes un gage de bonne volonté ». Quant à Committee to protect journalists (CPJ) qui vient d’effectuer une mission d’enquête au début de ce mois et qui a fait le déplacement devant sa prison, a ainsi commenté cette libération: « Nous espérons qu’avec la libération de Boukhdhir les autorités tunisiennes mettent fin à cette pratique qui consiste à mettre derrière les barreaux les écrivains et de se défaire de ce triste record faisant de la Tunisie le premier geôlier de journalistes dans le monde arabe au cours des sept dernières années. » Contacté par Kalima, Slim Boukhdhir a déclaré que ces « ces huit mois de détention n’ont pas entamé son moral » et sa « détermination à poursuivre son combat pour la liberté de la presse reste entière. » Sa joie et celle de sa famille a néanmoins été gâchée par l’emprisonnement de son frère Anis qui a été incarcéré dans les mêmes geôles qu’il venait de quitter et à l’instant même où il a été libéré pour une raison encore inconnue. (Source: le site de « Kalima » mis à jour le 21 juillet 2008)

Tunisie: libération anticipée du journaliste dissident Slim Boukhdhir mardi 22 jui, 10 h 00

 
TUNIS – Le journaliste et dissident tunisien Slim Boukhdhir a été libéré lundi, soit près de quatre mois avant le terme de sa peine d’un an de prison, a-t-on appris mardi de source associative. Selon Amor Graïdi, un responsable de l’association non reconnue par les autorités « Liberté et équité », le journaliste a bénéficié d’une libération conditionnelle, comme le prévoit la loi après pour les détenus ayant purgé la moitié de leur peine. Arrêté en novembre 2007 lors d’un contrôle d’identité des passagers d’un taxi collectif reliant Sfax (sud) à Tunis, Slim Boukhdir, 39 ans, avait été aussitôt déféré à la justice et condamné à un an de prison pour « outrage à fonctionnaire dans l’exercice de ses fonctions », « atteinte aux bonnes moeurs » et « refus de présenter ses papiers d’identité ». Correspondant du journal panarabe basé à Londres « Al Quds Al Arabi » et du site Internet de la chaîne de télévision satellitaire Al-Arabiya, le journaliste est connu pour ses écrits critiques, voire virulents, dénonçant notamment la corruption et autres dérives qui, selon lui, rongent certains milieux de la société. Contacté par l’Associated Press, le président du Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT), Néji Boughouri, a exprimé sa « satisfaction » et souhaité que les autorités accomplissent d’autres « pas positif(s) ». Lors de sa récente assemblée générale, le syndicat avait lancé un appel aux autorités pour la libération du journaliste incarcéré. De son côté, l’organisation Reporters sans frontières (RSF) a, dans un communiqué, accueilli l’élargissement de Slim Boukhdhir cette mesure « avec une joie immense », en espérant voir dans la décision des autorités tunisiennes « un gage de bonne volonté (Source:  « Associated Press »  le 22 juillet 2008)


 
 

Danemark: la justice se prononce vendredi sur la détention des 2 Tunisiens

 

AFP, le 21 juillet 2008 à 13h52 COPENHAGUE, 21 juil 2008 (AFP) – La Cour d’Appel de Copenhague a décidé lundi de mettre en délibéré à vendredi sa décision sur le maintien ou non en détention de deux Tunisiens soupçonnés d’avoir projeté un attentat contre le dessinateur d’une des douze caricatures controversées de Mahomet. Les deux hommes, âgés de 26 et 36 ans, résidant au Danemark, sont détenus depuis leur arrestation le 12 février sur recommandation des services de renseignement danois (PET). Le tribunal de première instance de Copenhague avait décidé la semaine dernière de les maintenir en prison mais les avocats des suspects ont fait appel de cette décision. Pour l’avocat d’un des deux suspects, Me Henrik Stagetorn, interrogé par l’AFP, « PET n’a apporté aucune preuve de l’implication de mon client », seulement des postulats. « Nous réclamons avec mon collègue (Frank Wenzel) la libération de nos clients et nous espérons que le tribunal suivra notre requête », a-t-il ajouté. La chef-juriste de PET, Lykke Soerensen, a souligné lors de l’audience que « les services (de renseignement) ne peuvent apporter plus (de preuves) sans compromettre leur coopération avec leurs partenaires étrangers et sans dévoiler leurs méthodes de travail ». Les deux ressortissants tunisiens sont soupçonnés, sans avoir été inculpés, d’avoir planifié un attentat contre le dessinateur danois Kurt Westergaard, auteur de l’un des douze dessins satiriques du prophète publiés le 30 septembre 2005 dans le quotidien danois Jyllands-Posten. Le PET a réclamé leur incarcération, estimant qu’ils constituaient une menace pour la sécurité de l’Etat, en attendant leur expulsion sur décision administrative du gouvernement vers leur pays d’origine. AFP


