* World Economic Forum     * LIZERBOU Métou           * LEGITIME DEFENSE..    * Les janissaires alternatifs        * Géo-économie mondiale :     * CHEZ NOUS COMME CHEZ NOS VOISINS???     * LA BALLADE DES HYPOCRITES     * Le salafisme s’implante en douce dans la société….     * LA TUNISIE D’ENTRE LES LIGNES.          * Bonnes feuilles de IMED.     * Une voix du CPR …    * MARZOUKI SUR LA BRECHE …    * LE DEAL DES VOLEURS.     * AVOUS DE VOIR….     * POINT DE VUE “CHINOIS” CONTRE RSF 
  
Les janissaires alternatifs  Ou  les TARTARIN de l’ère nouvelle.
  
 Par  SONIA.D L’humiliation du repentir pour s’ absoudre vis à vis de ses ”crimes” contre la dictature de ben Ali, car militer pour la liberté et les droits de l’homme dans cette Tunisie formatée par  la dictature, est considéré comme un crime d’état; cette humiliation,  parce qu’elle engage immédiatement un désir , une nécessité inextinguible de justifications et de haine de soi et  aussi des autres, est sans nul doute, entre autres sentiments de culpabilité et de désarroi, la sensation qui recueille le plus directement notre désemparé politologue en son ombilic, et nous le montre sous son vrai visage et sa nouvelle “identité”. Mais que lui répondre  à cet homme qui ne sait plus quoi inventer pour donner un sens à  ses faiblesses et sa suffisance,  que lui conseiller à titre d’aumône ou de bienséance? Le silence, l’humilité ? Je ne crois pas , à le voir ainsi ramer à contre courant, dériver vers l’affubulation l’excommunication des uns et des autres, d’une façon injuste et zélée, qu’il soit aujourd’hui maître de son esprit ou de son destin, il parlait  depuis toujours  du marché de dupes, c’est à coup sûr, son titre prophétique par excellence,  il y’ est jusqu’au cou, et payé en monnaie de singe en plus, lamentable. il doit vivre  une profonde douleur et une solitude sans nom , déchiré  par un dilemme qui le dépasse, alors, comme tous les faibles,  il choisit la facilité , et  engager une stratégie , qui n’avère pas au bout du compte que  son inconsistance, elle, qui relève d’un agencement qui tourne mal, qui entretient,  ce dont il s’agit de se déprendre, pour être vraiment  dans sa propre vérité . Pour un politologue, c’est vraiment léger et incohérent, que  de vouloir coûte que coûte passer pour une victime de sa propre débauche, une claustrophobie qui l’étouffe, victime de qui ? De la dictature de ben Ali qui a le pouvoir absolu, de vie et mort, au propre comme au figuré, sur tous les tunisiens ? Absolument pas, pour lui comme une révélation divine, maintenant et dans ce marché de dupes, où il est dans l’obligation de se vendre, cette dictature a toutes les qualités, ses bons offices pour son rachat, c’est la diabolisation  de ses anciens amis, ses engagements, tout simplement son passé, or un homme qui se renie, en reniant son passé, ne peut être dans la vérité, ni même avoir un avenir crédible, qui peut encore lui faire confiance? Ses anciens amis le méprisent, la dictature de BEN ALI aussi, car cette dernière, sa seule “qualité”, c’est qu’elle ne fait pas de sentiment à ce sujet, à bien réfléchir, elle se sert des janissaires comme de vulgaires Kleenex, notre politologue, comme tous les tunisiens, le sait, mais c’est cela son destin, une âme en peine qui sombrera vite dans l’indifférence générale. Hamrouni  est l’exemple type du politicien calculateur et carriériste, qui limite les risque à ses propres subordinations, c’est d’une façon imagée,  celui qui est sur la photo pour dire j’y étais, pas pour dire,  j’ai fait! Je crois que son  besoin de justifications par tous les moyens, mêmes les plus creux