|  TUNISNEWS  
  3ème année,                N° 837 du 02.09.2002   Pour                consulter les archives de notre liste, cliquez ici: : http://site.voila.fr/archivtn  
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|  LES                TITRES DE CE JOUR:  
 
 
  Collectif                                                                        des                                                                        avocats                                                                        du                                                                        journaliste                                                                        Abdallah                                                                        Zouari:                                                                        Déclaration                                                                         AFP:                                                                        La Cour                                                                        de                                                                        cassation                                                                        a examiné                                                                        l’affaire                                                                        de                                                                        l’opposant                                                                        Hamma                                                                        Hammami                                                                         AFP:                                                                        L’opposant                                                                        Hamma                                                                        Hammami                                                                        débouté                                                                        en                                                                        cassation                                                                         AP:                                                                        La Cour                                                                        de                                                                        cassation                                                                        de Tunis                                                                        rejette                                                                        le                                                                        recours                                                                        de                                                                        l’opposant                                                                        Hamma                                                                        Hammami   CISPPT:                                                                        La                                                                        confirmation                                                                        de la                                                                        sentence                                                                        de Mr                                                                        Hamma                                                                        Hammami                                                                        est une                                                                        confirmation                                                                        de                                                                        l’absence                                                                        de                                                                        l’etat                                                                        de                                                                        droits                                                                        et des                                                                        liberte’s                                                                        d’expression                                                                         Reporters                                                                        sans                                                                        frontères:                                                                        La Cour                                                                        de                                                                        cassation                                                                        confirme                                                                        la peine                                                                        de trois                                                                        ans et                                                                        deux                                                                        mois de                                                                        prison                                                                        de Hamma                                                                        Hammami                                                                         AP:                                                                        Tunisie:                                                                        un                                                                        « record »                                                                        de 237                                                                        candidats                                                                        à                                                                        l’immigration                                                                        clandestine                                                                        arrêtés                                                                         AFP:                                                                        Vaste                                                                        tentative                                                                        d’immigration                                                                        clandestine                                                                        vers                                                                        l’Italie:                                                                        237                                                                        arrestations                                                                         AFP:                                                                        Arrestation                                                                        de 45                                                                        Tunisiens                                                                        avant                                                                        leur départ                                                                        clandestin                                                                        pour                                                                        l’Italie.                                                                         The                                                                        Scotsman:                                                                        Troubled                                                                        history                                                                        of the                                                                        Swedish                                                                        hijack                                                                        suspect                                                                         Reuters:                                                                        Swedish                                                                        prosecutor                                                                        says                                                                        suspect                                                                        planned                                                                        hijack                                                                         Reuters:                                                                        Détournement-                                                                        La                                                                        police                                                                        parle                                                                        d’un                                                                        crime                                                                        sans précédent                                                                        en Suède                                                                         AFP:                                                                        L’accusation                                                                        demande                                                                        l’incarcération                                                                        du                                                                        pirate                                                                        de l’air                                                                        présumé  