 

« Tout donner… absolument tout ! »

 

 
 
« Des 168 corps rendus 157 ont été identifiés » « que veux-tu dire par identifier ? » « à chaque corps, on a restitué un nom » « et puis ? » « à partir du nom, chaque organisation résistante a pu reconnaître les siens » « et puis ? » « chaque pays arabe va pouvoir rapatrier ses ressortissants » « et puis ? » « à chacun, on a attribué une date, celle de son martyr » « et puis ? » « à chacun, on a attribué un lieu, celui de son martyr » « et alors ? » « alors, il y a parmi eux le libyen Khaled Mhammad Al Maaloul du Front populaire de libération de la Palestine, tué le 11 janvier 1991 à Mays el Jabal au Liban » « un libyen !? » « il y a aussi, le nigérien Hassan Bidaoui Shrine Mhammad de la même organisation, tué le même jour au même lieu » « un nigérien !? » « il y a aussi, le tunisien Salah Moustafa Al Majiri du Front démocratique de libération de la Palestine, tué le 05 mars 1991 à Shihine au Liban » « un tunisien !? » « il y a aussi, le jordanien Hassane Youssef Al Jamal de la même organisation, tué le même jour au même lieu » « un jordanien !? » « il y a aussi, le marocain Moustafa A’lal Seddik Kzaïber du Front populaire de libération de la Palestine, tué le 02 août 1994 à Bayt Yahoun au Liban » « un marocain !? » « il y a aussi les syriens, les libanais et les palestiniens » « il reste donc 11 corps auxquels on n’a pu rien restituer » « ceux-là, ils nous ont vraiment tout donné ! … même ce qu’on donne à tout être humain dès qu’il vient au monde » « tu veux dire leurs noms » « oui, c’est ça… chacun de nous s’appelle comme eux ! » « … » Al Faraby (Source:  « Al-Oufok »  le 22 juillet 2008)

 

Résurrection miraculeuse de l’AJT

 
Tout est rentré dans l’ordre. La normalité a été restaurée et la déviation « rectifiée ». Dans la nuit du samedi à dimanche (19-20 juillet), les 800 journalistes tunisiens, adhérents au prétendu «Syndicat National des Journalistes Tunisiens» (SNJT) ont poussé un profond soupir de soulagement. Ils viennent d’être délivrés d’une captivité qui durait depuis plus de six mois. Un commando de 72 parachutistes aguerris et bien entraîné est parvenu, dimanche 20 juillet à l’aube, à les libérer des mains de leurs géôliers, un groupe d’extraterrestres, qui les détenaient en otages, depuis le 13 janvier dernier et qui les ont contraints et forcés à enterrer leur ancienne association, la prestigieuse AJT, pour la remplacer par un syndicat.  Devant un parterre de journalistes étrangers, les journalistes tunisiens encore sous le choc, n’ayant pas été invités, le président de l’ex-syndicat, Neji Bghouri, a donné, lundi matin, au siège de l’AJT, miraculeusement ressuscitée, une conférence de presse pour tenter de faire  la lumière sur ce douloureux épisode que les professionnels du secteur ont vécu comme un véritable cauchemar.   Il a notamment expliqué que, dans la nuit du 12 au 13 janvier dernier, des martiens déguisés en journalistes l’ont séquestré avec huit de ses collègues et leur intimé l’ordre d’annoncer, contre leur gré, la création d’un Syndicat National des Journalistes Tunisiens. Il a précisé que durant les six derniers mois, les membres du bureau du syndicat naissant agissaient sous la pression et ne faisaient qu’appliquer les consignes de ces pseudo-journalistes, dans l’unique l’objectif de  sauver la vie de leurs camarades détenus en otages. Il a hautement salué le courage, l’héroïsme et le patriotisme du commando de parachutistes qui a mené l’opération de sauvetage, annonçant fièrement que c’est ce même commando qui est à l’origine de la libération inattendue du journaliste Slim Boukhdir qui purgeait, depuis le 26 novembre 2007, une peine d’une année sidérale pour des raisons qui n’ont absolument aucun rapport avec les extraterrestres. Pour récompenser les 72 consœurs et confrères ayant mené cette action de salut public, il a été décidé de les nommer membres à vie d’une nouvelle instance dirigeante dénommée comité central de l’AJT. Nidhal Chérif  

