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TUNIS
AFP : Tunisie: lePM Ghannouchi démissionne face à la pression de la rue
Dr Mahmoud BEN AMMAR.: BEN ALIrevient au galop.A NOUS LES MEDIAS ! Pour le combattre.
Ghassan MichelRubeiz: Egypt and Tunis can empower liberated Libya
Tunisie: le PM Ghannouchi démissionne face à la pression dela rue
ParFethi Belaid
LePremier ministre tunisien Mohammed Ghannouchi a annoncé dimanche sa démission àTunis, après des journées de contestations et de violences dans la capitaletunisienne, qui ont fait au moins trois morts.
Parlantdevant la presse, M. Ghannouchi a déclaré: « J’ai décidé de démissionner dema fonction de Premier ministre », et il a ajouté : « je ne serai pasle Premier ministre de la répression ».
« Jene suis pas le genre de personne qui va prendre des décisions qui pourraientprovoquer des victimes », a-t-il encore dit pour expliquer sa décision.
Ilavait pris les rênes d’un gouvernement de transition après l’éviction le 14janvier du président Zine El Abidine ben Ali, chassé par des manifestationspopulaires dans le pays, que l’armée avait refusées de réprimer.
Depuissamedi, des affrontements qui ont fait au moins trois morts et des dizaines deblessés ont opposé des manifestants et la police dans le centre de la capitaletunisienne.
Premierministre de Ben Ali de 1999 jusqu’à la chute de ce dernier, M. Ghannouchi avaitformé le 17 janvier un premier gouvernement dans lequel l’équipe sortanteconservait les postes clés. Cinq ministres avait démissionné dans les jourssuivant.
Dixjours plus tard, il avait annoncé une nouvelle équipe de transition épurée desprincipaux caciques de l’ancien régime.
Le25 février, une manifestation de masse, estimés à quelque 100.000 personnes,avait envahi le centre de Tunis pour réclamer le départ de son gouvernement.
Etl’annonce de la tenue d’élections en juillet n’avait pas calmé lesprotestataires, dans un pays confronté à une situation économique difficile età l’afflux de réfugiés de la Libye voisine
Tunisia’sprime minister resigns; Omani police fire on protesters
Tunis—Reuters
Published Sunday, Feb. 27,2011 10:07AM EST
Tunisia Prime Minister Mohamed Ghannouchiannounced his resignation on Sunday following a wave of street protests.
Critics have accused Mr. Ghannouchi of beingto close to the North African state’s former government, toppled in an uprisinglast month, and of failing to enact reforms.
“My resignation will provide a betteratmosphere for the new era,” he said, adding he wanted to prevent more victimsin the country’s political unrest.
Tunisie. LePremier ministre Ghannouchi démissionne
27 février 2011 à 17h00 –
Après plusieurs journées de contestations etde violences à Tunis, le Premier ministre issu du RCD (parti de ben Ali),Mohammed Ghannouchi, a décidé de démissionner, aujourd’hui.
Après plusieurs journées
« J’ai décidé de démissionner de ma fonction dePremier ministre. […] Je ne serai pas le Premier ministre de larépression. […] Je ne suis pas le genre de personne qui va prendredes décisions qui pourraient provoquer des victimes », a-t-il déclarédevant la presse.
Tunisie : le Premier ministre démissionne après des émeutes
Par ZinebDryef | Rue89 | 27/02/2011 | 15H35
Troismorts et plusieurs blessés
Uncomplot contre le gouvernement ?
http://www.rue89.com/2011/02/27/une-nouvelle-vague-de-violences-et-de-doutes-en-tunisie-192528
Tunisie : la rue a raison du Premier ministre
Par AlcyoneWemaere avec agences
Publié le 27 février 2011 à 16h49 Mis à jourle 27 février 2011 à 17h26
Jugé trop proche de Ben Ali, Ghannouchi adémissionné sous la pression de la rue.
« Je ne serai pas le Premier ministre de larépression ». Le Premier ministre tunisien par intérim, Mohamed Ghannouchi,a annoncé sa démission dimanche à la télévision nationale. « Je ne suis pasle genre de personne qui va prendre des décisions qui pourraient provoquer desvictimes », a-t-il déclaré pour expliquer sa décision. « Ma démissionfournira une meilleure atmosphère pour la nouvelle ère », a ajouté MohamedGannouchi.