                                                                     ÞÏÓ                                                                    ÈÑÓ:                                                                    ÑÆíÓ                                                                    ÍÒÈ                                                                    ÇáãÄÊãÑ                                                                    íáÊÍÞ                                                                    ÈÇáÅÖÑÇÈ                                                                    Úä                                                                    ÇáØÚÇã                                                                    – ÊæäÓ:                                                                    ÑÇÈØÉ                                                                    ÍÞæÞ                                                                    ÇáÅäÓÇä                                                                    ÊØÇáÈ                                                                    ÈÇáÚÝæ                                                                    ÇáÚÇã                                                                    æÊÓÊäßÑ                                                                    ÇáÇÚÊÏÇÁ                                                                    Úáì                                                                    ÇáãÚÇÑÖíä                                                                    ÇáÍíÇÉ:                                                                    ãÍßãÉ                                                                    ÚÓßÑíÉ                                                                    ÊÞÇÖí                                                                    ÊæäÓíÇð                                                                    íÔÊÈå                                                                    Ýí                                                                    ÚáÇÞÉ                                                                    È « ÇáÞÇÚÏÉ »                                                                     ÇáÔÑÞ                                                                    ÇáÃæÓØ                                                                    : ÚãíÏ                                                                    ÇáãÍÇãíä                                                                    ÇáÊæäÓííä:                                                                    ÖÑÈ                                                                    ÇáÚÑÇÞ                                                                    ÌÒÁ ãä                                                                    ÎØÉ                                                                    ÃãíÑßÇ                                                                    áÅÚÇÏÉ                                                                    ÊÔßíá                                                                    ÇáÚÇáã                                                                    ÇáÍíÇÉ:ãÍÇãí                                                                    ÇáÊæäÓí                                                                    ÇáãÚÊÞá                                                                    Ýí                                                                    ÇáÓæíÏ                                                                    : ãæßáí                                                                    ÃÚØì                                                                    ãÈÑÑðÇ                                                                    ãÞäÚðÇ                                                                    áÍãáå                                                                    ãÓÏÓðÇ                                                                     ÇáÔÑÞ                                                                    ÇáÃæÓØ                                                                    :                                                                    ÇáÓæíÏ                                                                    ÊÄßÏ                                                                    ÊÚÇæäåÇ                                                                    ãÚ                                                                    ÍßæãÇÊ                                                                    «ÃÌäÈíÉ»                                                                    ÈÔÃä                                                                    ÇáÊæäÓí                                                                    ÇáãÚÊÞá..                                                                    æãÍÇãíå                                                                    íäÝí                                                                    Ãä                                                                    ãæßáå                                                                    ÎØØ                                                                    áÎØÝ                                                                    ØÇÆÑÉ                                                                     ÞÏÓ                                                                    ÈÑÓ:                                                                    Ýíáã                                                                    ãÕÑí                                                                    íËíÑ                                                                    ÇäÊÞÇÏÇÊ                                                                    æÇÓÚÉ                                                                    ÈÓÈÈ                                                                    ÑÇÞÕÉ                                                                    ÊæäÓíÉ  
 
 
 
 
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|  Déclaration  
 Nous, soussignés, avocats du journalistes ABDALLAH ZOURI déclarons : 1- que notre client tint à remercier vivement tous ses confrères et défenseurs de la liberté qui le soutiennent dans cette nouvelle épreuve 2- qu’il est encore en grève de la faim et ce depuis son arrestation le 19-2-2002 3- que si une quelconque infraction à la loi lui imputée, il devrait être jugé par la tribunal cantonal de Carthage, lieu de sa résidence de son arrestation et du soi disant lieu de l’infraction à l’arrêté du ministère de l’intérieur l’obligent à résider à l’extrême sud du pays, à hassi jerbi (500km de Tunis ) . mais contrairement à la loi, il a été déféré et jugé par la tribunal cantonal de zarzis. Dans le seul but de l’éloigner vde ses avocats et défenseurs de la liberté 4- qu’en réponse aux allégations mensongères du gouvernement qui nie la qualité de journaliste à notre client, le calomnie, et lui impute une nouvelle infraction pour laquelle il n’a jamais été inculpé voire même jugé. Nous affirmons que monsieur Zouari est un journaliste du journal « el fajr » qui fut interdit de parution et que ce gouvernement à respecté un tant soit peu la liberté de la presse, notre client aurait pu continuer à exercer sa profession Derrières les barreaux durant ses derniers années …mêmes s’il est impossible de se procurer un crayon dans les prisons du 7 novembre . Mr zouari est un homme de lettres et de plume , il fut instituteur et quant il a été radié du corps des enseignants par le régime de Bourguiba , suite & ses activités d’opposition à ce dernier ,il ouvra une librairie qui a été elle aussi fermée et sa mère qui en avait la licence , emprisonnée Ce n’est pas a un gouvernement notoirement connu pour être un ennemie de la presse des journalistes de renom l’on soutenu et dernièrement ont signé une pétition réclamant sa libération quant au port d’armes et d’explosifs , notre client n’a jamais été inculpé ou jugé pour une telle infraction, et d’explosif , et notre client n’a jamais être inculpé ou jugé pour une infraction, et qu’une seule vérité a « explosé » devant les tribunaux militaires inconstitutionnelles et d’exceptions de ce gouvernement, à savoir que Mr ZOUARI n’a exercé que sa liberté et son droit d’association Un gouvernement qui se respecte doit veiller au respect de la dignité et de l’intégrité physique et morale de ses ressortissants et nom de clader à toutes les portes que ses paisibles citoyens sont des terroristes … Pour le collectif Maître              NAJIB HOSNI  avocat                 rue _ juillet 7100 le KEF  | 
| ÑÆíÓ ÍÒÈ ÇáãÄÊãÑ íáÊÍÞ ÈÇáÅÖÑÇÈ Úä ÇáØÚÇã ÊæäÓ: ÑÇÈØÉ ÍÞæÞ ÇáÅäÓÇä ÊØÇáÈ ÈÇáÚÝæ ÇáÚÇã æÊÓÊäßÑ ÇáÇÚÊÏÇÁ Úáì ÇáãÚÇÑÖíä | 
| ÈÇÑíÓ              – ÎÏãÉ ÞÏÓ ÈÑÓÈÚÏ              ÅÖÑÇÈ ÇáÔíÎ ÑÇÔÏ ÇáÛäæÔí, ÑÆíÓ ÍÑßÉ              ÇáäåÖÉ ÇáÊæäÓíÉ ÇáãÍÙæÑÉ, Úä ÇáØÚÇã              ÊÖÇãäÇ ãÚ äÍæ 700 ãÚÊÞá ÓíÇÓí ÊæäÓí,              íÔäæä Ýí ÓÌæä ãÊÝÑÞÉ ãä ÇáÈáÇÏ,              ÅÖÑÇÈÇ Úä ÇáØÚÇã, ãäÐ ÃíÇã, ááãØÇáÈÉ              ÈÅØáÇÞ ÓÑÇÍåã, ÃÚáä ÇáÏß澄 ãäÕÝ              ÇáãÑÒæÞí ÑÆíÓ ÍÒÈ ÇáãÄÊãÑ ãä ÃÌá              ÇáÌãåæÑíÉ ÇáãÚÇÑÖ, æÇáÑÆíÓ ÇáÓÇÈÞ              ááÑÇÈØÉ ÇáÊæäÓíÉ ááÏÝÇÚ Úä ÍÞæÞ              ÇáÅäÓÇä, ÏÎæáå åæ ÇáÂÎÑ Ýí ÅÖÑÇÈ Úä              ÇáØÚÇã. æÞÇá              ÇáÏß澄 ÇáãÑÒæÞí, æåæ äÇØÞ ÓÇÈÞ ÈÇÓã              ÇáãÌáÓ ÇáæØäí ááÍÑíÇÊ ÈÊæäÓ, æÚÖæ              äÇÔØ Ýí ÇááÌäÉ ÇáÚÑÈíÉ áÍÞæÞ              ÇáÅäÓÇä, Ýí ÈáÇÛ               ÃÑÓáÊ äÓÎÉ ãäå Åáì æßÇáÉ « ÞÏÓ              ÈÑÓ« ,              Åäå ÞÑÑ ÇáÇäÖãÇã Åáì ÍÑßÉ ÇáÅÖÑÇÈ Ýí              ÇáÎÇÑÌ, « ÊÖÇãäÇ ãÚ ÇáãÓÇÌíä              ÇáÓíÇÓííä ÇáãÖÑÈíä Úä ÇáØÚÇã Ýí              ÇáÓÌæä ÇáÊæäÓíÉ, æãäåã ÇáÏß澄              ÇáÕÇÏÞ ÔæÑæ, æÚáí ÇáÚÑíÖ, æÐáß              ááãØÇáÈÉ ÈÇáÚÝæ ÇáÊÔÑíÚí ÇáÚÇã ».              ÈÍÓÈ Þæá ÇáÈáÇÛ.  ãä              äÇÍíÉ ÃÎÑì ØÇáÈÊ ÇáÑÇÈØÉ ÇáÊæäÓíÉ              ááÏÝÇÚ Úä ÍÞæÞ ÇáÅäÓÇä, ÈÊãßíäåÇ ãä              ÒíÇÑÉ ÇáÓÌæä ÇáÊæäÓíÉ, ááÇØáÇÚ Úáì              ÇáÃæÖÇÚ ÇáÊí æÕÝÊåÇ ÈÇáãÊÏåæÑÉ,              ÇáÊí íÚÇäí ãäåÇ ÇáãÚÊÞáæä ÇáÓíÇÓíæä,              ãÓÊäßÑÉ ÊÌÇåá ÇáÓáØÇÊ ÇáÊæäÓíÉ              áÃæÖÇÚ ÇáÓÌæä, æáÃæÖÇÚ ÇáãÚÊÞáíä              ÇáÓíÇÓííä ÇáãÍÊÌÒíä ÝíåÇ ãäÐ äÍæ 11              ÚÇãÇð. æÞÇáÊ              ÇáÑÇÈØÉ, ÇáÊí ÊÚÊÈÑ ÃÞÏã ãäÙãÉ ÍÞæÞ              ÅäÓÇä ÚÑÈíÉ, ÅäåÇ « äÈåÊ ÇáÓáØÇÊ,              æáÇ ÊÒÇá, Åáì ÎØæÑÉ ÇáÃæÖÇÚ ÇáÓÌäíÉ,              æÖÑæÑÉ ãÚÇáÌÊåÇ ÈÕæÑÉ ãÓÊÚÌáÉ ». æØÇáÈÊ              Ýí ÈíÇä ÃÑÓáÊ äÓÎÉ ãäå Åáì æßÇáÉ « ÞÏÓ              ÈÑÓ »              ÈÜ »ÇÍÊÑÇã ÍÞæÞ ÇáÓÌäÇÁ, æÊØÈíÞ              ÇáãÚÇííÑ ÇáÏæáíÉ ÇáÎÇÕÉ ÈÇáÓÌæä »,              ÈÍÓÈ ãÇ ÌÇÁ Ýí ÇáÈíÇä. æÚÈÑÊ              ÇáãäÙãÉ Úä ÇäÔÛÇáåÇ áÍÇáÉ ÇáÕÍÝí              ÚÈÏ Çááå ÇáÒæÇÑí, ÇáÐí ÃÚíÏÊ ãÍÇßãÊå              íæã 23 ÂÈ (ÃÛÓØÓ) ÇáÌÇÑí, æÅÕÏÇÑ Íßã              ÈÇáÓÌä áãÏÉ 8 ÃÔåÑ ÖÏå. ææÕÝÊ ÇáÑÇÈØÉ              ÇáãÍÇßãÉ ÈÃäåÇ « ãÍÇßãÉ ÌÇÆÑÉ, áã              ÊÊæÝøÑ ÝíåÇ ÔÑæØ ÇáãÍÇßãÉ ÇáÚÇÏáÉ,              æÇäÊåß ÝíåÇ ÍÞø ÇáÏøÝÇÚ ». æÞÇá              ÇáÈíÇä Åä ÇáÕÍÝí ÇáÒæÇÑí, ÇáÐí ßÇä              ÞÏ ÃØáÞ ÓÑÇÍå Ýí ÇáÓÇÏÓ ãä ÍÒíÑÇä (íæäíæ)              2002, ÈÚÏ ÇÚÊÞÇá ÏÇã 11 ÚÇãÇ, æÃÚíÏ              ÇÚÊÞÇáå ÞÈá äÍæ ÃÓÈæÚíä, ÈÓÈÈ ÑÝÖå              ÇáÞÈæá ÈäÝíå Åáì ÞÑíÉ äÇÆíÉ Ýí              ÇáÌäæÈ ÇáÊæäÓí, ÞÏ ÏÎá Ýí ÅÖÑÇÈ              ãÝÊæÍ Úä ÇáØÚÇã, ãäÐ íæã 19 ÂÈ (ÃÛÓØÓ)              ÇáÌÇÑí. ææÕÝÊ ÇáãäÙãÉ ÞÑÇÑ æÒíÑ              ÇáÏÇÎáíÉ ÇáÊæäÓí ÈäÝí ÇáÕÍÝí              ÇáÒæÇÑí, ÈÃäå ÞÑÇÑ ÛíÑ ÞÇäæäí, æÞÇáÊ              Åäå « ÞÑÇÑ ÊÚÓÝí æãÎÇáÝ ááÞÇäæä ». æÃÏÇäÊ              ÇáÑÇÈØÉ « ÈÍÒã ÇáÇÚÊÏÇÁÇÊ              æÇáãÖÇíÞÇÊ, ÇáÊí ÊÚÑøÖ áåÇ ÚÏíÏ              ÇáãÍÇãíä æäÔØÇÁ ÇáãÌÊãÚ ÇáãÏäí              æäÔØÇÁ ÓíÇÓíøíä ». æÇÓÊäßÑÊ              ÇÓÊÏÚÇÁ ÇáãÍÇãí äæÑ ÇáÏøíä ÇáÈÍíÑí,              ÚÖæ ãÑßÒ ÇÓÊÞáÇá ÇáÞÖÇÁ æÇáãÍÇãÇÉ,              æÇÍÊÌÇÒ ÇáãÍÇãí ÚÈÏ ÇáÑøÄæÝ              ÇáÚíøÇÏí, ÚÖæ ÇáåíÆÉ ÇáæØäíøÉ              ááãÍÇãíä, æÇáßÇÊÈ ÇáÚÇã ááãÌáÓ              ÇáæØäí ááÍÑøíÇÊ, æ »Ðáß áãÓÇÁáÊåãÇ              ãä ÞÈá ãÕÇáÍ æÒÇÑÉ ÇáÏÇÎáíøÉ,              æãÍÇæáÉ ÅÑÛÇãåãÇ Úáì ÇáÇáÊÒÇã ÈÚÏã              « ÚÞÏ ÇÌÊãÇÚÇÊ », ÈÍÓÈ ÊÃßíÏ              ÇáÈíÇä. æÇÓÊäßÑÊ              ÇáÑÇÈØÉ ÃíÖÇ « ÊÚÑøÖ ãßÊÈ ÇáÃÓÊÇÐ              ãÍãÏ ÇáãÎÊÇÑ ÇáÌáÇáí ÇáãÍÇãí              æÇáäÇÆÈ ÇáãÚÇÑÖ Åáì ÇÚÊÏÇÁ ÈÇáÎáÚ,              æÇáÚÈË ÈãÍÊæíÇÊå æÈãáÝøÇÊå, Ïæä Ãä              ÊÞÚ ÓÑÞÉ ÃÔíÇÁ ÐÇÊ ÞíãÉ ãÇáíøÉ »ãäå,              ßãÇ ÃæÑÏ ÇáÈíÇä. æØÇáÈ              ÇáÑÇÈØÉ ÇáÓáØÉ ÇáÊæäÓíÉ « ÈÇáßÝø              Úä åÐå ÇáããÇÑÓÇÊ, ÇáÊí ÊÓÊåÏÝ äÔØÇÁ              ÇáãÌÊãÚ ÇáãÏäí, æÊåÏÝ áÊÞííÏ ÍÑßÊåã ».              æÏÚÊ ÇáÓáØÇÊ Åáì « ÇÍÊÑÇã ÇáÍÑøíÇÊ              ÇáÝÑÏíøÉ æÇáÚÇãÉ », æØÇáÈÊåÇ ÈÜ »ÇáÇÍÊÑÇã              ÇáÝÚáí ááÞæÇäíä ÇáæØäíøÉ æÇáãæÇËíÞ              ÇáÏæáíøÉ ÐÇÊ ÇáÕøáÉ, ÇáãÕÇÏÞ ÚáíåÇ              ãä ÇáÍßæãÉ ÇáÊæäÓíøÉ », æÏÚÊåÇ Åáì              « ÅÛáÇÞ ãáÝÇÊ ÇáÑøÃí, æÅØáÇÞ ÓÑÇÍ              ÌãíÚ ÇáãÓÇÌíä ÇáÓøíÇÓíøíä, æÓäø              ÞÇäæä ÇáÚÝæ ÇáÊøÔÑíÚí ÇáÚÇã ». ÇáÊÇÑíÎ: 2002-08-30 18:20:32 | 