et les plus vils, sont assez révélateurs de l’état d’esprit formaté de cet individu, et plus généralement de ces nouveaux personnages  conditionnés par les services spéciaux de la dictature, pour se payer à moindre frais un lifting trompeur, et ridicule pour la même occasion, Ben Ali a vraiment de plus en plus de mal à recruter du personnel  valable, comme lui, les recrutés  sont dans le court terme et l’urgence, et ne s’encombrent pas de procédures et autres respects  des règles politiques les plus élémentaires, tout dans le coup de boule, tout dans le coup de force, c’est tellement plus facile quand on possède la force pour certains, et pas de conscience pour d’autres  de jouir dans la désinformation et l’ignominie, qu’il aille au diable, BEN ALI,  il a les collaborateurs qu’il mérite, que sa sagacité, et ses horreurs méritent, tout le reste n’est que de l’intendance. Ce genre de personnage , notre politologue,  sera toujours dans l’obligation de “rachat” de dette, vis à vis de ses créanciers, même pas de la compassion ou de la pitié, tout juste de l’indifférence et du mépris pour ce genre de pratiques qui perpétuent  le vice de forme et de fond, le vice tout court, de certains voyous qui se disent démocrates, et activistes  de l’opposition démocratique . Je voudrais dire une bonne fois pour toute à ce monsieur que , pour les tunisiens en général et lui en particulier, l’engagement politique est une affaire récente, toute de confusions faite, il s’agit avant tout de faire ses choix et d’assumer, assumer , tout assumer de ses choix, c’est cela la grandeur de l’homme.et que  naître à la politique, que l’on soit   né de rien, sans privilège, sans statut, sans talent, ou avec une cuillère d’argent dans la bouche , ce sont  la sincérité des convictions qui comptent, et affronter  une barbarie comme la dictature tunisienne, c’est souvent d’abord une affaire d’humiliation, c’est le cas de presque tous les  opposants tunisiens à la dictature, cela ne diminue personne, ça diminue les traîtres, les tortionnaires et les tyrans.  nous sommes un pays jeune, et c’est normal que ses jeunes s’émancipent de toutes les formes d’archaïsmes politiques, qui rouillent leurs rêves les plus intimes , qu’ils ruent dans les brancards, et qu’ils s’offusquent de toutes les usurpations et de toutes les impostures, et vous remettre d’équerre , monsieur le politologue, n’est pas une question de personnes, mais la pratique politique normale de tunisiens  élevés dans le respect de leur patrie, et de ce qu’ils sont, voilà le pourquoi de ma colère et de mon article;   autrement,  et si tout allait bien en Tunisie, comme vous semblez le soutenir, pourquoi  s’opposer et dénoncer quoique ce soit au paradis de la révolution des orties ?  moi à ma très petite échelle, les miens , mes amis et la très grande majorité des statures ou pas  de l’opposition démocratique tunisienne, nous n’avons pas besoin de la politique pour vivre, statistiquement, matériellement et intellectuellement , on se situe vraiment en haut du panier social, en Tunisie ou à l’étranger; notre engagement  est dans l’amour pour notre pays, pour la justice, la vérité et le progrès, il est dans l’éthique et les valeurs, et dans l’assistance humanitaire, l’engagement auprès d’un pays et d’un peuple, d’une civilisation et d’une Histoire  en danger mortel  de dégénérescence et de mort. peut-être un jour, s’il vous avez  encore un semblant de conscience et de lucidité, vous comprendrez  la sensation originelle de tout engagement politique, en tout cas la sensation la plus immédiatement politique , plus publique,  que la honte qui se ressent sous le regard de l’autre mais pas des autres, et plus marquante, car plus intime, que l’opprobre.  