Tout au long du week-end, des manifestants ont réclaméson départ le jugeant trop proche de l’ancien régime et rétif à mettre enoeuvre des réformes. Samedi, des affrontements entre la police et desmanifestants ont fait
Premier ministre de Ben Ali de 1999
Le 25 février, une manifestation de masse, estimée àquelque 100.000 personnes, avait envahi le centre de Tunis pour réclamer ladémission de son gouvernement. L’annonce de la tenue d’élections en juilletn’avait pas calmé les protestataires. Lors de son allocution dimanche, MohamedGhannouchi a réitéré la promesse du gouvernement de transition de tenir des électionsd’ici le 15 juillet.
Le Premier ministre tunisien par intérimjette l’éponge
par Tarek Amara
TUNIS(Reuters) – Le Premier ministre tunisien par intérim, Mohamed Ghannouchi, aannoncé dimanche sa démission à la télévision nationale.
Sadécision fait suite à une vague de manifestations de rue de Tunisiens luireprochant sa proximité avec l’ancien régime du président Zine ben Ali renverséle 14 janvier.
Lesmanifestants l’accusaient aussi de ne pas mettre suffisamment rapidement enoeuvre des réformes.
« Madémission fournira une meilleure atmosphère pour la nouvelle ère », aexpliqué Mohamed Ghannouchi en ajoutant qu’il voulait empêcher que les troublespolitiques fassent de nouvelles victimes.
Ila ajouté: « Ma démission est au service du pays ».
Troispersonnes sont mortes samedi dans la capitale dans des affrontements entre lesforces de sécurité et des manifestants protestant contre la composition dugouvernement de transition.
Il aréitéré la promesse du gouvernement de transition de tenir des élections d’icile 15 juillet.
D’aprèsun responsable du ministère de l’Intérieur requérant l’anonymat, 12 autrespersonnes ont été blessées dans les heurts de samedi provoqués, selon lui, pardes partisans de Zine ben Ali.
Vendrediavait eu lieu à Tunis une grande manifestation dirigée contre la composition del’équipe mise en place par Mohamed Ghannouchi et la lenteur des réformes.
La »révolution du jasmin », qui a renversé Zine ben Ali le 14 janvier, ainspiré des soulèvements populaires dans de nombreux autres pays arabes.
Jean-LoupFiévet et Nicole Dupont pour le service français
Tunisia in crisis as thousands flee Libya
RAS JEDIR—Tunisia’s main border crossing withLibya is overwhelmed by thousands of people fleeing unrest, many of themEgyptians, and faces a humanitarian crisis, an aid group said Sunday.
More than 10,000 people escaping Libya passedthrough the main border post at Ras Jedir on Saturday, the Red Crescent said,with a flood of arrivals that started on February 20 continuing into Sunday.
Egyptians in particular were angry that theyhad received no help from their government and the Red Crescent called for helpfor Egypt to repatriate its nationals.
« Where is the Egyptian government? Whereis the Egyptian army? Where is the Egyptian ambassador? » one of thosecamped at the border said to AFP.
Accommodation in the area was scarce with thearrivals being sheltered in a school, hangars, a nearby military camp and withlocals.
Some said they had to sleep in the open, ontheir suitcases, despite the cold.
« More than 10,000 people passed throughRas Jedir yesterday, » said Monji Slim, the Red Crescent regional presidentin the main border town of Ben Guerdane.
More than 40,000 are estimated to have comethrough this border post in the past week, including more than 15,000Egyptians.
« It is a humanitarian crisis, ourcapacities to take in people are exhausted, people are sleeping in theopen, » he said.
« I appeal urgently for everyone to helpresolve this problem. The entire world should mobilize to help Egypt repatriateits nationals. »
Libyan customs officers had, meanwhile,deserted the Ras Jedir border post although soldiers and police loyal to MoamerKadhafi were still present, local officials told AFP.
« Apparently the same thing is happeningat Dahiba (the second-biggest border post further south) without passportsbeing stamped, but people are saying there are snipers on the roofs, like RasJedir, » Slim said.
The UN refugee agency said Sunday that closeto 100,000 people, mainly foreign migrants, have fled Libya to neighboringcountries by land during the past week of turmoil in the North African nation.
The exodus comes as Kadhafi battles forpolitical survival in an uprising challenging his nearly 42 years in power.
The number of people fleeing increased afterKadhafi’s son Seif al-Islam on Monday accused Arab and African expatriates offomenting the revolt against his father and accused Egyptians and Tunisians ofbeing behind the conspiracy.
A wave of unrest sweeping the region wassparked by an uprising in Tunisia that ended Zine El Abidine Ben Ali’s 23 yearsin power on January 14 and another that led to the downfall of Egyptianpresident Hosni Mubarak on February 11.
Most of the Egyptians who have crossed theborder are young workers who had gone to Libya to find work. About 1.5 millionEgyptians normally work in the oil-rich country.