|  Affaire  Hamma Hammami:                Suite  | 
| La Cour de cassation a examiné l’affaire de l’opposant Hamma Hammami                AFP, le 02.09.2002 à 10h48                                     TUNIS, 2 sept (AFP) – La Cour de cassation a examiné lundi                à  Tunis l’affaire de l’opposant tunisien Hamma Hammami et                de deux de  ses compagnons, actuellement emprisonnés,                a-t-on appris auprès de  leurs avocats.                                          L’audience a eu lieu à huis-clos en l’absence des avocats de                 Hamma Hammami et ses deux compagnons, Samir Tamallah et                Abdeljabar  Madouri et le verdict devrait être rendu                public dans la journée.                           Les                avocats ont vivement protesté contre le fait qu’ils                 n’avaient pu assister à l’audience, estimant qu’il y avait là                « une  violation flagrante des droits de la défense ».                           Hamma                Hammami, 50 ans, jugé essentiellement pour appartenance au                 Parti communiste des ouvriers de Tunisie (PCOT, interdit) avait                mis  fin à quatre ans de clandestinité pour contester une                condamnation à  neuf ans de prison ferme prononcée par défaut                à son encontre en  1999.                           Il avait                vu sa peine réduite en appel à trois ans et deux mois  de                prison ferme, le 30 mars dernier, à la suite d’un procès émaillé                 d’incidents, et ses avocats avaient aussitôt décidé de                pourvoir  l’affaire en cassation.                           Vendredi                30 août, l’épouse du détenu, Radia Nasraoui, a été                 autorisée à rendre une « visite spéciale » au                prisonnier, qu’elle a pu  rencontrer avec deux de ses                filles dans un bureau durant 35 minutes,  a-t-elle indiqué                à l’AFP.                           Radia                Nasraoui avait observé une grève de la faim du 26 juin au                 2 août pour réclamer la libération de son mari après avoir dénoncé                 ses mauvaises conditions de détention.                           Les                autorités tunisiennes avaient pour leur part indiqué le 27                 juillet dernier dans un communiqué qu’Hamma Hammami « ne                peut être  gracié avant l’épuisement des recours prévus                par la loi ».                           « La                grâce du condamné, si elle est requise, ne peut intervenir                 qu’après jugement définitif et épuisement des recours »,                en  l’occurrence après un arrêt de la Cour de cassation,                selon le  communiqué des autorités judicaires.                                   AFP               
  AFP, le 02.09.2002 à 12h48  L’opposant Hamma Hammami débouté en cassation
                                                   TUNIS,                  2 sept (AFP) – La justice tunisienne a rejeté lundi le                   pourvoi en cassation de l’opposant d’extrême gauche Hamma                  Hammami et  confirmé sa condamnation à trois ans et                  deux mois de prison ferme, a  annoncé à l’AFP son épouse,                  l’avocate Radia Nasraoui.                             Ce                  rejet concerne également Samir Tamallah et Abdeljabar                   Madouri, deux compagnons de M. Hammami jugés en même temps                  que lui  essentiellement pour appartenance au Parti                  Communiste des Ouvriers  de Tunisie (PCOT, interdit).                                              L’audience, qui n’a duré que quelques minutes, s’est déroulée                  à  huis-clos en l’absence des avocats de la défense qui                  ont protesté  contre « cette procédure irrégulière »                              Les                  avocats avaient auparavant fait savoir qu’il souhaitaient                   demander un report de la date de l’audience de la Cour de                   cassation.                             Me                  Nasraoui a néanmoins pu enregistrer une demande de report,                   qui a été finalement rejetée par la Cour.                             Le                  verdict, selon Me Nasraoui, est « une décision politique                  dans  la mesure où Hamma Hammami et ses compagnons                  restent en prison et  continuent d’être considérés                  comme des criminels et des  délinquants ».                                              L’examen par la Cour de cassation était le dernier recours                   judicaire possible en Tunisie pour M. Hammami et ses                  compagnons.                             Hamma                  Hammami, 50 ans, avait mis fin à quatre ans de                   clandestinité pour contester une condamnation à neuf ans de                  prison  ferme prononcée par défaut à son encontre en                  1999.                             Il                  avait vu sa peine réduite en appel à trois ans et deux mois                   de prison ferme, le 30 mars dernier, à la suite d’un procès                  émaillé  d’incidents, et ses avocats avaient aussitôt                  de pouvoir l’affaire en  cassation.                             Une                  représentante de l’Organisation mondiale contre la torture                   (OMCT), Christine Ferrier, et une autre                  d’Amnesty-International et  de la Fédération                  internationale des Droits de l’Homme (FIDH),  Brigitte                  Azema-Peyret, étaient présentes à Tunis mais n’ont pas pu                   entrer dans la Cour de cassation.                                       AFP                                   Associated Press, le 02.09.2002 à 16h21                 La Cour de cassation de Tunis rejette le recours de l’opposant Hamma Hammami                                     TUNIS (AP) — La Cour de cassation de Tunis a rejeté lundi le                  recours introduit par l’opposant tunisien Hamma Hammami et ses                  deux camarades Samir Taâmallah et Abdeljabbar Madouri                  actuellement en                   détention, confirmant ainsi le jugement prononcé en appel,                  a-t-on appris auprès de l’épouse d’Hamma Hammami, l’avocate                  Radhia Nasraoui.                   Condamnés par défaut en 1999 à neuf ans et trois mois de                  prison ferme pour divers délits liés à leur appartenance au                  Parti ouvrier communiste tunisien (POCT), les trois opposants                  avaient décidé en                   février dernier de sortir de la clandestinité dans laquelle                  ils vivaient depuis environ quatre ans, pour faire opposition                  à ce jugement.                   A la suite d’un procès émaillé d’incidents, la cour d’appel                  de Tunis avait allégé leur peine, en la ramenant à deux ans                  et trois mois d’emprisonnement. Madouri avait en outre écopé                  de deux ans de                   prison supplémentaires pour « propos blasphématoires et                  injurieux à l’endroit de la cour ».                   Me Nasraoui a déclaré à l’Associated Press « ne pas être                  surprise » par la décision de la Cour de cassation, déplorant                  le fait qu’une affaire pénale de ce type ait été examinée                  en période de vacances judiciaires. « Ca ne s’est jamais                  vu, c’est une première », s’est exclamée cette militante                  des droits de l’Homme. « Même les droits de la défense                  n’ont pas été respectés ».                   Selon plusieurs avocats de la défense, l’audience s’est déroulée                  de façon « expéditive » en leur absence.                   « Nous étions pourtant présents dans l’enceinte de la                  cour bien avant le début de l’audience. Quand nous nous                  sommes présentés au bureau du président de la chambre en                  charge du dossier, M. Chérif Chafféi, celui-ci nous a appris                  à notre grand étonnement que la cour avait déjà examiné                  l’affaire », a expliqué l’avocat Anouar Kousri.                   Le bâtonnier des avocats tunisiens Béchir Essid a protesté                  contre cette procédure qu’il a qualifiée « d’irrégulière ».                   Dans un communiqué transmis à l’AP, le bâtonnier considère                  qu’il s’agit là d’une « violation flagrante des droits de                  la défense et d’une négation de son rôle ». Pour Me                  Essid, de telles pratiques « portent gravement atteinte au                  droit du justiciable à un jugement équitable ».                   Un service d’ordre renforcé a été déployé lundi pour la                  circonstance autour du palais de justice, mais aucun incident                  n’a été enregistré. Deux observatrices, Brigitte Azéma-Peyret,                  de la Fédération internationale des droits de l’Homme (FIDH)                  et d’Amnesty International/section française, et Christine                  Ferrier, de l’Organisation mondiale contre la torture (OMCT),                  ont fait le déplacement à Tunis à l’occasion de ce procès.                   Associated Press                  CISPPT  La confirmation de la sentence de Mr Hamma Hammami est une confirmation de l’absence: de l’etat de droits et des liberte’s d’expression  Le CISPPT exprime son                    indignation aux injustes sentences a’ l’egard du                    prisonier d’opinion Mr Hamma Hammami, journaliste et                    president du Parti Comministe des Travailleurs (POCT)                    et a’ ses deux collegues Mr Abdessattar Maddouri et Mr Samir                    Taamallah.   Mr Hammami a eu la confirmation                    de le sa condamnation de trois ans et deux mois a’ la cour                    de cassation a’ Tunis le 02 septembre 2002.   Le CISPPT appelle a’ la                    liberation immediate de Mr Hamma Hammami et de ses deux                    collegues, et que l’emprisonnement des journalistes ( Mr                    Hamadi Jebali et Mr Abdallah Zouari ) demontre                    l’absence des liberte’s d’expression et que le regime en                    exercice n’est qu’un regime autoritaire et n’ayant aucun                    respect aux droits de l’homme ou a’ la democratie. Et qu’une                    fois de plus le corps des magistrats a demontre’ qu’il                    souffre de l’absence de l’independance tre’s essentielle a’                    un etat de droits.   Le COORDINATEUR DU CISPPT   Sayyid                    Ferjani   Reporters                  sans frontères   2.09.2002   La Cour de cassation confirme la peine de trois ans et deux mois de prison de Hamma Hammami Le 2 septembre 2002, la Cour de cassation de Tunis a confirmé la condamnation à trois ans et deux mois de prison de Hamma Hammami (voir photo), leader du parti communiste ouvrier tunisien (PCOT) et directeur de publication du journal El Badil. 