A CHACUN SON CLAIRON ET SON ORCHESTRE, Mr. ADDASSI

 

 
BALHA BOUJADI   Il est fort connu que chez les islamistes tous ceux qui ne pensent pas comme eux sont tout de suite taxé d’être le clairon de sionisme et le porte parole de l’impérialisme américain et son « pseudo » démocratie libérale.   Soit, comme il n’y a absolument rien à faire pour me faire « pardonner » j’accepte. Je suis démocrate jusqu’au moelle,  et j’adore la démocratie américaine, française, anglaise, espagnole, danoise et même sénégalaise. Je ne sais pas pourquoi, mais si j’ai à choisir, je choisirai de vivre en Suisse ou au Canada ou bien même à New Delhi que vivre à Kaboul ou à Téhéran ou chez Omar El Bachir à Khartoum. D’ailleurs je me demande pourquoi Mr Addassi n’a pas choisi de s’y installer au lieu de vivre au pays de froid, du journal Jyllands-Posten et ses caricatures, ainsi que cette « maudite » démocratie qui hante son sommeil.     Mr. Addassi, si tu me trouve un seul système politique qui respecte l’être humain et l’épanouissement de sa liberté mieux que la « Démocratie » je changerai d’avis, mais en attendant je suis mondialiste de la liberté et de la volonté des peuples, démocrate malgré les lacunes de ce système que vous et vos frères ont su en profiter pour déverser votre haine sur l’Occident et lui faire le chantage du genre que le voile est un signe de liberté, que la polygamie est un fait social et que le Djihad est une une culture… N’allez pas me faire sortir le slogan intégriste « l’Islam est la solution », car on a déjà vu un spécimen chez les Talibans, les iraniens, les somaliens, ceux de Hamas et ceux de Hezbollah… qui ont montré au monde entier l’horreur en couleur.   Je n’ai pas l’intention de défendre les américains ni les israéliens ni le président tunisien, ils sont capables de se défendre tous seuls, mais juste une petite remarque à propos des juifs qui visitent la Tunisie au mois de mai pour faire la pérégrination à la Ghriba. Ils sont en tout et pour tout 2000 touristes par ans, c’est-à-dire le nombre des touristes libyens et algériens pendant deux jours, alors n’exagérez pas Mr Addassi, ce n’est pas grâce à leurs divises que ce pays est debout. En plus le 80% de ces touristes sont des tunisiens et fiers de l’être, qui ont quitté le pays un jour mais ils ne l’ont jamais oublié. Pour moi, qu’ils viennent chez eux quand ils veulent et qu’ils visitent les lieux sacrés de leurs aïeux en toute sécurité et liberté. C’est ça être démocrate et libre, mais toi tu ne peux pas le comprendre, car la haine contre les juifs te torture et t’a rendu aveugle.   Quant à Hamas à Ghaza elle a fait un coup d’état contre son président Mahmoud Abbés car, d’après elle, celui-ci possède une vision trop pacifiste et il compte libérer la Palestine par la diplomatie et les négociations. Alors que pour elle la meilleure façon d’œuvrer est la guerre déclarée sans trêve et la résistance armée.  Si tu cherche la guerre tu l’auras, ou est-ce que tu veux que l’ennemi ne riposte pas ? Je n’y comprends rien, surtout si l’ennemi est celui qui a les clés de la boutique : l’électricité, les médicaments, les salaires, le boulot… Expliquez-moi ça. Je te déclare la guerre, je prend en otage tes soldats,  je lance les roquettes par dizaine chaque jour sur tes écoles et tes hôpitaux… mais attention toi tu restes tranquille et tu  continue à me fournir l’électricité, le lait, les médicaments, et que l’Europe continue à payer mes factures et que l’Amérique continue à verser les salaires de mes fonctionnaires et de m’envoyer les tonnes de semoule… Il faut être dingue ou abruti pour dicter des conditions pareilles.   Je viens d’apprendre que la justice internationale vient de mettre la main sur un autre dictateur sanguinaire, le serbe Radovan Karadzic inculpé, comme ton ami Omar el Bachir (le faible et le débile, comme tu le qualifie), de génocide contre les bosniaques musulmans. Et maintenant, est-ce que tu vas le défendre lui aussi, ou bien ce n’est pas ton affaire. Moi je me réjouis de voir ces crapules jugés et jetés en prison jusqu’à la fin de leurs jours, Karadzick, El bachir, Pinochet, et tous les autres qui ont abusé de leur pouvoir et leur force pour détruire des vies et des foyers. Comme tu vois, Mr. Addassi, beaucoup des têtes vont tomber et c’est ça la mondialisation de la justice, même Busch et Tchiné n’ont pas d’immunité.   Les faibles sont les victimes, même si pour toi mes chiffres sont faux, car au lieu de 300.000, prenons par exemples qu’ils sont 3.000 seulement ou 300 cadavres, massacrés sans merci, pour l’unique délit d’avoir une confession différente ou une appartenance tribale maudite, moi je me situe de leur coté et non pas du coté d’un dictateur qui s’est imposé pendant 20 ans comme un demi Dieu sur terre. C’est ça la différence entre toi et moi, entre un démocrate et un théocrate.   BALHA BOUJADI, le 22 juillet 2008 balhaboujadi@yahoo.es