« We have seen neither the ambassador noranyone from the government. We are exhausted. We have been here for threedays, » one angry Egyptian told AFP at Ras Jedir on condition of anonymity.
« It is raining, we sit in the rain andnothing happens, » said another.
Another added: « They tell us that boatsand planes are going to come, but we don’t know if it is true. All that we knowis that we are stuck here. »
Tunisie: 5 morts suite aux incidents à Tunis
27/02/2011 | Mise àjour : 16:18
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Désolationà Tunis, des policiers accusent des « terroristes »
TUNIS – Commissariatsincendiés, voitures de police brûlées, cafés saccagés, arbres et bancsarrachés: l’avenue Habib Bourguiba à Tunis a ressemblé dans la nuit à unvéritable champ de bataille, avec des policiers lancés à la poursuite de »terroristes » accusés de vouloir « semer le chaos ».
Vendredi 23h00: unevéritable chasse à l’homme est en cours dans le centre de Tunis, où des groupesde manifestants ont provoqué durant plus de cinq heures des forces de l’ordredéployées près du ministère de l’Intérieur, réclamant la « chute dugouvernement » après une manifestation géante devant la Kasbah.
Rafales de tirs desommation, gaz lacrymogènes, suivis par des tirs d’automatiques, la paniques’empare de la population dans la capitale qui se terre et n’avait pas vu unetelle violence après la chute du régime policier du président Ben Ali à lami-janvier.
Soldats, forcesanti-émeutes, policiers en civil cagoulés armés de matraques sillonnent ensuitela ville. Des hélicoptères de l’armée survolent à basse altitude la capitaledurant des heures.
Mais rien n’arrêteune poignée d’irréductibles déterminés à vouloir pénétrer dans le ministère del’Intérieur, entouré de barbelés et de chars de l’armée: des véhicules depolice dans le parking du ministère de l’Intérieur brûlent.
L’avenue Bourguibas’enfonce dans d’épaisses colonnes de fumée noire après plusieurs foyersd’incendie allumés par des manifestants. L’air, chargé de gaz lacrymogène et defumée des incendies, brûle les yeux et est irrespirable.
Des policiers arméset cagoulés s’approchent de journalistes de l’AFP. Leur attitude est presquemenaçante pensant qu’il s’agit de manifestants qui ont semé les troubles.
A proximité, deuxmotos de police brûlent encore. Quelque mètres plus loin, la façade d’uncommissariat près de la rue de Yougoslavie, est noire de suie. Les dalles demarbre à l’entrée sont arrachées et les fenêtres brisées.
« Ils(manifestants) étaient nombreux, environ 200 ou plus, à vouloir s’introduiredans le bâtiment, ils ont mis tout d’abord le feu à deux voitures de policegarées près du poste. J’avais peur pour ma vie surtout quand ils ont essayé dem’attraper après avoir menacé de me brûler vif », raconte un policier,Saleh, 30 ans, encore sous le choc.
« +Allah Akbar,Allah Akbar+, c’est votre jour, nous allons vous tuer bande d’abrutis »nous lançaient ces manifestants alors que « nous étions retranchés dans lebâtiment en attendant des secours », dit-il.
Ces »terroristes » ont « mené une action coordonnée », selon unautre policier, « ils nous disaient: +Vous avez été augmentés, vous lessoldats de Ben Ali mais vous saurez toujours des minables+ ».
Deux carcasses devoitures de police et deux motos fument encore à proximité.
« J’ai vraimentcru que c’était mon dernier jour, il y avait tellement de haine dans leurregards et leur paroles », ajoute un autre policier, matraque en main.
Plus loin encore,alors que résonnent encore des détonations, un Monoprix situé près del’ambassade de France, saccagé, finit de se consumer.
Les forces de l’ordrearrêtent des manifestants à tout va, procédant à des passages à tabac musclés,certains n’hésitant pas à frapper au sol un homme interpellé et hurlant deterreur.
Puis soudain, ellesarrêtent un tramway pour en sortir de force des hommes de l’intérieur. Lescoups pleuvent. Leshommes arrêtés sont engouffrés dans des fourgons de police.
Alors que le centrede Tunis n’est plus que désolation, des cris résonnent. Un jeune vient d’êtrearrêté par plusieurs policiers. L’un d’eux le frappe violemment derrière lanuque avant de le laisser partir.
Le jeune traverse larue en courant avant de s’agenouiller rapidement comme pour demander pardonavant de disparaître. Tunis s’enfonce dans une nuit secouée par desdétonations.