 C’est à huis clos et en l’espace de quelques minutes que la Cour de cassation a rejeté, le 2 septembre, le pourvoi en cassation de Hamma Hammami et confirmé sa condamnation à trois ans et deux mois de prison. Les avocats de l’opposant ainsi que deux observateurs internationaux n’ont pas été autorisés à assister à l’audience. Le 2 février 2002, à l’issue d’un procès ponctué de graves violations des droits de la défense, le tribunal de première instance de Tunis avait condamné Hamma Hammami et ses deux camarades, Abdeljabar Madouri et Samir Taamallah, à neuf ans de prison. Ils étaient sortis le jour même de quatre années de clandestinité. Le 30 mars, en appel, Hamma Hammami avait été condamné à trois ans et deux mois de prison. Abdeljabar Madouri et Samir Taamallah, s’étaient vu respectivement infliger des peines de trois ans et neuf mois et un an et neuf mois d’emprisonnement. Ils avaient été reconnus coupables de plusieurs chefs d’inculpation liés à leur appartenance au PCOT : appartenance et maintien d’une association illégale, distribution de tracts, diffusion de fausses nouvelles, tenue de réunions illégales, incitation à la rébellion et violation des lois.  Une ONG française                  propose 
 FAX URGENT au président TUNISIEN                                     L’ATGDH, association troisième generation des Droits de                  l’Homme a envoyé le 30/08/02 un FAX en texte arabe au président                  tunisien dont elle rappelle les autorités tunisiennes de                  respecter les DH et leurs libertés fondamentales.                   L’ATGDH demande de nouveau aux autorités tunisiennes:                   – la liberation immediate et inconditionnelle de HAMMA HAMMAMI                  et SES CAMARADES ainsi qu à tous les prisonniers d opinion et                  une amnistie generale en Tunisie                    – elle propose aux fondateurs de l’institut arabe des                  Droits de l’Homme (IADH) (la ligue tunisienne des DH:LTDH,                  l’organisation arabe des DH:OADH et l’union des avocats                  arabes: UAA) ainsi que les DDH d’être prés à retirer le                  siége de L’IADH de la capitale tunisienne vers un endroit                  qui connait moins de violations des Droits de l’Homme                  « dans le monde arabe » dans le cas ou les autorités                  tunisiennes continuent le dèfi et le non respect des appels                  des ong et ddh.                   A. kikich                    (Source :  Liste Maghreb des Droits                  de l’Homme)  | 
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| Associated Press, le 30.08.2002 à 19h29 
 Tunisie: un « record » de 237 candidats à l’immigration clandestine arrêtésTUNIS (AP) — Les garde-côtes tunisiens ont opéré en début de semaine un grand coup de filet en arrêtant 237 candidats à l’immigration clandestine vers l’Europe, rapporte vendredi le journal « Achourouk » (L’Aurore). Selon le quotidien, ce nombre constitue « un record » en la matière. Depuis plusieurs mois, les tentatives d’embarquement illégal vers les rives européennes, et particulièrement italiennes, sont devenues fréquentes. Toutefois, le nombre des candidats à l’exil dépassait rarement la centaine. D’après un témoin oculaire cité par le journal, des vedettes rapides et des hélicoptères ont été déployés pour maîtriser l’embarcation, un « grand bateau de pêche », qui devait transporter les clandestins. Outre ces derniers qui ont dû débourser l’équivalent de 460 à 610 euros pour faire le voyage, les services de sécurité ont arrêté les « organisateurs du voyage » et les membres de l’équipage. Le quotidien ne précise pas cependant la ou les nationalités des candidats à l’exil, notant que dans la matinée de jeudi, « un grand nombre de personnes, notamment des mères étaient venues demander des nouvelles de leurs enfants ». Lors de précédentes tentatives avortées, de nombreuses personnes arrêtées étaient originaires de pays du Maghreb, d’Afrique subsaharienne, voire d’Asie. Associated Press 
 
 AFP, le 30.08.2002 à 15h27 
 
 Vaste              tentative d’immigration clandestine vers l’Italie: 237              arrestationsTUNIS, 30 août (AFP) – Les agents de la Garde nationale tunisienne ont fait échouer la plus grande tentative d’immigration clandestine vers l’Italie au départ de la Tunisie et procédé à 237 arrestations, rapporte vendredi le journal Echourouk de Tunis.                        Les candidats à l’immigration clandestine -dont la              nationalité  n’est              pas précisée- s’étaient regroupés sur plusieurs plages proches               de la capitale,                 avant d’embarquer par petits groupes sur un grand               bateau de pêche.                         Intercepté non loin des côtes tunisiennes par les agents              de la  Garde              nationale, le bateau a été ramené à quai où le capitaine du               navire, les passeurs et des dizaines de clandestins ont été              arrêtés,  a ajouté              le journal.                         La police tunisienne a ouvert une enquête pour identifier              le  réseau              d’instigateurs de cette tentative d’immigration clandestine               réunissant un nombre record de personnes, qui ont indiqué              avoir  déboursé              jusqu’à 800 dinars (environ 600 Euros) pour obtenir le               billet de départ vers l’Italie.                         La Garde nationale tunisienne fait fréquemment échec à              des  tentatives              d’immigration clandestine vers l’Italie, procédant à               l’arrestation des candidats au voyage, originaires du              Maghreb et  d’Afrique              subsaharienne, et de leurs passeurs.    AFP Arrestation                de 45 Tunisiens avant leur départ clandestin pour l’Italie 
 AFP, le 27.08.2002 à 08h49  TUNIS,              27 août (AFP) – Quarante-cinq Tunisiens qui s’apprêtaient               à se rendre clandestinement par bateau en Italie ont été              arrêtés par  des              agents de la Garde nationale à Jebeniana (sud de Tunis),               rapporte mardi le journal Le Temps.                         Surveillant les plages de la région, les agents nationaux              ont  aperçu de              nombreux jeunes gens venus par bus ou voitures de louage,               qui convergeaient tous vers une ferme agricole où ils se              sont  regroupés,              guettant, selon toute vraisemblance, leur passeur.                         La Garde nationale a aussitôt encerclé la ferme et arrêté              ses  occupants qui,              interrogés, ont indiqué que le prix de la traversée               avait été fixé par le passeur à 800 dinars (environ 650              Euros),  payables à              l’embarquement.                         La garde nationale tunisienne fait fréquemment échec à              des  tentatives              d’immigration clandestine vers l’Italie, procédant à               l’arrestation des candidats au voyage, originaires du              Maghreb mais  aussi              d’Afrique subsaharienne, et de leurs passeurs.                         En juillet, cinq passeurs ont été condamnés à six ans              de prison  ferme pour              tentative de passage d’immigrés clandestins vers               l’Italie, au cours duquel onze d’entre eux s’étaient noyés.                                       Sur ces cinq condamnations, l’une avait été prononcée              par  contumace, à              l’encontre d’une personne en fuite, considérée comme le               principal instigateur de l’opération.                 AFP 