        

La devise clé du systeme universitaire Tunisien

On pardonne aux fautifs On sanctionne les innocents Onveut que ça reste comme ça CAR CE DES ORDRE fait vivre la mafia universitaire Tunisienne

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Je voudrais commencer par remercier l’illustre,et grandiose caricaturiste du quotidien « la Presse »et polémiste de renom auteur du billet hebdomadaire »Bok Bok »,exceptionnellement celui du 22 Avril 2007 pour lui avoir emprunté sans qu’il le sache cette formule magique concernant l’etat actuel du football tunisien,sans la derniere phrase »vivre la mafia universitaire »???j’ai nommé le très respecté Lotfi ben Sassi. Notre université Tunisienne sinistrée,abusée,essentiellement à travers les départements d’histoire centraux de Tunis-ville ,et leur terrain de chasse ,et de parcours,le »harem de Sousse » ressemblent beaucoup à notre misérable,et non moins attachant football Tunisien,souffrant de mille et une maladies incurables: Dans nos départements,et à travers les commissions »souveraines »diverses,séquestrées par les réseaux mafieux notoires ayant ou non obtenues la norme ISO,délivré par la pègre universitaire internationale,on ne juge,on ne traite plus les dossiers,on signe des contrats sans décharge entre réseaux de concubinage ,de copinage pseudo-scientifique sans cesse dopé par les nouveaux candidats »commandités »???? Les présidents de commission diverses,caids chevronnés »candidat surs ou probables »à l’eméritat »marchandé »,ainsi que les membres optant pour les differents grades de la gente mafieuse universitaire,usent de leurs pouvoirs louches,douteux,mal gérés,pour faire integrer:les sans-couleur,sans-odeur,   sans saveur recommandés dans les salons,ou meme par téléphone??? Leur arbitrage(marchandage) connecté aux réseaux respectifs de concubinage,prox….pseudo-scientifique,est louche,sale, sentant une odeur nauséabonde semblable à celle des pommes de terre avariées????? Les mandarins(émerites??),professeurs arrivés par le fait du hasard,et par l’effet de serre( du au dégagement d’émanations et de gaz mafieux???)prétendant tantot un « avangardisme mesquin hypocrite »de mauvaise vie,tantot un alignement inconditionnel sur les thèses officielles pures et dures pratiquent conjointement le traitement frauduleux,partial,non justifié de dossiers,de mémoires,les manipulations crasseuses de toutes sortes qui necessitent le passage de »nos saints patrons »videurs de l’université devant le tribunal pénal international de l’hypocrisie universitaire légalisée….le ministère ferme l’oeil pour mieux gérer ses « brebis galeuseshypocrites avangardistes et obscurantistes »????? On pardonne aux universitaires frauduleux pour mieux les gérer ,les mettre aux differentes taches et besognes administratives,inquisitoriales;de simple police ,de réformes imposées ( au moment voulu),aussi bien les »progressistes démocrates » que les »taupes éclairées »la différence entre les deux n’est qu’une question d’emballage et de couleur,telles les crèmes glacées de mauvaise qualité???leur appartenance aux organismes de la société civile »abusée »locale et internationale; démocrate et laique,les fait bénéficier de »pots de vin »convoités tels que les donations louches,d’excursions,de voyages d’etude,d’invitations d’oeuvres caritatives diverses lieées à la mafia universitaire »off shore »???? On sanctionne les non-alignés,les intègres,les esprits libres,les non-hypocrites ,refusant le concubinage,leprox…..pseudo-scientifique,ceux qui ne courbent pas l’échine ,les non accessibles au marchandage mafieux????? On veut que ça reste comme ça,car ce désordre »frauduleux,sale,criminel » fait vivre les mandarins,dinosaures mafieux courant sur les routes cherchant hommages et réceptions préparant l »habilitation-débilisation » des candidats au concubinage auprès de la premiere place boursière et citadelle mafieuse »avangardiste-obscurantiste »de Tunis-ville. Les décideurs de la mafia universitaire administrative,et pseudo-scientifique cherchent tels les vrais caids de la pegre internationale connectée aux réseaux divers de décisions occultes,la perennité de la pratique du football universitaire louche,sans scrupules, dénué de transparence cherchant le résultat par tous les moyens,un football non catalogué…..un football de dixième division pour parvenir à l’université duXXI siècle aussi bien la  virtuelle; que celle du LMD combien prometteur???????
mourad regaya

