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AISPP: ProcĂšs du 31 AoĂ»t LibertĂ© et EquitĂ©: la famille du prisonnier dâopinion Karim Ayari se voit interdire de lui rendre visite. LâĂ©tat de santĂ© de ce dernier sâest dĂ©gradĂ© Reporter Sans FrontiĂšres: 50e jour de dĂ©tention pour Fahem Boukadous Appel de la mĂšre du prisonnier du bassin minier Hassan Ben Abdallah Tunisie : dĂ©marrage d’un mĂ©ga-projet ferroviaire rapide Slim Bagga: Lettre dĂĄndalousie 8 Abdel Wahab Hani: ĂĂŻd / Retornado Lotfi Tounsi enfin LIBRE et chez lui en TUNISIE (verion corrigĂ©e et amendĂ©e) Jeuneafrique: Ahmed Kedidi, le retour Maghreb EmergentTunisie – La Banque centrale sâinquiĂšte des rĂ©percussions de la conjoncture mondiale LibertĂ© Algerie: Tout pour sĂ©duire la clientĂšle algĂ©rienne Tunivision: Un autre Facebook tunisien ? De la culture de la copie stĂ©rile RĂ©alitĂ©s: Islam â ChrĂ©tientĂ© : les pommes de la discorde RĂ©alitĂ©s: LâEurope est-elle finie?
2) la famille du prisonnier dâopinion Karim Ayari se voit interdire de lui rendre visite. LâĂ©tat de santĂ© de ce dernier sâest dĂ©gradĂ©.
Le directeur de la prison de Messaadine, Imed Elajmi, a interdit lundi 23 aoĂ»t 2010 Ă la famille du prisonnier dâopinion Karim Ayari de rendre visite Ă ce dernier sans avancer de justification. Lâadministration a informĂ© la famille que leur fils Ă©tait sanctionnĂ© par une peine de mise au cachot. Ce prisonnier a Ă©tĂ© transportĂ© le 22 aoĂ»t 2010 aux urgences de lâhĂŽpital Sahloul mais sa famille ignore par quelle maladie il est affectĂ© et le degrĂ© de gravitĂ© de cette derniĂšre, dâoĂč son inquiĂ©tude qui ne fait que croĂźtre. Karim Ayari est condamnĂ© Ă une peine de sept ans dans le cadre de la campagne visant les jeunes pratiquants ; il en a effectuĂ© cinq. [âŠ] Pour le Bureau exĂ©cutif de lâOrganisation Le PrĂ©sident MaĂźtre Mohammed Nouri (traduction dâextraits ni revue ni corrigĂ©e par les auteurs de la version en arabe, LT)
TUNISIE- 50e jour de détention pour Fahem Boukadous
Appel de la mĂšre du prisonnier du bassin minier Hassan Ben Abdallah
Appel de la mĂšre du prisonnier du bassin minier Hassan Ben Abdallah
Tunisie : dĂ©marrage d’un mĂ©ga-projet ferroviaire rapide
LETTRE DU CIEL D’ANDALOUSIE 8
ĂĂŻd / Retornado Lotfi Tounsi  (ۧÙŰčۧۊۯ ÙŰ·ÙÙ Ű§ÙŰȘÙÙŰłÙ) enfin LIBRE et chez lui en TUNISIE
 (verion corrigée et amendée)
Par Abdel Wahab Hani
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Notre ami ĂĂŻd / Retonado Lotfi Tounsi ( ÙŰ·ÙÙ Ű§ÙŰȘÙÙŰłÙ ۧÙŰčۧۊۯ) est enfin LIBRE et chez lui en TUNISIE, moins de 24 heures aprĂšs son retour volontaire de Amman en Jordanie, oĂč il a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© jeudi dernier 26 aoĂ»t, en exĂ©cution dâun vieux mandat d’Interpol en date de 1992, tombĂ© en dĂ©suĂ©tude, alors quâil se dirigeait vers les lieux saints de lâIslam, Ă Makkah Al-Moukarramah et Ă Al-Quds Al-Charif pour y effectuer le petit pĂšlerinage de Ramadan.
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Les Tounsi et leurs proches et amis fĂȘtent, dans la joie, ces retrouvailles exceptionnelles, longtemps attendues deux dĂ©cennies durant.
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Joint au tĂ©lĂ©phone depuis Paris, notre ami ĂĂŻd / Retornado Lotfi nâa pas cachĂ© sa joie : « Câest le plus beau jour de ma vie que dâavoir retrouver ma mĂšre. Jâai prĂ©vu dâaccomplir la Omra des dix derniers jours du mois bĂ©ni de Ramadan, mais Allah mâa rĂ©servĂ© ces derniers jours du mois bĂ©ni auprĂšs de ma chĂšre maman bien aimĂ©e et de ma famille, dans mon cher pays de la Zeitouna ».