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| ÚãíÏ ÇáãÍÇãíä ÇáÊæäÓííä: ÖÑÈ ÇáÚÑÇÞ ÌÒÁ ãä ÎØÉ ÃãíÑßÇ áÅÚÇÏÉ ÊÔßíá ÇáÚÇáã | 
| ÊæäÓ: ãÍãÏ Úáí ÇáÞáíÈí ÃßÏ ÚãíÏ ÇáãÍÇãíä ÇáÊæäÓííä ÇáÈÔíÑ ÇáÕíÏ Çä ÇáÊåÏíÏÇÊ ÇáÃãíÑßíÉ ÈÖÑÈ ÇáÚÑÇÞ ÊäÏÑÌ Öãä ÎØÉ æÖÚÊåÇ ÇÏÇÑÉ ÇáÑÆíÓ ÇáÇãíÑßí ÌæÑÌ ÈæÔ áÇÚÇÏÉ ÕíÇÛÉ æÊÔßíá ÇáÚÇáã ãä ÌÏíÏ ÊÍÊ áæÇÁ ÇáÚæáãÉ. æÞÇá ÚãíÏ ÇáãÍÇãíä ÇáÊæäÓííä Ýí ÍÏíË áÜ«ÇáÔÑÞ ÇáÃæÓØ» Çä ÇáÑÆíÓ ÈæÔ ãÕãã Úáì ÖÑÈ ÇáÚÑÇÞ áíÖÚ ÇáÚÇáã ÊÍÊ åíãäÉ ÇáæáÇíÇÊ ÇáãÊÍÏÉ ÇáÇãíÑßíÉ æÝÑÖ ÓíÇÓÊåÇ æÇÓÊÚÈÇÏ ÇáÔÚæÈ æÇÓÊÛáÇá ËÑæÇÊåÇ ÚãáÇ ÈÞÇÚÏÉ ÓíÇÓÉ ÇáÇÏÇÑÉ ÇáÇãíÑßíÉ «ÝáíãÊ ÇáÚÇáã æÊÍíÇ ÇãíÑßÇ». æÃÔÇÑ ÇáÈÔíÑ ÇáÕíÏ Çáì Çä åäÇß ÇáÚÏíÏ ãä ÇáÏæá ÇáÃÌäÈíÉ ãËá ÑæÓíÇ æÇáãÇäíÇ æÝÑäÓÇ ÈÇáÇÖÇÝÉ Çáì ÈÚÖ ÇáäæÇÈ Ýí ÇáßæäÛÑÓ ÇáÇãíÑßí íÚÇÑÖæä ÖÑÈ ÇáÚÑÇÞ æßÐáß ÇáÚÏíÏ ãä ÇáÏæá ÇáÚÑÈíÉ ãËá ÇáããáßÉ ÇáÚÑÈíÉ ÇáÓÚæÏíÉ æÓæÑíÉ æãÕÑ ÊÑÝÖ åí ÇáÃÎÑì ÖÑÈ ÇáÚÑÇÞ æåæ ãÇ ÇÚÊÈÑå ãÄÔÑÇ ÇíÌÇÈíÇ. æØÇáÈ ÇáÈÔíÑ ÇáÕíÏ ÇáÏæá ÇáÚÑÈíÉ ÈÃä ÊØæÑ ãæÇÞÝåÇ ÇáÑÇÝÖÉ áÖÑÈ ÇáÚÑÇÞ ÈÇÊÎÇÐ ãæÇÞÝ ÝÚáíÉ ÊÍæá Ïæä ÖÑÈ ÇáÚÑÇÞ æÇäå Úáì ÇíÑÇä ßÐáß Çä ÊæÖÍ ãæÇÞÝåÇ ÊÌÇå ÇáÓíÇÓÉ ÇáÇãíÑßíÉ Ýí ÇáãäØÞÉ æÃáÇ ÊÞÝ Úáì «ÇáÍíÇÏ Èá ÊÞÝ ÖÏ ÖÑÈ ÇáÚÑÇÞ». æÔÏÏ ÇáÈÔíÑ ÇáÕíÏ Úáì ÖÑæÑÉ Çä ÊÞæã ÇáÍßæãÇÊ ÇáÚÑÈíÉ ÈÑÝÚ ÇáÍÕÇÑ ÇáãÝÑæÖ Úáì ÇáÚÑÇÞ Úáì ÛÑÇÑ ãÇ ÝÚáÊå ÇáÍßæãÇÊ ÇáÇÝÑíÞíÉ ÇáÊí ßÓÑÊ ÇáÍÕÇÑ ÇáãÝÑæÖ Úáì áíÈíÇ ÈÓÈÈ ÞÖíÉ áæßÑÈí. (äÞáÇ Úä ÕÍíÝÉ ÇáÔÑÞ ÇáÃæÓØ ÇáÕÇÏÑÉ íæã 31 ÃæÊ 2002 ) 
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|  FLASH INFOS  | 
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 ãÓÇÈÞÉ ÕÍÝíÉ Úä ÇáÝÊÇÉ ÇáÚÑÈíÉ ÇáãÑÇåÞÉÞÑÑ                ãÑßÒ ÇáãÑÃÉ ÇáÚÑÈíÉ ááÊÏÑíÈ                æÇáÈÍæË æãÞÑå ÊæäÓ Çä íßæä ãæÖæÚ                ãÓÇÈÞÊå ÇáÑÇÈÚÉ ãÎÕÕÉ ááÕÍÝííä                ÇáÚÑÈ Íæá ãæÖæÚ «ÇáÝÊÇÉ ÇáÚÑÈíÉ                ÇáãÑÇåÞÉ ãä ãäÙæÑ ÇáÇÚáÇãííä                ÇáÚÑÈ».  æÇÔÊÑØ                ÇáãÑßÒ Çä íßæä ßÇÊÈ Çæ ßÇÊÈÉ ÇáãÞÇá                ãä ÇáÚÇãáíä Ýì ÇáÕÍÇÝÉ ÇáãßÊæÈÉ                æÇä íÕÇÛ ÇáãÞÇá Ýì Ôßá ÊÍÞíÞ Çæ                ÑíÈæÑÊÇÌ Çæ ãÞÇá ÑÃì Çæ ãÞÇá ÊÍáíáì                æÇä íÓÇåã ÇáãÔÊÑß ÈÚãá ÕÍÝì æÇä                íßÊÈ ÈÇááÛÉ ÇáÚÑÈíÉ Çæ ÇáÝÑäÓíÉ Çæ                ÇáÇäÌáíÒíÉ æíßæä ÞÏ äÔÑ Ýì Çì ÕÍíÝÉ                Çæ ãÌáÉ æÇä íÊÑÇæÍ ÍÌã ÇáãÞÇá Èíä                1000 Çáì 1500 ßáãÉ.  æÇÔÊÑØ                ÇáãÑßÒ Çä ÊÑÓá ÇáãÔÇÑßÇÊ ÞÈá íæã 5                íäÇíÑ 2003 æÓæÝ íÊã ÇáÇÚáÇä Úä                ÇáäÊÇÆÌ íæã 8 ÝÈÑÇíÑ 2003.  æÑÕÏÊ                Ýì åÐå ÇáãÓÇÈÞÉ ÌÇÆÒÉ Çæáì ÈÜ 2000                ÏæáÇÑ æËÇäíÉ ÈÜ 1500 ÏæáÇÑ æËÇáËÉ ÈÜ                1000 ÏæáÇÑ. Ü æÇã  (ÇáãÕÏÑ: ÕÍíÝÉ ÇáÈíÇä ÇáÅãÇÑÇÊíÉ ÇáÕÇÏÑÉ íæã 2 ÓÈÊãÈÑ 2002) 
 ÇäÎÝÇÖ ÍÇÏ Ýí ÃÑÈÇÍ Èäß ÊæäÓ æÇáÅãÇÑÇÊÊæäÓ              Ü ÑæíÊÑÒ: ÇÙåÑÊ ÈíÇäÇÊ ÕÏÑÊ ÇãÓ Çä              ÇáÇÑÈÇÍ ÇáÕÇÝíÉ áÈäß ÊæäÓ æÇáÇãÇÑÇÊ              ááÇÓÊËãÇÑ ÇäÎÝÖÊ ÇßËÑ ãä 300 Ýí              ÇáãÇÆÉ Çáì 12000 ÏíäÇÑ (8778 ÏæáÇÑÇ) Ýí              ÇáäÕÝ ÇáÇæá ãä ÚÇã 2002 ÈÇáãÞÇÑäÉ              ÈÇáÝÊÑÉ äÝÓåÇ ãä ÇáÚÇã ÇáÓÇÈÞ ãÚ              ÇÑÊÝÇÚ ãÎÕÕÇÊ ÇáÞÑæÖ ÇáãÊÚËÑÉ áÇßËÑ              ãä ÎãÓÉ ÇãËÇáåÇ.               æÈáÛÊ ÇÑÈÇÍ ÇáÈäß 4.07 ãáíæä ÏíäÇÑ Ýí              ÇáÝÊÑÉ ãä íäÇíÑ (ßÇäæä ÇáËÇäí) Çáì              íæäíæ (ÍÒíÑÇä) ãä ÚÇã .2001 æÇÑÊÝÚÊ              ãÎÕÕÇÊ ÇáÞÑæÖ ÇáãÊÚËÑÉ Çáì 3.84 ãáíæä              ÏíäÇÑ Ýí ÇáäÕÝ ÇáÇæá ãä åÐÇ ÇáÚÇã              ÈÇáãÞÇÑäÉ ãÚ 616 ÇáÝ ÏíäÇÑ Ýí ÇáÝÊÑÉ              äÝÓåÇ ãä ÇáÚÇã ÇáãÇÖí. ÇÑÊÝÚ ÇÌãÇáí              ÇáÚÇÆÏÇÊ Çáì 8.01 ãáíæä ÏíäÇÑ ãä 7.17              ãáíæä ÏíäÇÑ Ýí ÇáÝÊÑÉ äÝÓåÇ ãä ÇáÚÇã              ÇáãÇÖí.               æÊãáß ÓáØÉ ÇÓÊËãÇÑ ÇÈæÙÈí æÇáÍßæãÉ              ÇáÊæäÓíÉ ÍÕÉ ÇÛáÈíÉ ÞÏÑåÇ äÍæ 77 Ýí              ÇáãÇÆÉ ãä ÇÓåã ÇáÈäß Ýí Ííä íãáß              ÇáÞØÇÚ ÇáÎÇÕ ÈÞíÉ ÇáÇÓåã.               æÈáÛ ÓÚÑ Óåã ÇáÈäß ÇáãÓÌá Ýí ÇáÈæÑÕÉ              ÇáÊæäÓíÉ 18.2 ÏíäÇÑ Ýí ÇÍÏË ÊÏÇæá Úáíå. (äÞáÇ Úä ÕÍíÝÉ ÇáÔÑÞ ÇáÃæÓØ ÇáÕÇÏÑÉ íæã 31 ÃæÊ 2002 ) 
 Visas pour les USA : Plus de délais lors du traitement des demandes                                 Les demandeurs de visas à destination des USA doivent allonger                la période entre le dépôt de la demande et la date du voyage                afin de permettre au service consulaire de procéder aux vérifications.                L’ambassade a indiqué dans un communiqué que depuis les évènements                du 11 septembre les demandes de visa subissent plus que jamais                un examen détaillé.                 (Assabah du 31 aout 2002, d’après le                portail Babelweb)  
  Le                retour de la droite donne lieu à un vaste remaniement                diplomatique   AFP, le 29.08.2002 à 15h24     PARIS, 29 août (AFP) – Un vaste remaniement                  diplomatique, tant à  l’étranger                  qu’à Paris est en cours depuis plusieurs semaines, à la                   faveur de la victoire de la droite aux élections présidentielle                  et  législatives,                  qui a mis fin à cinq ans de gouvernement de gauche.                             Depuis l’été une trentaine d’ambassadeurs et de                  conseillers  diplomatiques                  ont été désignés ou devraient l’être prochainement,                   a-t-on confirmé jeudi de sources diplomatiques à                  Paris où se tient  depuis                  mardi une conférence des ambassadeurs de France.                             Dernier en date, l’actuel ambassadeur de France en                  Suisse,  Michel de                  Bonnecorse (62 ans), a été choisi pour diriger la cellule                   africaine de la présidence française, en remplacement                  de Michel  Dupuch.                                              Ambassadeur pendant sept ans à Rabat, M. de Bonnecorse                  –qui a  également                  été ambassadeur à Nairobi –partage la même passion pour  l’Afrique                  que l’actuel chef de la diplomatie française Dominique de                   Villepin.                             Toujours à l’Elysée, Maurice Gourdault Montagne                  (ambassadeur à  Tokyo)                  doit remplacer Jean-Marc Rochereau de la Sablière en tant que                   « sherpa » et conseiller diplomatique à la présidence.                                              Parmi les grandes ambassades qui changent de titulaire:                   Jean-David Levitte, représentant permanent de la                  France au Conseil  de                  sécurité de l’ONU doit prendre ses fonctions d’ambassadeur                  à  Washington.                  Olivier Schrameck, ancien directeur de cabinet de                   l’ex-Premier ministre socialiste Lionel Jospin, est lui                  attendu à  Madrid.                                              Gérard Errera, qui était directeur des affaires                  politiques au  quai                  d’Orsay (où il est remplacé par Stanislas de Laboulaye                   jusque-là en poste à Madagascar) doit être nommé à                  Londres. De son  côté,                  Daniel Bernard quitte Londres pour Alger.                             