   

Taïeb Moalla:précision  
 
Bonjour Tunisnews, La source du message concernant la libération de Slim Boukhdir est un courriel de Abdelwaheb Hani. Pour rendre à César ce qui appartient à César, je n’ai fait que vous transférer le message de M. Hani. Prière donc de publier cette précision dans la newsletter de ce mardi. Chokran Taïeb Moalla

Maroc: les islamistes se présentent comme une alternative à l’abstention

 

AFP, le 19 juillet 2008 à 14h54 RABAT, 19 juil 2008 (AFP) – La principale formation d’opposition au Maroc, les islamistes du Parti de la Justice et du Développement (PJD), a ouvert samedi à Rabat son 6e congrès en se présentant comme l’alternative à l’abstention dans laquelle se réfugient les Marocains lors des élections. « Pas de vie politique sans crédibilité » : l’immense banderole érigée dans la salle où sont réunis jusqu’à dimanche 1.500 congressistes donne le ton de ces assises qui interviennent dix mois après les élections législatives où le PJD était devenu la seconde formation du pays avec 46 sièges derrière le vieux parti nationaliste Istiqlal qui en avait emporté 52. « Nous avons choisi ce mot d’ordre pour notre ce congrès car la crise de la société est profonde en raison du manque de crédibilité causé par l’écart entre les discours et l’action des dirigeants politiques de ce pays », a affirmé le secrétaire général sortant Saad Eddine Othmani dans son rapport. « La question de la crédibilité aura des conséquences dangereuses si des efforts ne sont pas faits pour redonner de la considération à la vie politique, aux partis et aux institutions », a-t-il ajouté. Le taux de participation n’a été que de 37% contre 52% en 2002. Pour le dirigeant de cette formation, le déficit de crédibilité « s’illustre essentiellement dans le retard pris dans l’application des réformes institutionnelles ». « La crédibilité, c’est la participation de tous au développement du pays et le partage équitable des richesses. Ce progrès ne pourra se réaliser tant que subsistent l’octroi d’avantages au profit d’une classe de riches, la concussion et la la pauvreté et il passe aussi par la démocratie et le respect des droits de l’homme », a affirmé M. Othmani. AFP