Pour ce qui est de la haine et les coups bas, ce monsieur  politologue  de la quatrième dimension, qui veut que l’opinion tunisienne soit à ses petites mesures, et non plurielle et réactive, il semble qu’il soit un véritable maître en la matière. Je lui répond, non pas que le cas HAMROUNI soit  intéressant du point de vue humain, il n’est l’est pas,  parce que  ce genre de tribulations, forfaitures  et de tour de passe- passe  est le lot  de toute opposition qui se respecte, parce qu’ elle respecte les fondamentaux et l’éthique  qui impose l’écoute, la tolérance et le débat avec l’autre, dogmes  démocratiques que semble ignorer notre petit politologue,  qui s’égare dans l’ego des considérations personnelles et la diabolisation  de toute pensée ou , juste,  refus contradictoires; non je réponds  parce que je crois  que ce cas, encore une fois, d’un point de vue général, j’allais dire génétique,  dépasse le cadre  des affects individuels, c’est un mal profond  qui sclérose certaines émulations  de l’opposition démocratique tunisienne.  “Les casseurs et autres haineux ont proliféré et vu leurs marchandises prospérer au fi de l’honneur, la dignité, le respect et le sens de la responsabilité que réclame l’engagement pour la défense des intérêts de la patrie et de son image dans le monde”. QUI sont les haineux et les casseurs? Ceux qui portent atteinte à l’image de leur patrie la Tunisie ? Rester dans  le vague et l’opacité  décrédibilisent toute démarche politique qui se veut intelligente, MONCEF MARZOUKI quand il critique  tout le système politique et social et économique , spéculatif et maffieux de la dictature de ben Ali, Quand le juge MOKTAR YAHYAOUI dénonce , preuves à l’appui les carences institutionnelles, la défaite du droit en Tunisie, la médiocrité policière et clanique de la magistrature, la paupérisation de la société tunisienne, l’éclatement du noyau familial ect.., quand maître ABBOU compare la TUNISIE de BEN ALI à l’horrible ABOU GHARIB, le désespoir incroyable de la jeunesse tunisienne, le harcèlement contre  les ONG, les filles voilées, les élections truquées, quand RADIA NASROUI, MAATAR, AYADI, HOSNI contestent  les pratiques de l’administration pénitentiaire , parlent de violence, de torture, de viol à l’intérieur des prisons remplies de prisonniers d’opinion,  quand HAROUNI à travers sa personne dénonce sans relâche la condition des centaines de prisonniers politiques tunisiens , quand NABIL EL OUAER expose dans des plaintes et des écrits son corps mutilé par le viol, quand SFAR s’étrangle d’impuissance et de mutisme, lui qui n’a même pas pu rendre un dernier hommage à sa propre mère défunte, lorsque les plumes libres tunisiennes refusent d’être les “nègres” qui recopient les communiqués du ministère de l’intérieur, veulent avoir un esprit critique  qui respecte leur déontologie, lorsque les syndicalistes tunisiens refusent  les directions parachutées par le RCD, le parti unique, veulent faire respecter les revendications ouvrières à GAFSA, METLAOUI, REDAYEF  ou ailleurs , lorsque  la majorité des tunisiens plongent dans un désespoir sans nom, et se réveillent avec un dictateur élu à 99, 92 %, certains d’entre eux écrivent sur le net ou ailleurs et alertent l’opinion universelle, et réclament la démocratie et le droit; sont-ils ceux là vos haineux et vos casseurs qui salissent l’image de leur pays la TUNISIE ???? Malheureusement pour vous, vous employez à outrance et avec outrance la même dialectique que tous les ”retournés” du monde, celle des MEZRI, BESSIS, celle des technocrates propagandistes de la dictature. Tous ceux que j’ai nommé  sont l’honneur de la TUNISIE réelle, pas celle écrasée et soumise au joug de BEN ALI, ce sont ceux qui tiennent le pouvoir en Tunisie, leurs messager et leurs faux prophètes qui salissent  la Tunisie profonde, la Tunisie des valeurs et de l’excellence, ce sont eux les véritables haineux et casseurs, ce sont eux notre honte indélébile.  