Ex-directeur de cabinet d’Hubert Védrine, prédécesseur                  de M. de  Villepin,                  Pierre Sellal a déjà rejoint son poste à Bruxelles à la                   tête de la représentation permanente de la France                  auprès de l’Union  européenne                  (UE). Il a été remplacé à Paris par Pierre Vimont dans le                   cadre d’un échange de postes puisqu’il occupait jusqu’à                  son retour à  Paris                  les fonctions de Représentant permanent de la France auprès                  de  l’UE.                             Actuellement ambassadeur à New Delhi, Bernard de                  Montferrand  doit                  partir à Tokyo.                             Au quai d’Orsay, Hubert Colin de Verdière (ancien                  ambassadeur à  Moscou                  notamment) devient secrétaire général du ministère, à la                   place de Loïc Hennequine qui doit partir comme                  ambassadeur à Rome.                             Les directions politiques du ministère changent aussi                  de  titulaires:                  Bernard Emié (44 ans), ambassadeur à Amman, prend la                   direction de l’Afrique du nord – Moyen Orient, en                  remplacement  d’Yves                  Aubin de la Messuzière appelé à Tunis.                  Thierry Dana prend la  direction                  Asie, et Pierre Menat la direction Europe.                             Ancien chef de la Direction générale de la sécurité                  extérieure  (DGSE)                  et fin connaisseur du monde arabe et du Moyen-Orient,                   Jean-Claude Cousseran doit être nommé au Caire.  AFP | 
|  Affaire du Suédois                d’origine tunisienne soupçonné d’avoir voulu détourner un                avion :Suite  | ||||||||
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 Swedish prosecutor says suspect planned hijack                Reuters, le 02.09.2002 à 14h28                                                By Elinor Schang                                             VASTERAS,                Sweden, Sept 2 (Reuters) – A Swedish man of Tunisian origin                caught boarding a plane with a gun in his hand luggage planned                to hijack the aircraft, police and prosecutors said on Monday.                                          Intelligence sources have said the suspect planned to hijack the                London-bound Ryanair plane on Thursday and crash it into a U.S.                embassy in Europe, but this was denied by a top security police                official.                                          « This is a very, very serious crime and very unusual in                Sweden, » police spokesman Ulf Palm told reporters.                « Off hand, I can’t think of a similar incident in                Sweden. »                           Swedish                prosecutors, who want the court to remand Swedish citizen Kerim                Sadok Chatty in custody while they pursue their investigation,                said he was accused of « planning a hijack »,                « aviation sabotage », weapons offences and                « serious crime ».                           Adding                the words « serious crime » to the prosecutor’s request                to detain Chatty showed new evidence had emerged since he was                seized, just days before the first anniversary of the September                11 attacks on the United States, Palm said.                           Palm said                there were no other suspects.                           Chatty                could face up to life imprisonment if found guilty of attempted                hijacking.                           Sweden                has had its share of attacks by extremist groups in the past,                including the 1975 attack on the West German embassy, the                hijacking of an SAS plane in Sweden in 1972, and the hijackings                of four other planes to Sweden since then. The 1986 murder of                Prime Minister Olof Palme has never been cleared up.                                                     DENIES                HIJACKING PLAN                           Chatty’s                lawyer said his client admitted possessing a gun but denied any                involvement in terrorism or hijacking.                           « I                don’t know what they have as the basis for this, » Nils                Uggla told Reuters, commenting on the charges. « My client                will deny this. He is denying everything except the weapons                crime. »                           But Uggla                complained that police and prosecutors were not giving him                details of what exactly Chatty is suspected of.                                          « This is the first time in 20 years as a lawyer that I have                not received any information, » he said.                           Chatty                was held as he was boarding the Ryanair flight from Vasteras, a                small town near Stockholm, to London when a routine luggage                check found a gun in his toilet bag.                           The court                in Vasteras, 100 km (60 miles) west of Stockholm, which is                better known as the Swedish headquarters of Swiss-Swedish                electrical engineering group ABB, will hear the prosecution                request at 4 p.m. (1400 GMT).                           It is                expected to decide whether to hold Chatty by late afternoon. A                news conference is expected in the early evening.                           The                town’s police headquarters and court have been besieged by                reporters and television crews from all over the world,                reflecting the intense media interest generated by the case.                           The case                is being handled by Sweden’s International Prosecutors Office,                and the government briefed opposition parties on it on Saturday,                reflecting the gravity of the case.                           The                submission to the court from Chief Prosecutor Thomas Haggstrom                said prosecutors wanted Chatty detained because there was a risk                he would try to evade justice, destroy evidence and                 continue his criminal activities.                           The                prosecutor’s document was read out to journalists in a Vasteras                court building and a copy was obtained by Reuters.                           The court                must announce its decision by midnight (2200 GMT) and formal                charges will follow later if a case is made.                           However,                Margareta Linderoth, in charge of counter-terrorism at Sweden’s                Sapo security police, said Chatty was known to have taken flying                lessons in the United States, although he failed to complete his                course.                           Several                of the hijackers suspected of carrying out the September 11                attacks learned to fly at U.S. aviation schools.                           A Sapo                source who echoed the allegations of a plan to crash a plane                into a U.S. embassy, told Reuters this suspicion was partly                based on information on Chatty received from other countries’                security services.                           