Par AFP
APPEL ARRÊTONS LES MANIFESTATIONS D’INTOLÉRANCE POUR LA LIBERTÉ D’EXPRESSION
Ce dimanche 27 février 2011, Ahmed Brahim, Ministre de l’ EnseignementSupérieur du Gouvernement Provisoire et SG du mouvement Etajdid a été empêchéde tenir une réunion publique à Sfax, la Semaine dernière, Maya Jribi SG du PDPa été empêchée de tenir une réunion similaire à Jendouba, et dansd’autres villes en Tunisie… Nous ne pouvons accepté ces manifestations d’intolérance et d’entrave à laliberté d’expression et de réunion chèrement payées par la lutte de notrepeuple. Ces libertés sont des acquis de la Révolution et la fierté detout le peuple tunisien. Nous devons les condamner fermement. Nous ne pouvons pas prétendre bâtir une Tunisie démocratique pour tous lestunisiennes et tunisensns, quelques soient leurs opinions politiques, leursexe, leurs origines ethniques ou leur croyance religieuse etc… sans lagarantie des libertés fondamentales et en premier la LIBERTÉ D’EXPRESSION.
NON AUX MANIFESTATIONS D’INTOLÉRANCE D’OÙ QU’ELLES VIENNENT OUI A LA LIBERTÉ D’EXPRESSION DE RÉUNION ET D’ORGANISATION POUR TOUTES LESTUNISIENNES ET TOUS LES TUNISIENS CHERBIB Mouhieddine 0615577914
- REUTERS Michèle Alliot-Marie a présenté dimanche sa démission dans une lettre adressée au président Nicolas Sarkozy et obtenue par Reuters. Lire la suite l’article La ministre française des Affaires étrangères déplore dans sa lettre une campagne d' »attaques politiques et médiatiques » véhiculant « contre-vérités et amalgames » sur son compte. « Je vous demande donc de bien vouloir accepter ma démission », ajoute Michèle Alliot-Marie, au coeur d’une polémique sur ses vacances et ses amitiés tunisiennes. Selon son entourage, le chef de la diplomatie française a remis sa lettre de démission en main propre au chef de l’Etat lors d’un entretien à l’Elysée à 15h30. Elle a ensuite été reçue par le Premier ministre François Fillon pendant une vingtaine de minutes à Matignon. Alain Juppé quittera le ministère de la Défense pour remplacer Michèle Alliot-Marie au Quai d’Orsay, a-t-on appris de sources gouvernementales. Brice Hortefeux devrait quitter le ministère de l’Intérieur pour y être remplacé par le secrétaire général de l’Elysée, Claude Guéant, et devenir conseiller de Nicolas Sarkozy. Gérard Longuet devrait remplacer Alain Juppé à la Défense, précise-t-on, toujours de sources gouvernementales. Nicolas Sarkozy doit intervenir à la télévision française à 20h00 pour une déclaration solennelle. Emmanuel Jarry, édité par Patrick Vignal http://fr.news.yahoo.com/4/20110227/tts-france-gouvernement-juppe-ca02f96.html
Mounteda al mouatinin al moustakillin
Forum de citoyens indépendants tunisiens
Ce mounteda est né dans le cadre desdébats organisés à el Hamra (Club : « Sanaparti pour unepatrie ») par des indépendants tunisiens autour de questions tellesque : l’état constitutionnel et politique de l’après 14 janvier discutéesavec les professeurs juristes Kais Saied et Sadok Belaid.
Membresdu Comité de suivi de la campagne de signatures de la pétition nationale
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Contact : Théâtre El Hamra– 25, Rue El Jazira – 1000 Tunis – tel : 71 320 734
Noura Borsali :97681943 * Leila Toubel : 98 650 675
mail :
Forum Citoyens TunisiensIndépendants
Nous, citoyennes et citoyens tunisiens,signataires de la présente pétition, affirmons :
16 février 2011
The Forum ofIndependent Tunisian Citizens
February, 16th 2011
We,Tunisian citizens, signatories of the present petition, affirm:
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andconsider that there is an absolute necessity for the election of a NationalConstituent Assembly in the shortest time possible, which will elaborate a newConstitution, setting up the bases of a democratic and pluralist politicalsystem, thus severing from any autocratic power, and preserving all of thesocial and political gains of the Tunisian people.
Mounteda almouatinin al moustakillin
PLATE-FORMEPOUR UNE ASSEMBLEE CONSTITUANTE
Pour laconcrétisation des objectifs de la Révolution du 14 janvier 2011, en hommageà la mémoire de ses martyrs, et pour la réalisation d’un changement qualitatifqui instituera un nouveau système politique ayant pour fondement lasouveraineté du peuple, il nous apparaît impérativement nécessaire :
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Le Forum des Citoyens Tunisiens Indépendantsprésente pour cela une plate-forme de travail reposant sur les propositionssuivantes :
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ForumSocial Maghreb….