Les Marocains ont roulé près de 1,7 milliard de « joints » en 2007

AFP, le 19  juillet 2008 à 14h06 RABAT, 19 juil 2008 (AFP) – Les Marocains ont roulé 1,68 milliard de cigarettes de haschisch en 2007, une progression de 34% par rapport à 2005, selon un calcul réalisé à partir des ventes de cahiers de feuilles à rouler par l’hebdomadaire Tel Quel. Selon les chiffres officiels d’importations en 2007, il s’est vendu 19 millions de cahiers de 75 feuilles soit 1,425 milliards de feuilles contre 15,2 millions de cahiers en 2007. Si on soustrait les feuilles qui servent à rouler du tabac et si on y ajouta la contrebande de tabac, le magazine arrive à 1,68 milliard de joints roulés au Maroc en 2007, soit 56 joints par Marocain et par an. Selon une enquête parrainée par l’Office de l’ONU contre la drogue et le crime (ONUDC), la production de résine tirée du cannabis (haschisch ou chira) était en 2004/2005, d’environ 1.900 tonnes par an. AFP

Un million de noms figureraient sur la liste antiterroriste américaine

 

AFP, le 19  juillet 2008 à 06h31  
Par Karin ZEITVOGEL     WASHINGTON, 22 juil 2008 (AFP) – Qu’ont en commun une religieuse catholique, un pilote de ligne ou Cat Stevens? Rien, si ce n’est de figurer parmi plus d’un million d’autres noms sur la liste de surveillance antiterroriste américaine. Cette liste, censée contenir les noms de terroristes ou d’individus soupçonnés de liens avec le terrorisme, a fortement gonflé depuis le 11-Septembre et empêche nombre de personnes qui n’ont a priori rien à se reprocher de prendre l’avion, assure l’Association américaine des libertés civiles (ACLU). Ce chiffre de plus d’un million provient d’un rapport du ministère de la Justice sur le Centre de surveillance du terrorisme, division du FBI qui alimente la liste de surveillance, précise l’ACLU. Le Centre « avait plus de 700.000 noms dans sa base de données en avril 2007 et la liste grossit de plus de 20.000 fiches par mois en moyenne », selon un rapport de l’Inspecteur général du département de la Justice, ajoute l’association. « S’il y avait un million de terroristes menaçant les Etats-Unis, nos rues seraient en flammes », confie à l’AFP Barry Steinhardt, directeur du programme Technologie et Liberté de l’ACLU. Non, cette liste ne comprend pas un million de personnes, conteste Leonard Boyle, directeur du Centre de surveillance du terrorisme. Et il s’agit d’un outil efficace, affirme-t-il, démentant également que des milliers d’Américains soient détenus et confrontés à des tracasseries quotidiennes parce qu’ils figurent sur cette liste. Ainsi, Soeur Glenn Anne McPhee, ancienne secrétaire d’éducation à la Conférence américaine des évêques catholiques, s’est retrouvée sur la liste parce qu’un Afghan avait utilisé McPhee comme alias, selon l’ACLU et le San Francisco Faith, bulletin en ligne du diocèse où travaille la religieuse. Pendant neuf mois, à partir d’octobre 2003, elle a fait l’objet d’enquêtes poussées et a dû demander à son évêque d’intervenir auprès de Karl Rove, principal conseiller politique du président Bush à l’époque, pour que son nom soit retiré de la liste noire. Nelson Mandela avait eu besoin d’un ordre du Congrès pour obtenir d’être enlevé de la même liste. Cat Stevens, le chanteur de la fin des années 60 devenu musulman, qui s’appelle désormais Yousouf Islam et n’a aucune trace d’activités liées au terrorisme dans son dossier, s’est vu refuser l’entrée sur le sol américain. Et son homonyme, Cat (diminutif de Catherine) Stevens, épouse d’un sénateur américain, a rencontré des problèmes pour prendre l’avion, relève l’ACLU. Robert Campbell, pilote de ligne pendant 22 ans, s’est retrouvé lui aussi sur la liste des personnes interdites de vol. « Je suis autorisé (…) à piloter un avion, mais si je souhaite voyager en tant que passager, je suis interdit de vol », a-t-il expliqué en 2007 à la télévision américaine. Ce retraité, qui fut aussi pilote de la Marine américaine, ne comprend toujours pas pourquoi il se retrouve sur cette liste. En revanche, « beaucoup de noms de vrais terroristes ne sont pas sur la liste qui est envoyée au personnel des compagnies aériennes, des agences de voyages, de la douane », estime Barry Steinhardt. « Souvent, ils ne communiquent pas les noms des pires terroristes aux gens qui en ont besoin, parce qu’ils ont peur (…) que les noms se retrouvent sur la place publique », selon lui. AFP

 

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