Western                governments are tightening security ahead of the anniversary of                the September 11 attacks, blamed by the United States on Osama                bin Laden’s al Qaeda network.                           One Sapo                source said the government had instructed the agency to play                down the incident, which comes at a delicate time for Sweden,                two weeks before an election on September 15.                                          « It’s a very sensitive situation obviously…All the                parties want to keep a lid on it, in every respect, » said                Bo Bjurulf, professor of political science at Lund University.                « They don’t want the focus on this in the election.  »                           In the                United States, an FBI agent visited the flying school in South                Carolina where Chatty took lessons from 1996 to 1997.                                                     AL QAEDA                LINKS UNLIKELY                           Sapo                sources told Reuters agents from British secret services the                U.S. CIA intelligence agency were helping with the probe.                Linderoth denied this too, but Palm said police were working                with foreign authorities.                           Swedish                investigators did not believe Chatty or any possible accomplices                were connected to al Qaeda, the sources said. Instead they                believe a copycat attack was being planned.                           Chatty                has a series of previous convictions for theft, assault and                petty offences, including an attack on a U.S. embassy Marine                guard in Stockholm in 1999.                           But                Swedish papers quoted Chatty’s friends as saying he had                discovered religion recently and studied Islam, visiting Saudi                Arabia.                           Police                sources said this had brought him to the attention of Sapo, who                questioned him after September 11.                           The                handling of the case is a boost to the reputation of Swedish                police, who have been subjected to ridicule for their failure to                solve the Palme case and other security lapses.                                    REUTERS                Détournement- La police parle d’un crime sans précédent en Suède                                  REUTERS, le 02.09.2002 à 13h23                                                    VASTERAS, Suède, 2 septembre (Reuters) – Les                éléments à charge réunis contre un Suédois d’origine                tunisienne arrêté en Suède pour avoir tenté de détourner un                avion lèvent le voile sur un crime d’une gravité sans précédent                dans ce pays, a annoncé lundi la police suédoise.                           « Il                s’agit d’un crime très, très grave et très inhabituel en Suède »,                a déclaré le porte-parole de la police, Ulf Palm, sans donner                plus de précisions. « A première vue, je n’ai pas souvenir                d’un incident similaire en Suède. »                           Kerim                Sadok Chatty, un Suédois de 29 ans, a été arrêté jeudi à                Vasteras, à l’ouest de Stockholm, alors qu’il s’apprêtait à                monter dans un avion pour Londres avec un revolver dans son                bagage à main.                           Le                procureur suédois Thomas Haggerston a demandé lundi un                maintien en détention du suspect jusqu’à ce que la justice ait                finalisé les chefs d’inculpation susceptibles d’être retenus                contre lui.                           Dans sa                requête, le procureur a expliqué que Chatty était accusé                d’un « crime grave » ainsi que d’avoir tenté de détourner                un avion, entre autres.                           Palm a                expliqué que l’ajout de la mention « crime grave » à                la liste des accusations signifiait que de nouveaux éléments                à charge avaient révélé que l’affaire était plus sérieuse                que la justice ne l’avait pensé initialement.                                   REUTERS                L’accusation demande l’incarcération du pirate de l’air présumé                AFP, le 02.09.2002 à 11h00                                                               VAESTERAAS (Suède), 2 sept (AFP) – Un Suédois arrêté la                semaine  dernière à l’aéroport de Vaesteraas (est) en                possession d’un  pistolet alors qu’il s’apprêtait à                embarquer sur un vol à  destination de Londres a été                officiellement accusé lundi d’avoir  voulu détourner                l’avion, a-t-on indiqué de source judiciaire.                           Le                procureur Thomas Haeggstroem a déposé son dossier                 d’accusation lundi matin devant le tribunal de Vaesteraas (120                km au  nord-ouest de Stockholm).                           Il a                demandé l’incarcération de Kerim Chatty, 29 ans, pour                 « préparation de détournement d’avion, de sabotage de                trafic aérien  ou de sabotage d’aéroport ».                                          Accessoirement, l’accusation a demandé sa mise sous écrou pour                 « infraction à la législation sur les armes ».                           Le                tribunal devait statuer dans la journée et sa décision rendue                 publique vers 13H00 GMT.                           Si le                tribunal accède à la demande du procureur, celui-ci                 dispose de deux semaines pour inculper le suspect, faute de quoi                il  sera relâché.                           Kerim                Chatty, né en Suède de père tunisien et de mère suédoise,                 avait été interpellé avec un pistolet chargé jeudi dernier                par les  services de sécurité de l’aéroport de                Vaesteraas.                           Il allait                embarquer sur un vol de la compagnie Ryanair à                 destination de Birmingham (Grande-Bretagne), via l’aéroport de                 Stansted (Essex, est de l’Angleterre). Il devait se rendre à un                 congrès islamique salafiste à Birmingham.                           L’identité                du suspect a été confirmée lundi matin à l’AFP par le                 tribunal.                           Kerim                Chatty a été condamné à plusieurs reprises pour des délits                 mineurs et des violences sur un Marine en poste à l’ambassade                des  Etats-Unis à Stockholm.                           Selon son                avocat, Nils Uggla, le suspect lui aurait dit ne                 « jamais avoir eu l’intention de détourner l’avion ».                           L’avocat                a par ailleurs affirmé dimanche à l’AFP que la police  ne                lui avait pas fourni les « preuves concrètes ou une                information  précise » sur les charges retenues contre                son client.                           