Communiqué
Les organisations signataires, impliquées dans le processus du Forum Social Maghrébin
1-Condamnent avec fermeté les atrocités et les massacres perpétrés par ledictateur Mouamar El Gadafi et ses milices,
2-Réitèrent leur soutien au peuple libyen dans sa lutte contre le despotisme etla tyrannie et pour la justice sociale, la démocratie, la liberté et ladignité,
3-Saluent la mémoire des martyrs libyens,
4-Saluent l’attitude des officiers et soldats de l’armée libyenne qui ont refuséde se plier aux choix criminels de Gadafi et ses sbires ainsi que celle desfonctionnaires de l’état qui ont démissionné par solidarité avec leur peuple;
5- Appellenttoutes les forces démocratiques à manifester leur soutien au peuple libyen
6- Appelle leconseil de sécurité des Nations Unies à prendre immédiatement sesresponsabilités et saisir la cour pénale internationale afin qu’il entame despoursuites pour crimes contre l’humanité et incitation au crime de guerrecontre Kadhafi, ses fils et ses proches collaborateurs pour leur rôle dans larépression des manifestations.
7- Appelletous les mouvements sociaux de la région à soutenir activement le peuplelibyen, convaincus que la libération des peuples du Maghreb du joug des dictateurset des dictatures ouvrira la voie à l’édification d’un Maghreb des Peuples, unMaghreb de démocratie, de solidarité, de justice sociale car un autre Maghrebest possible.
8-Appellent à fairede la journée du 26 Février une journée mondiale de solidarité avec le peuplelibyen.
Organisationssignataires :
– Fédération des Tunisiens Citoyensdes deux Rives « FTCR »
– Comité pour le Respect des Libertéset des Droits de l’Homme en Tunisie « CRLDHT »
– Association des TravailleursMaghrébins de France « ATMF »Réseau Amazigh pour la – Citoyenneté (Azetta -Maroc)
– Immigration Développement Démocratie(IDD).
– Organisation Marocaine de DroitsHumains (OMDH)
– Coalition Mauritanienne PCQVP
– Coalition Contre la Corruption enMauritanie (3CM).
– CGTM Mauritanie
– l’AMF
– Na’oura – Belgique
– SOS Migrants – Belgique
– RADOSE (Maroc)
– Plateforme de la Société Civile enMauritanie
– Chouala (Maroc)
– AMDH Mauritanie
– SOS ESCLAVES Mauritanie
– ASDHOM (France)
– ASEET (Maroc)
– LADDH (Algérie)
– Forum des Alternatives Maroc « FMAS»
– Action Jeunesse – Maroc
– Mouvance RESAQ
– Confédération Démocratique duTravail «CDT»
– Organisation Démocratique duTravail- Bureau exécutif
– La jeunesse de l’odt
Les femmes de l’odt
– Association nationale des sagesfemmes au Maroc,
– Association marocaine des sciencesinfirmières et techniques sanitaires,
– Réseau marocain pour ladéfense du droit à la santé
– Instance nationale pourl’intégration des diplômés universitaires au Maroc
– Association Marocaine des DroitsHumains « AMDH»
– Sala Almoustakbal
– Noun AZ
– Association pour le contrat mondialede l’eau/ Maroc
– Instance National de défense desbiens publics
– Forum pour le droit à l’eau dans larégion arabe
– Fédération Démocratique du Travail «FDT»
– Groupe Antiraciste d’accompagnementet de défense des étrangers et Migrants«GADEM»
FNARIL
– ATTAC Maroc
– Mouvement Alternatives citoyenne «ALCI»
– Association Marocaine de Solidaritéet de Développement « AMSED»
– Association du Troisième Millénairepour le développement et la protection de l’Enfance « ATMDP»
– Association Bani Znassen pour laCulture, le Développement et la Solidarité « ABCDS»
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Mustapha Hattab
FMAS
53rue Melouiya, Appt.16, 4e étage, Agdal, Rabat
Tél. :0537 68 39 26/62, Fax : 0537 77 07 22, Mobile 06 64 38 81 31
conférence-débatle Lundi 28 Février à 19 h
La Tunisie,l’Égypte !
La révolution,démocratique et sociale, s’étend !
Les peuples tunisienet égyptien ont montré leur détermination, leur révolution est en route !
Les peuplesalgérien, marocain, jordanien, yéménite, syrien, libyen, palestinien,bahreïnien…etc, vont-ils continuer dans la voie démocratique révolutionnaire ?