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Contrairement aux sirĂšnes de la haine qui ont sifflĂ© tout au long du week end, ĂĂŻd / Retornado Lotfi Ă©tait confient dans un dĂ©nouement rapide et digne de son Ă©preuve. Il avait, dans ce sens, dĂ©cidĂ© dâaccepter le RETOUR VOLONTAIRE en TUNISIE, pour Ă©courter les dĂ©lais dâattente inutiles en dĂ©tention Ă Amman, du terme de la trĂšs longue procĂ©dure judiciaire dâextradition engagĂ©e Ă son encontre en vertu dâun vieux mandat international dâarrestation Interpol ; dĂ©livrĂ© par les autoritĂ©s tunisiennes en 1992.
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Il avait signifiĂ© au consulaire français lâayant rencontrĂ©, dimanche 29, sa volontĂ© de RENTRER dans SON PAYS, la TUNISIE et non la FRANCE, et a lui mĂȘme payĂ© son billet dâavion Amman > Tunis, alors que des âAvocatsâ autoproclamĂ©s, contrairement Ă lâĂ©thique de la profession, Ă Paris et Ă Tunis, criaient leur refus de sa volontĂ©, profitant de son incarcĂ©ration Ă Amman, pour faire croire Ă une prĂ©tendue constitution de conseil de dĂ©fense en leur faveur. La manipulation nâa durĂ© que le temps Ă©phĂ©mĂšre des mensonges et la LibĂ©ration de Lotfi a Ă©courtĂ© sa durĂ©e de vie.
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Affranchi de toute obĂ©dience politicienne et de toute haine envers son pays, prenant son destin entre ses mains et nâayant mandatĂ© aucun prĂ©tendu avocat, ni avocate, ni Ă Paris, ni Ă Amman, ni Ă Tunis, ĂĂŻd / Retornado Lotfi a affrontĂ© son destin avec le courage de tout exilĂ© qui dĂ©cide de rompre l’asile et de rentrer au pays. Le temps de la nationalisation de lâĂtre est rĂ©volu.
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Certes, les associations de dĂ©fense des Droits humains sont dans leur droit de sâinquiĂ©ter, dâalerter les autoritĂ©s et lâopinion, mais elles ont lâobligation de le faire, primo : dans le respect de la victime et avec son accord et non contre sa volonté ; secondo : dans la juste qualification des faits et sans exagĂ©ration ; tertio : dans la volontĂ© de soulager la souffrance de la victime et du recouvrement de ses droits et loin de toute surenchĂšre politicienne.
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Ces principes nâont pas toujours Ă©tĂ© respectĂ©es et lâon a vu des propos vexatoires Ă lâendroit de notre Nation, des termes totalement infondĂ©s, des propos dâune exagĂ©ration maladive qui ne correspond nullement Ă la rĂ©alitĂ© et une confusion des rĂŽles et un mĂ©lange des genres dâavocats auto-proclamĂ©s dâune prĂ©tendue dĂ©fense signant eux mĂȘmes les communiquĂ©s de leurs propres organisations qui fait lâĂ©loge de leurs propres actions (!!!) destinĂ©es Ă la consommation mĂ©diatique Ă©phĂ©mĂšre, amorale et inutile, voire encombrante et contre-productive, pour la victime.
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Ainsi, sous la signature dâun avocat respectable et respectĂ© du Barreau de Tunis et lâun de ses tĂ©nors, nous avons pu lire la formule insensĂ© Ă©voquant sa « dĂ©portation » (ŰȘÙŰŹÙ۱), que les traducteurs volontaires traduisent par âExilâ, prenant ainsi le lecteur arabe pour un dĂ©bile et rĂ©servant la formule consacrĂ©e au lecteur français, jugĂ© dĂšs lors, incosciemment, plus rationnel et plus digne dâune information juste.. Et ainsi le florilĂšge des non-sens nous apprend, mensongĂšrement, que « sa famille a engagĂ© une demande pour son rapatriement en France » (ŰčÙÙ Ű§ ŰšŰŁÙ ŰčۧۊÙŰ© ۧÙŰłÙŰŻ ÙŰ·ÙÙ Ű§ÙŰȘÙÙŰłÙ ÙÙ Ű§ÙŰąÙ ŰšŰ”ŰŻŰŻ ۧÙۧŰȘŰ”Ű§Ù ŰšÙŰČۧ۱۩ ۧÙ۟ۧ۱ۏÙŰ© ۧÙÙ۱ÙŰłÙŰ© ÙÙÙ Ű·Ű§Ùۚ۩ ۚۄ۱ۏۧŰčÙ Ű„ÙÙ Ù۱Ù۳ۧ.), comme si il nâĂ©tait pas tunisien, en plus du mensonge caractĂ©risĂ© dâavoir attribuĂ© Ă la famille une dĂ©marche fantasmagorique qui nâexiste que dans lâimaginaire maladif et malintentionĂ© de son auteur ‘avocat’ auto-proclamĂ© dans la diasporaâŠ
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Tout en saluant lâeffervescence de la scĂšne associative et la multiplication des initiatives citoyennes de dĂ©fense des Droits humains, nous ne pouvons que regretter les Ă©carts de langage et condamner les dĂ©rapages politiciens, qui ne servent aucunement la cause des victimes, ni celle du combat universel pour la consĂ©cration de Tous les Droits pour Tous.