Oui les banques tunisiennes sont  en déroute, les détournements de fond,  les trafics de devises et de situations sont une évidence en Tunisie, un des pays les plus endettés du monde, et le pire c’est que ces dettes, tous les tunisiens sont  dans l’obligation de  les supporter et d’assumer leurs retombées, malgré qu’ elles ont servis des intérêts privés, antinationaux, les fuites capitaux et autres  faillites frauduleuses sont monnaie courantes  chez nous, où en voit des fortunes apparaître du jour au lendemain, rien que par des alliances politiques ou consanguines, oui le système de santé  est en perdition, il est à deux vitesses, l’un performant pour les riches et les familles régnantes, l’autre  vétuste, tiers-mondiste, horrible pour les pauvres, la très grande majorité des tunisiens, allez voir la différence honteuse et inhumaine qu’il y’ a  entre la maternité d’AZIZA OTMANA par exemple et les cliques  pour riches d’ENNASSER ou EL MANAR;  oui l’éducation est en échec, elle est aussi à deux vitesse, celle pour les privilégiés qui peuvent payer, et qui n’ont même pas besoin de diplômes pour avoir les meilleurs postes, et une qui sert de parking à une jeunesse  qui termine  dans les bas-fond, le chômage et les cafés, le nihilisme, le suicide, la drogue, la prostitution et  la clandestinité misérable   à l’étranger,  en traversant les frontières et les mers, beaucoup meurent sans sépultures et sans adresse, oui  la morale est en faillite, plus aucune forme de solidarité, aucune convivialité, aucun respect des devoirs et des droits, aucune forme de civisme , aucun sens des responsabilités (vous en êtes une preuve vivante) aucun rêve  de surpassement et d’acquisition citoyenne, oui  l’économie est  en ruine, le pays est vendu en morceaux, il est dépendant  du bon vouloir d’usuriers internationaux, l’agriculture qui était  l’essentiel  de l’économie du pays a été mis en ruine par la spéculation immobilière, le déficit est général et l’endettement est colossal, c’est une sorte de néolibéralisme maffieux, qui fait de la Tunisie,  un satellites du FMI et de l’OMC, c’est à dire du néocolonialisme…. Et pour terminer , oui, c’est  un pays à l’agonie, sur tous les plans, il suffit pour cela  d’avoir un peu de rigueur dans l’analyse et limiter  ses réflexions sur les seuls réalités pratiques du quotidien des tunisiens, pour cela il faut  être  conscient des enjeux, et des rapports de force et choisir son camp, je crois vraiment que vous êtes conscient, très conscient des rapports de force et que vous avez choisi votre camp,  votre malhonnêteté  tient  au fait simpliste de ne pas oser appeler les choses par leur nom, appeler un chat un chat, et assumer votre condition, votre nouvelle condition, dans la vie on ne peut être au four et au moulin. C’est votre mythomanie et votre prétention qui est structurées et structurelle, vous êtes tombé ,  et vous êtes pris comme un rat dans le piège d’un pouvoir scélérat qui fait justement de la FITNA, de la division, du mensonge et du pourrissement  une règle de conduite et de survie, un système de gouvernance  qui n’a rien à voir avec l’idéologie ou la politique, mais qui tient du grand banditisme.