Responsable etspécialiste pour la Fédération pour une Alternative Sociale et Écologique(FASE), des questions du Maghreb,
animera uneconférence-débat le :
salledes expositions
8, ruede la Banque, 75002 Paris – M° Bourse – Bus 29
INVITATION
AMNESTYINTERNATIONAL
CONFERENCEDE PRESSE
Amnesty international à l’honneur de vous inviter à une conférence de presse àTunis, le mardi 1 mars 2011 à 10h30mn à l’hôtel Hanaa International (AvenueHabib Bourguiba),à l’occasion de la publication de son nouveau rapport sur laTunisie:
Tunisia:Security forces must be held accountable for killing protesters
Launchof new Amnesty International report
OnTuesday 1 March, at a press conference in Tunis, Amnesty International expertswill detail shocking accounts of brutality committed by Tunisian securityforces during the protests that led to the departure of former President BenAli, and call for accountability for those responsible.
Thereport, Tunisia in Revolt: State Violence during Anti Government Protests,provides an in-depth look into the violence against protesters in December 2010and January 2011. The UN has put the death toll for the period at 147 inaddition to 72 people who died in prison in incidents linked to the unrest.
AnAmnesty International delegation visited Tunisia from 14 to 22 January, meetingwith families of those killed in the unrest, individuals injured duringprotests, other witnesses, and former detainees, as well as lawyers, HumanRights Defenders, trade unionists and medical professionals. Researcherstravelled to Hammamat, Bizerte, Regueb, Thala and Kasserine.
Theevent will be the first time Amnesty International has ever been able to launcha report in Tunisia.
When:Tuesday 1 March at 1030 Tunis time (0930 GMT)
Where:Hanaa International Hotel, Habib Bourguiba Avenue, Tunis
Who:Denys Robilliard, former Head of Amnesty International France
SaidHaddadi, Researcher on North Africa at Amnesty International
Formore information, please contact:
InTunis: Nicole Choueiry, +961 71 960 235 and nchoueiry@hotmail.com
InLondon: James Lynch on +44 (0) 207 413 5511 and james.lynch@amnesty.org
LOTFI AZZOUZ
DIRECTOR
AMNESTY INTERNATIONAL TUNISIA
BEN ALIrevient au galop.
A NOUS LESMEDIAS ! Pour le combattre.
«Notre premier ministre »démissionnaire, Mohamed GHANNOUCHI, a une tête de
tortue.Petite tête, peu d’idées. Suite à la fuite du baudet en chef BEN ALI,
sonPatron, Il s’autoproclame responsable du pays, à sa place, par procuration.
Jusqu’àaujourd’hui, il n’a cessé de nous rebattre les oreilles, et pas
seulement,qu’il ne savait rien des pratiques mafieuses, contre lesquelles le
peupletunisien s’est révolté. Puis, il nous ébouriffe qu’il savait, mais qu’il
avaitpeur de démissionner. Lui et « ses ministres » provisoires font-ils
réellementpartie du provisoire ? Malgré le refus catégorique, qui lui est
signifiépar une population échaudée, dans des manifestations grandissantes d’un
jourà l’autre, puis des morts, Tête de Tortue s’obstinait. Il ne voulait plus
partir,comme il le prétendait. Et c’est seulement sous la pression de la rue,
qu’ils’est ravisé.
C’estque le gâchis est énorme ! Le parti de BOURGUIBA au pouvoir, sous le
pseudonymePSD (Parti Socialiste Destourien), puis sous BEN ALI, devenu le RCD
(RassemblementConstitutionnel Démocratique), étant l’unique machine « politique
»autorisée, sur la scène. N’honorant point ses acronymes, elle a vite fait de
noyauter,pour contrôler, le plus petit détail de la vie. C’est cela, qui a
permisla maîtrise, par une mafia, de toute une société, désormais soumise.
Etpuis, après de longues et pénibles luttes, depuis longtemps engagées, avec
sesmorts, blessés, emprisonnés, humiliés et autres spoliés, vint le majestueux
14Janvier 2011, épilogue de la Révolution de notre peuple de TUNISIE.
jeconsidèrerai celle de l’indépendance. N’empêche que La Révolution commencée
le17 Décembre 2010, à proprement parler, n’est pas née de rien, mais d’une
accumulationde haines, brimades et autres sacrifices divers et variés :
manifestations,paroles risquées, remarques interdites, écrits kamikazes… En
unmot : Sous les deux têtes de pouvoir cités, on était sous colonisation
françaisepar procuration, que GHANNOUCHI voulait, désespérément, perpétuer.
Soussa direction, alors qu’il faisait mine de bosser, tout en maintenant le
statuquo grâce aux reliques, dominantes dans les rouages administratifs, des
dossierscompromettants disparaissent, des exactions s’effacent et des bandes
organiséess’emploient à bondir. D’ailleurs le système BEN ALI revient au galop.