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Les militants-du-dernier-quart-dâheure et les Moudjahidin-de-1961 qui pullulent, le virtuel aidant, notamment dans la disapora, aprĂšs avoir construit villas et situation, rĂ©elle, de rĂȘve matĂ©riel et immoral sur le dos des victimes et de la cause, doivent respecter les Victimes et ne pas sâen servir de leurs souffrances pour rattraper un retard de preuves de militance ou soigner un curriculum vitae vaguement militant et profondĂ©ment mercantile et affairiste.
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Quant aux grands procĂšs des annĂ©es 1990 et les procĂ©dures d’Interpol qui les ont suivies Ă partir de 1992, nous rĂ©pĂ©tons quâil faut les regarder sous lâangle de la prescription, de la caducitĂ© et de la dĂ©suĂ©tude, accĂ©dant ainsi qu Droit de la SociĂ©tĂ© Ă lâOubli, pour pouvoir tourner la page et regarder lâavenir. Les Historiens feront lâHistoire. La Justice doit protĂ©ger la SociĂ©tĂ© des dangers qui la guettent, mais elle doit aussi lâaider Ă retrouver la SĂ©rĂ©nitĂ© et surmonter le passĂ© douloureux des individus et des groupes.
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Avons nous, Pouvoir, Oppositions et IndĂ©pendants, le courage de quitter la prison intellectuelle de 1992⊠Nous continuons Ă le souhaiter et Ă oeuvrer pour notre libĂ©ration collective, en tant que Nation, des dĂ©mons du passĂ©… Que Allah le Tout puissant nous y aide en ce dĂ©but des dix derniĂšres nuits du mois bĂ©ni de Ramadhan Al-Moubarak.
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Pour rendre visite Ă ĂĂŻd / Retornado Lotfi Tounsi à Tunis:
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-6, Rue de la VĂ©ritĂ© (ÙÙŰŹ ۧÙŰÙÙÙŰ©), Impasse Ben Massauda (ŰČÙÙŰ© ŰšÙ Ù ŰłŰčÙŰŻŰ©),  Maaqal Al ZaĂŻm (Ù ŰčÙÙ Ű§ÙŰČŰčÙÙ ), Ă Tunis-MĂ©dina,
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-TĂ©l : +216 20 191 185 begin_of_the_skype_highlighting              +216 20 191 185      end_of_the_skype_highlighting (et non 195 comme Ă©crit prĂ©cĂ©dement, nos sincĂšres excuses Ă notre compatriote porteure / euse du numĂ©ro inscrit par erreur, sous l’emprise de la joie)
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Paris, le 31 aoĂ»t 2010 Â
ĂĂŻd / Retonado Bi Idhni Allah, Ahabba Al Mouhibboun Wa Kariha Al Karihoun
Abdel Wahab Hani
7142 jours : soit 19 ans, 6 mois et 21 jours, dâExil et de Privation du Pays ;
408 jours : soit 1 an, 1 mois et 12 jours, dâAttente du Passeport national tunisien;
3649 jours : soit 9 ans, 11 mois et 28 jours, de Privation des voix du pays via lâopĂ©rateur Ă©tatique Tunisie Telecom ;
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awhani@yahoo.fr
+00 33 6 17 96 37
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Ahmed Kedidi, le retour
Tunisie – La Banque centrale sâinquiĂšte des rĂ©percussions de la conjoncture mondiale
Tout pour séduire la clientÚle algérienne
Un autre Facebook tunisien ? De la culture de la copie stĂ©rile Â
Islam â ChrĂ©tientĂ© : les pommes de la discorde Â
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