 
 
 www.samibenabdallah.com   Par Sami Ben Abdallah    Voir les captures d’écrans sur www.samibenabdallah.com     Deux semaines après le lancement de mon blog personnel, j’ai enregistré 1961 de connections dont 1557 connections uniques.  Au lendemain de la publication de ces chiffres, les statistiques de mon blog hébergé par RSFblog ont disparu.   Il a fallu toute mon insistance auprès de l’hébergeur blogspirit (partenaire de RSFblog) chez qui, j’ai pris un abonnement pro, pour que les statistiques me soient communiquées de nouveau à partir du 1 octobre 2008. ( du 23/09 jusqu’au 1/10, blogspirit ne m’a communiqué aucun chiffre)   En somme, en 23 jours (du 08/09/2008 jusqu’au 22/09/2008 et du 01/10/2008 jusqu’au 08/10/2008), mon blog a enregistré 3037 connections dont 2378 visites uniques. Autrement, j’arrive à convaincre 1 lecteur sur 4 de revenir visiter mon blog.    Le blog “personnel” a “contenu principalement politique”, le plus lu ?  Je n’ose pas comparer mon blog aux sites d’informations tels Tunisnews, Tuniswatch qui sont sous-tendus par un concept différend ni aux sites comme Alternatives Citoyennes de Madame Nadia Omrane, une journaliste professionnelle et talentueuse.  Mon blog est un blog « personnel et à contenu politique ». C’est « un blog d’opinions politiques » et dans ce segment (blog personnel à contenu politique), sauf si les statistiques des hébergeurs d’autres blogs me démentent, les chiffres disent que –sans aucune publicité- le blog samibenabdallah.com est peut être le plus lu.  On attire régulièrement mon attention sur les fautes de frappes, les fautes d’orthographe et de construction. Oui, c’est vrai, mais c’est comme ça, je n’ai pas le temps pour tout relire et tout faire. Je ne suis pas un journaliste et je n’ai pas l’ambition de l’être ou de le devenir.  J’ai une vie professionnelle assez chargée (une Societé en France que j’ai créée et qui me prend tout mon temps). C’est encore une très petite boite, mais elle grandira avec le temps, le reste de mon temps, je l’investis dans ce blog quand je ne profite pas pour visiter une capitale européenne.  Pourquoi j’écris ? Car je crois en des idées politiques et je souhaite les défendre. Quelles idées ? Si j’étais Français, je serais un Gaulliste centriste. Je crois en la liberté, en l’ordre, en l’autorité de l’Etat, en une justice sociale fondée sur l’égalité de chance, en la liberté du marché avec des mécanismes de correction et redistribution de revenus pour les plus faibles, je ne crois pas en des idéologies dogmatiques, mais je crois au pragmatisme. Quant à la religion, si je crois en l’identité arabo-musulmane de la Tunisie, je crois aussi que la religion est un sujet qui relève de la vie privée de chacun et de chacune. Mon modeste parcours personnel illustre ces valeurs auxquelles je crois : je ne dois rien à personne, on ne m’a fait aucun cadeau, parti à l’étranger pour continuer mes études, je n’ai pas bénéficié du moindre centime de l’Etat .Il fût un temps où je n’ai connu que les problèmes de tout genre, je me suis débrouillé tout seul. J’ai appris à me battre pour avoir ce que je veux. Et quand je veux quelque chose, quel que soit le prix que je paye, tôt ou tard, …. je l’obtiens.  Ce blog diffuse principalement des articles d’opinion sur la Tunisie. Oui je réside en France, pays où je me suis toujours considéré comme un invité de la République tenu de respecter l’hospitalité de mes hôtes. Mais je suis un Tunisien. J’ai préféré me contenter de ma nationalité tunisienne car j’ai l’ambition d’être un jour « utile » à mon pays.  En France ou à travers des voyages professionnels que j’ai fait en Europe, j’ai appris beaucoup de choses  et j’espère qu’en Tunisie, nous nous inspirons des expériences d’autres pays pour pouvoir résoudre nos problèmes . D’autres pays y compris même la France ont connu la censure, la torture, les bavures, la corruption, ils ont eu le courage de poser le problème et d’y apporter les solutions. Rien ne nous interdit de nous inspirer de leurs expériences.  Il n’y a pas de fatalité dans la vie. Il y a toujours des marges de manœuvre et quand elles sont absentes, elles sont à inventer. Mon rêve ?c’est que mon entreprise s’agrandisse et que je puisse implanter un jour une filiale en Tunisie. Mon plus grand rêve, c’est que la Tunisie progresse sur le chemin de la liberté et que nous nous séparons de cette culture de la peur et de l’indifférence qui rongent la majorité et qui prive notre pays de l’énergie de ses enfants. Pour y arriver, c’est aux Tunisiens et aux Tunisiennes de faire quelque chose pour leur pays.Et, nous pouvons compter sur l’amitié précieuse d’autres pays dont la France.   www.samibenabdallah.com