Les« Commissions d’investigations », qu’il avait créées, avant sa débâcle, sont
cellesqui font mine, aujourd’hui– entérinées par Tête de Tortue–d’éclairer le
chemindes lésés qui s’adresseraient à elles.
Enfait, elles ne fournissent que de fausses pistes, ne répondant ni aux
requêtes,ni au téléphone, faisant gagner du temps aux gangs de la Camorra.
Sielles veulent se faire une virginité (est-ce encore possible ?), il faudrait
qu’elles« enquêtent » sur la manière dont le palais présidentiel de Sidi
Boussaidfut investi par une de leurs hordes, en présence d’une caméra dirigée,
dela Télévision Nationale, afin de montrer la Caverne de ZABA BABA.
auraitété plus correct de ne pénétrer la demeure, que sous délégation d’un juge
d’instructionet l’autorisation d’un procureur de la république, en présence de
huissiersnotaires, afin de faire l’inventaire des trouvailles, et les mettre
sousscellés. Après quoi, on chargerait l’armée, par exemple, d’assurer la garde
deslieux. Mais cela aurait-il servi à quelque chose, après que l’endroit ait
étévisité, en l’absence de toute transparence, plusieurs fois avant.
Beaucoupde bandes organisées bombent le torse de nouveau, à bord de limousines
derêve, devant les mêmes somptueuses demeures. Elles payent des mercenaires,
quise faufilent parmi les manifestants et commettent casses et incendies, afin
desalir l’image de tout mouvement populaire. Alors que la place de toute cette
racailleest en prison. Elle est d’autant plus dangereuse, que des armes de
différentscalibres circulent dans ses rangs.
Dansun système aussi pourri, des livres ne peuvent suffire à étayer les abus.
Paroù donc commencer les soins? Et par où les achever ?
Amonsieur Mohamed GHANNOUCHI et consorts, je dis : si vous aimez la Tunisie,
vousne pouvez dédaigner les tunisiens. Prière donc de vous soumettre à la
volontéde tous. A l’âme des MARTYRS : celle de laisser la place à un
Gouvernementde Salut Public, afin de créer une ambiance politique saine.
foisles libertés populaires garanties, des partis politiques peuvent être crées
ettravailler, afin de préparer l’avenir. Il faut parallèlementlibérer les Mass
média.
On continue à ressasser qu’il n’y a pas d’opposition, alors que les moyens de
communicationssont confisqués par ce « gouvernement provisoire » et ses
télévisions,championnes de la même censure institutionnalisée. Une assemblée
constituantedoit naître, absolument, et rédiger la nouvelle constitution tant
attendue.La loi électorale et les élections futures qui en découleront ne
serontalors qu’un jeu d’enfants.
Jeconstate, que la plupart des forces politiques, encore éparses mais honnêtes
dupays, prônent le Régime Parlementaire :
1)Par des élections législatives, le peuple choisirait ses représentants à la
Chambredes députés. Leur nombre changerait, selon celui des citoyens de chaque
région.
2)Les députés éliraient le Président de lé République.
3)Celui-ci désignerait un Chef de Gouvernement (Premier Ministre), qui à son
tourformerait un gouvernement.
Ainsi,tout ce beau monde est sous contrôle continu du peuple, qui le moment
venu–auxélections suivantes, après quatre ans par exemple– peut tout ou en
partiebalayer.
Danstous les cas, déjà, je lance ici un appel urgent, à ce que les régions
n’attendentplus et s’organisent, pour élire au plus tôt, les syndicats, les
conseilsmunicipaux, les PDG, les délégués et les gouverneurs…
Attendreque seulement « le Premier ministre » fasse ce qu’on demande, ne peut
quetirer dangereusement vers l’arrière, car le reste de l’RCD ne fait que
couverla pourriture, pour la raviver parmi nous, dès que la sieste reprendrait.
Auxdernières nouvelles, cinq manifestants ont encore été tués par balles
réelles,hier, Samedi 26 Février 2011, devant le même (sinistre) ministère de
l’intérieur(torture), comme au soir du 14 Janvier 2011, date de l’Indépendance.
Combiende morts et combien de blessés ?
Cette fois-ci GHANNOUCHI part. Est-ce qu’il l’a jamais souhaité ? Mr Foued
MEBAZZAA, »président par intérim »nomme, en trois heures de temps, Mr ElbéjiKAID
ESSEBSI(PIPE), un autre cacique de son parti de potentats, comme remplaçant.
Lesmass média d’égouts, comme d’habitude, se mettent à jouer la musique.
Décidément,on n’est pas sorti de l’auberge. La pantalonnade est on ne peut plus
claire.C’est que le pot aux roses risque d’être mis à nu, comme la Caverne de
ZINOCHEde ZINOCHETTE. Telle une hydre, quand on coupe la tête, sans brûler le
corps,la partie séparée est à chaque fois régénérée. Il faut donc absolument
finirle travail : nettoyer totalement ce qui reste de l’RCD.
Commela révolution, tout ce qui commence par la base, ne peut qu’accélérer le
rythmedu changement et son enracinement définitif dans les têtes, et même les
crânesd’œuf. Ne demandons plus que d’autres fassent, mais faisons, et tout de
suite.Dans le cas contraire, nous sommes condamnés à demeurer sur place. Et
commecelui qui n’avance pas recule, nous ne ferions que reculer, par rapport au
restedu monde.
«BENAVI » est à l’affût. Il n’est ni en coma, ni comme papa.
undes plus gros malfrats. Unex gros bras, d’un Occident descendu très bas.
RABAM,sauvons notre Révolution.
Dr Mahmoud BEN AMMAR.
Egypt andTunis can empower liberated Libya
By Ghassan Michel Rubeiz
February25, 2011,
PalmBeach Gardens
Will Libya followTunisia and Egypt in forcing tyrants out? Gadhafi’s days are numbered, as hispeople inch their way to depose him and the UN Security Council deliberatecharging him with crimes against humanity. Historians will explain that theLibyan dictator abandoned reality long before he left power.
When a popularuprising is born, the ruler defends himself with old methods of oppression.When he discovers that old tactics do not work, he improvises with a series ofnew tactics which ultimately bring him to the edge of a cliff. The longer theautocratic regime is stretched, the slower the reaction time to protest.
As the regime isabout to collapse, US experts rush to tell us what will happen next. Theseexperts are often off the mark. Pundits who have predicted that the Libyanleader will drag out this tragedy should think again. The mood of the region iscontagious; the will of the protestors is formidable.
Some observers rushto judgment with cynical theories about the inability of the Libyan people tomake political progress. On CNBC Morning Joe, the President of Council onForeign Relations, Richard Haas, opined that Libya is rapidly turning into aSomalia-like failed state. He argued that the US must soon have to stationtroops in Libya to prevent imminent terrorism. When asked if the US should workwith Europe to help Libya, he was hesitant. While Haas did not expresslyadvocate significant US military presence, his unilateral approach and narrowoutlook on the future of Libya are questionable.
American militaryintervention in Libya would be a spoiler. Today, the Arab street is highlysuspicious of additional US military missions in the region. A UN approved,European- Egyptian surgical intervention would hasten the ousting of Gadhafi,reduce bloodshed and set the stage for Libyan lead, externally supported,political renewal.
Commentary on Libya’spolitical vacuum after the downfall of the dictator is sobering. Transition todemocracy will take years in a country with a deep tribal structure. Butasserting that post – Gadhafi Libya is heading to tribal rule is not helpful.Libya has an educated Diaspora and a layer of middle class eager to build civilsociety and lay the foundation of a modern state.
Not only there isambiguity on Libya’s fate after the departure of its iron-fist ruler, there isa paternalistic outlook on how to rebuild this fragile country. Could Arabshelp one another through cross-border partnership?
Why not think of newways of empowering this oil rich Arab state, with language, culture andgeography in mind. Libya borders Egypt and Tunisia, two countries which havejust finished largely peaceful uprisings. These two countries are alreadyengaged with state building and reform. Libya’s neighbors are strategicallypoised to help this small, endowed and vulnerable state. In a vast and richland of 1.8 million square kilometers – 3.5 times the size of France – thereare only six million inhabitants.
In contrast toLibyans, the eighty million Egyptians live in an area of one million squarekilometers, five percent of which is cultivable. Egyptians are skilled; theywould welcome the opportunity to work in Libya as advisers, legal consultants,engineers, teachers, doctors and social workers.
The ratio of land topeople is very favorable in Tunisia. The ten million Tunisians are for the mostpart educated. They have a solid repertoire of experience in civic society. They would be willing to share their knowledge with their neighbors.
The West could offerLibya advanced technical assistance; at the same time, it could encourage andsupport Libya’s neighbors to provide the lion’s share of empowerment.
Three North-AfricanArab countries have started a hopeful new era. In working together, thesestates can serve as liberation models for the rest of the region.
*Ghassan Michel Rubeiz is an Arab American commentator. The writer is a formerMiddle East representative at the Geneva-based World Council of Churches.
grubeiz@comcast.net