La sûreté                suédoise (Saekerhets Polisen) a démenti avoir eu des                 informations selon lesquelles Kerim Chatty avait eu l’intention                de  faire écraser l’avion sur une ambassade américaine en                Europe.                           Elle a en                revanche confirmé que le suspect avait suivi des cours  de                pilotage aux Etats-Unis à la fin des années 1990 sans achever                sa  formation. Une information également confirmée de                source  américaine.                                          « Oui, il a bien été inscrit en septembre 1996 ici, mais                nous  avons mis fin à ses cours au début de 1997 en                raison de son  incompétence », a déclaré à l’AFP                Jay Lamb, chef pilote adjoint de  l’école North American                Institute of Aviation, à Conway (Caroline du  Sud), joint                par téléphone.                           Les                principaux membres des commandos suicide auteurs des                 attentats du 11 septembre aux Etats-Unis avaient suivi une                formation  poussée de pilotage dans des écoles d’aviation                aux Etats-Unis, entre  1999 et 2001.                           Scotland                Yard a confirmé que les forces de sécurité britanniques                 étaient impliquées dans l’enquête.                           Une                source proche du dossier au sein de la sûreté suédoise avait                 écarté vendredi la thèse d’un lien avec un réseau                terroriste,  privilégiant la piste d’un acte isolé.                                          « Nous ne voyons rien qui suggère qu’il soit lié à une                 organisation (…), au contraire beaucoup de choses portent à                croire  qu’il s’agit d’une personne mentalement dérangée »,                avait déclaré ce  fonctionnaire de la « Saepo »                sous couvert d’anonymat.                                   AFP               
  ÃÈÏì á ( ÇáÍíÇÉ                ) ËÞÊå ÈÃä ÊåãÉ ÇáÊÎØíØ áÎØÝ                ÇáØÇÆÑÉ ÓÊÓÞØ Úä ÇáÔØí                 
 ãÍÇãí ÇáÊæäÓí ÇáãÚÊÞá Ýí ÇáÓæíÏ : ãæßáí ÃÚØì ãÈÑÑðÇ ãÞäÚðÇ áÍãáå ãÓÏÓðÇ ÈÞáã:              ÞÇÓã ÍãÇÏí ÃßÏ ÇáãÍÇãí ÇáÓæíÏí äíáÓ ÃæÛáÇ Çáãæßá ááÏÝÇÚ Úä ÇáÊæäÓí ÇáÇÕá ßÑíã ÔØí ÇáãÊåã ÈÇáÊÎØíØ áÎØÝ ØÇÆÑÉ (ÑÇíÇäíÑ) Ýí ÑÍáÊåÇ ÇáÎãíÓ ÇáãÇÖí ãä ãÏíäÉ ÝÓÊÑæÓ ÇáÓæíÏíÉ Åáì áäÏä, Ãä ãæßáå (ÃÞÑ ÈÃä ÇáãÓÏÓ ÇáÐí æÌÏ Ýí ÔäØÊå ÊÇÈÚ áå æáßäå äÝì ßá ÇáÇÊåÇãÇÊ ÖÏå ÈÇáÊÍÖíÑ áÎØÝ ÇáØÇÆÑÉ). æÃæÖÍ ÇáãÍÇãí Ýí ÍÏíË Åáì (ÇáÍíÇÉ) Ãäå (áÇ ÊæÌÏ ÅËÈÇÊÇÊ ÊÏíä ãæßáí ÈÇáÊÍÖíÑ áÚãáíÉ ÇáÎØÝ), æÑÌÍ Ãä ÊÓÞØ åÐå ÇáÊåãÉ Úä ÇáÔØí, áÊÍá ãÍáåÇ ÊåãÉ ÍíÇÒÉ ÓáÇÍ ÍÑÈí ÇáÊí ÊÑÇæÍ ÚÞæÈÊåÇ Èíä ÓÊÉ ÃÔåÑ æÓÊ ÓäæÇÊ, ÚáãðÇ Ãäå ÊæÞÚ Ãä ÊÕá ÇáÚÞæÈÉ áãæßáå Åáì ËãÇäíÉ ÃÔåÑ. æÞÇá ÇáãÍÇãí Åäå ÓÈÞ æÃä ÏÇÝÚ Úä ãæßáå Ýí ÞÖÇíÇ ÃÎÑì, ãÔíÑðÇ Åáì Ãä (ßá ÞÖÇíÇ ÇáÇÌÑÇã ÇáÊí ßÊÈ Úä ÚáÇÞÊå ÈåÇ ÊÚæÏ Åáì Òãä ÈÚíÏ, Ýãæßáí ÊÛíÑ Ýí ÇáÓäæÇÊ ÇáÎãÓ ÇáÇÎíÑÉ, æáã íÞÏã Úáì Ãí Úãá ÛíÑ ÞÇäæäí æßá ÇáÐí ÊßÊÈå ÇáÕÍÝ ÇáãÍáíÉ æÇáÏæáíÉ Úä Ãäå ßÇäíÎØØ áÕÏã ÇáØÇÆÑÉ ÈÅÍÏì ÇáÓÝÇÑÇÊ ÇáÇãíÑßíÉ Ýí ÃæÑæÈÇ áÇ ÕÏÞíÉ áåÇ). æÃæÖÍ ÇáãÍÇãí Ýí ÍÏíËå Åáì (ÇáÍíÇÉ) Ãä (ãæßáí Ýí ÍÇá äÝÓíÉ ÕÚÈÉ ááÛÇíÉ, Ðáß Ãäå íÔÚÑ ÈÇáÐäÈ áÃä ÇáÇÔÇÚÇÊ ÊÓÈÈÊ ÈÇáÇÐì áÚÇÆáÊå æáãÌãæÚÉ ÇáÔÈÇä ÇáÐíä ßÇäæÇ ãÊæÌåíä Úáì ÇáØÇÆÑÉ äÝÓåÇ Åáì ÇáãÄÊãÑ ÇáÇÓáÇãí Ýí áäÏä). æÃßÏ ÇáãÍÇãí Ãä ãæßáå (íÔÚÑ ÈÃä ÇáåÌãÉ ÇáÇÚáÇãíÉ ÖÏå ÚäÕÑíÉ) Úáì ÑÛã Ãäå ãæáæÏ Ýí ÇáÓæíÏ áÇã ÓæíÏíÉ æÃÈ ÊæäÓí). æÞÇá Åäå íÚÊÞÏ Ãä ãÇ íÞæáå ãæßáå (ÕÍíÍðÇ ÎÕæÕðÇ Ãäå ÃÚØì ÓÈÈðÇ ãÞäÚðÇ áæÌæÏ ÇáãÓÏÓ Ýí ÔäØÊå, áßääí áÇ ÃÃÓÊØíÚ Þæá ÇáÓÈÈ, ÈÓÈÈ ÓÑíÉ ÇáÊÍÞíÞÇÊ). æäÔÑÊ ÕÍíÝÉ (ãÇíá Ãæä ÕÇäÏí) ÇáÈÑíØÇäíÉ ÃãÓ, Ãä ÇáÔØí ÍÕá Úáì ÏæÑÉ Ýí ÞíÇÏÉ ÇáØÇÆÑÇÊ Ýí ãÚåÏ ßæäæÇí (æáÇíÉ ÓÇæË ßÇÑæáíäÇ) ßáÝÊå 30 ÃáÝ ÏæáÇÑ, æÇäÊÞá áÇÍÞðÇ Åáì ãÚåÏ Ýí ÃæÔíÇä Åíá ÈíÊÔ Ýí ÇáæáÇíÉ äÝÓåÇ ÍíË ÍÕá Úáì ÓÇÚÇÊ ÅÖÇÝíÉ. æÞÇá ãÏÑÓ ÇáØíÑÇä Ýí ãÚåÏ ÃæÔíÇä Åíá ÈíÊÔ ÈíÊÑ äÇÛí ááÕÍíÝÉ, Åäå ÍÇæá ÇáÇÊÕÇá ÈÔØí ãÑÇÊ ÚÏÉ áßí íÑÓá áå ÔåÇÏÉ ÇáÞíÇÏÉ áßä ÇáÇÎíÑ áã íÓÊÌÈ áÇÊÕÇáÇÊå. æÃÔÇÑ ÇáãÏÑÈ Åáì Ãäå ÇÊÕá ÈÌåÇÒ (ÃÝ Èí Âí) æÃÈáÛå ÇáÇãÑ. æäÔÑÊ ÕÍÝ ÓæíÏíÉ Ãä ÔØí ßÇä Úáì ÕáÉ ÈãÍãÏ ÚØÇ, ÅáÇ Ãä æÇáÏå äÝì Ðáß æÞÇá Åä ÇÈäå (áÇ íÚÑÝ Ãí ÔÎÕ áå ÚáÇÞÉ ÈÇáÐí ÍÕá Ýí ÃãíÑßÇ, ßãÇ Ãäå æÕÝ ÇáÐíä åÇÌãæÇ ÇáÇåÏÇÝ ÇáÇãíÑßíÉ ÈÃäåã ãÌÇäíä). æÔÑÍ æÇáÏå Ãäå (áíÓ ÛÑíÈðÇ Ãä íãÇÑÓ ÇÈäí ÇáØÞæÓ ÇáÇÓáÇãíÉ Ýåæ ãÓáã ßãÇ Ãäå ÇÈÊÚÏ Úä ÇáÚäÝ ÚäÏãÇ ÈÏà íãÇÑÓ ÇáÇÓáÇã). æÃÔÇÑ æÇáÏå Ýí ÍÏíË Åáì ÕÍíÝÉ (ÕÇäÏí ÊÇíãÒ) Åáì Ãä ÇÈäå (áã íÓÊÎÏã Ðáß ÇáãÓÏÓ æáÇ ãÑÉ, æáßäå ßÇä íÍãáå ãÚå Ýí ÈÚÖ ÇáÇÍíÇä æÇÚÊÞÏ Ãäå äÓíå Ýí ÔäØÊå ÚäÏãÇ ßÇä ãÓÇÝÑðÇ Åáì áäÏä). æÃÚáäÊ ÇáÍßæãÉ ÇáÓæíÏíÉ Ãä æÒÇÑÉ ÇáÚÏá ÃÈáÛÊ ßá ÃÍÒÇÈ ÇáÈÑáãÇä ÈÞÖíÉ ßÑíã ÔØí æäÓÈÊ ÕÍíÝÉ (ÃßÓÈÑÓä) Åáì ãÕÇÏÑ ãØáÚÉ Úáì ÇáÞÖíÉ, Ãä ÔØí ÞÇá Ýí ÇáÊÍÞíÞ Åäå ßÇä íÍãá ÇáãÓÏÓ ãÚå (áÃäå íÔÚÑ Ãäå ãåÏÏ ÎÕæÕðÇ Ýí Êáß ÇáÏæáÉ ÇáÊí ßÇä ÓíÓÇÝÑ ÅáíåÇ), æÃäå áã íßä íÞÕÏ Ãä íÎØÝ ÇáØÇÆÑÉ áÃäå áæ ÃÑÇÏ Ðáß áãÇ ßÇä ÍÇæá ÊåÑíÈ ãÓÏÓ Ýí ÍÞíÈÉ Èá ßÇä ÎØØ áÐáß ÈØÑíÞÉ ãÍÊÑÝÉ ÃßËÑ). (äÞáÇ                Úä ÕÍíÝÉ ÇáÍíÇÉ ÇáÕÇÏÑÉ íæã 2/9/2002 ) ÇáÓæíÏ ÊÄßÏ ÊÚÇæäåÇ ãÚ ÍßæãÇÊ «ÃÌäÈíÉ» ÈÔÃä ÇáÊæäÓí ÇáãÚÊÞá.. æãÍÇãíå íäÝí Ãä ãæßáå ÎØØ áÎØÝ ØÇÆÑÉ 
 ÇÓÊæßåæáã Ü áäÏä: «ÇáÔÑÞ ÇáÃæÓØ» ßæäæÇí (ÓÇæË ßÇÑæáÇíäÇ): ÓÇÑÉ ßíÑÔÇæ * ÃßÏÊ ÇáÓáØÇÊ ÇáÃãäíÉ ÇáÓæíÏíÉ ÇãÓ ÇäåÇ Úáì ÇÊÕÇá ÈäÙíÑÇÊ áåÇ «ÃÌäÈíÉ»¡ ÈÎÕæÕ ÇáÓæíÏí ÇáÊæäÓí ÇáÇÕá ÇáÐí ÇÚÊÞá æÈÍæÒÊå ãÓÏÓ íæã ÇáÎãíÓ ÇáãÇÖí Ííä ßÇä íäæí ÇÓÊÞáÇá ØÇÆÑÉ ãÊÌåÉ Çáì áäÏä. æßÇä ßÑíã ÇáÔØí (29 ÓäÉ) ÇÚÊÞá íæã ÇáÎãíÓ ÇáãÇÖí ÇËÑ ÇáÚ辄 Úáì ãÓÏÓ Ýí ÇãÊÚÊå ÈãØÇÑ ÝÇÓÊíÑÇÓ ÇáÓæíÏí (ÛÑÈ ÇÓÊæßåæáã) Ííä ßÇä íäæí ÇáÊæÌå Çáì ãÏíäÉ ÈÑãäÛåÇã ÇáÈÑíØÇäíÉ áÍÖæÑ ãÄÊãÑ ÇÕæáí ÝíåÇ. æÞÇá ÇáãÊÍÏË ÈÇÓã ÇáÔÑØÉ ÇáÓæíÏíÉ ÇæáÝ ÈÇáã Çä ÇáãÍÞÞíä ÇÌÑæÇ ÇÊÕÇáÇÊ ãÚ «ÓáØÇÊ ÃÌäÈíÉ». ÅáÇ Ãäå ÑÝÖ ÇáßÔÝ ãÇ ÇÐÇ ßÇä ÇáÇãÑ íÊÚáÞ ÈÓáØÇÊ ÊæäÓ¡ ÇáÈáÏ ÇáÃÕáí ááãÔÊÈå Ýíå¡ Ãæ ÈÓáØÇÊ ÇáæáÇíÇÊ ÇáãÊÍÏÉ¡ ÇáÈáÏ ÇáÐí ÊáÞì Ýíå ÏÑæÓÇð ÛíÑ ãßÊãáÉ Ýí ÇáØíÑÇä. æÞÇá ÈÇáã «ÇääÇ äÃãá Çä äßÔÝ Úä ãÒíÏ ãä ÇáãÚáæãÇÊ ÇáÇÓÈæÚ ÇáãÞÈá. ÇáÊÍÞíÞÇÊ ÍÇáíÇð Ýí ãÓÊæì ãÔÍæä». æÇæÖÍ ÇáäÇØÞ ÈÇÓã ÇáÔÑØÉ Çä ÇáÇÏÚÇÁ ÇáÐí íÊæáì ÞÖíÉ ÇáãÔÊÈå Ýíå íÍÖÑ áÌáÓÉ ÇáÇÓÊãÇÚ ÇáãÞÑÑÉ Çáíæã ÇáÇËäíä ÈåÏÝ äÙÑ ÇáãÍßãÉ Ýí ÊæÌíå Êåã Çáíå ÈÔßá ÑÓãí Çæ ãæÇÕáÉ ÇáÊÍÞíÞÇÊ ãÚå. áßä ÇáäÇØÞ ÇÖÇÝ «åäÇß ÇÔíÇÁ ßËíÑÉ íÊÚíä ÚáíäÇ ÇáÞíÇã ÈåÇ¡ æáÇ äÑíÏ Çä íÝÑÌ Úäå íæã ÇáÇËäíä». æÝí ÍÇá ÅÏÇäÊå¡ ÝÇä ÇáãÔÊÈå Ýíå íæÇÌå ÍßãÇ ÈÇáÓÌä íÊÑÇæÍ Èíä ÇÑÈÚ ÓäæÇÊ æÇáÓÌä ãÏì ÇáÍíÇÉ. æßÇäÊ æßÇáÉ «ÑæíÊÑÒ» äÞáÊ Çæá ãä ÇãÓ Úä ãÕÇÏÑ Ýí ÇáÇÓÊÎÈÇÑÇÊ ÇáÓæíÏíÉ ÞæáåÇ Çä ÇáÑÌá¡ ßÇä íÑíÏ ÎØÝ ÇáØÇÆÑÉ ÇáÊÇÈÚÉ áÔÑßÉ «ÑíÇä ÇíÑ» æÇÓÊÎÏÇãåÇ Ýí åÌæã ÖÏ ÓÝÇÑÉ ÇãíÑßíÉ Ýí ÇæÑæÈÇ¡ æÇä ÇáÓáØÇÊ ÈÕÏÏ ÇáÈÍË Úä 4 ÑÌÇá Èíäåã ÎÈíÑ ãÊÝÌÑÇÊ ßÇäæÇ íÏÈÑæä ãÚå ÇáÎØÉ. ÅáÇ Ãä ãÇÑÛÇÑíÊÇ áíäÏÑæË¡ ãÏíÑÉ ÞÓã ãßÇÝÍÉ ÇáÇÑåÇÈ ÈÇáÔÑØÉ ÇáÓæíÏíÉ¡ äÝÊ Ýí æÞÊ áÇÍÞ ÕÍÉ åÐå ÇáÇäÈÇÁ¡ æÞÇáÊ ÅäåÇ «ÎÇØÆÉ æÃÝäÏåÇ ßáíÇð. æáÓäÇ ÈÕÏÏ ÇáÈÍË Úä ÇÑÈÚÉ ÑÌÇá». ßãÇ äÝì ãÍÇãí ÇáãÔÊÈå Ýíå ÇãÓ Çä íßæä ãæßáå ÎØØ áÎØÝ ØÇÆÑÉ Çæ Ôä Úãá ÅÑåÇÈí. æÞÇá ÇáãÍÇãí äíáÒ ÇæÛáÇ áÔÈßÉ «ÓßÇí äíæÒ» ÇáÊáÝÒíæäíÉ ÇáÈÑíØÇäíÉ Çä ãæßáå íäÝí «ÕáÊå ÈÃí ãÍÇæáÉ ááÎØÝ Çæ ÇáÇÑåÇÈ¡ æÃÞÑ ÈÃäå ßÇä íÍãá ãÓÏÓÇ». æáãÇ ÓÆá ÇáãÍÇãí ÚãÇ ÇÝíÏ ÈÃä ÇáãÔÊÈå Ýíå ßÇä íäæí ÎØÝ ÇáØÇÆÑÉ æÇáåÌæã ÈåÇ Úáì ÓÝÇÑÉ ÇãíÑßíÉ¡ ÞÇá «áã ÇÓãÚ ÔíÆÇ ßåÐÇ ãä ÇáÔÑØÉ ÇáÓæíÏíÉ Çæ ÇáÇÏÚÇÁ. ÇÚÊÞÏ ÇäåÇ ãÌÑÏ ÊßåäÇÊ». Ëã ÓÆá ÇáãÍÇãí Úä ÏÇÝÚ ãæßáå æÑÇÁ Íãá ÇáãÓÏÓ æåæ íÓÊÞá ÇáØÇÆÑÉ¡ ÝÞÇá Çä ÇáÞÇäæä íãäÚå ãä ßÔÝ åÐå ÇáãÚáæãÇÊ. æÇßÏ ÇæÛáÇ Çä ãæßáå «íÚÇÑÖ ßËíÑÇð ÇáÚäÝ»¡ ãÖíÝÇð Çäå Êã ÇáÊÑßíÒ Úáíå ÈÛíÑ ÚÏá ÈÓÈÈ ÏíÇäÊå æßÐáß ÈÓÈÈ Çä ÇáÍÇÏËÉ ÌÇÁÊ ÔÈå ãÊÒÇãäÉ ãÚ ÇáÐßÑì ÇáÓäæíÉ ÇáÇæáì áÇÚÊÏÇÁÇÊ 11 ÓÈÊãÈÑ (Çíáæá) ÇáãÇÖí Ýí ÇáæáÇíÇÊ ÇáãÊÍÏÉ. æÊÇÈÚ ÇæÛáÇ «Åäå ãÓáã¡ æßÇä íÑíÏ ÇáÓÝÑ æãÚå ãÓÏÓ æÇáÇãÑ ÞÑíÈ ãä 11 ÓÈÊãÈÑ¡ æÐáß ÌÚá ÇáäÇÓ íÞÝÒæä Çáì ÇÓÊäÊÇÌÇÊ ÓÑíÚÉ». æßÇä ÇáÔØí æÇÍÏÇð ãä 20 ÔÎÕÇð ßÇäæÇ Úáì ãÊä ØÇÆÑÉ «ÑíÇä ÇíÑ» ÇáãÊÌåÉ Çáì áäÏä ÈåÏÝ ÍÖæÑ ÇáãÄÊãÑ ÇáÓäæí ÇáÐí ÊäÙãå «ÇáãßÊÈÉ ÇáÓáÝíÉ». æÞÏ ÇÚÊÞá ÇáÚÔÑæä Ëã ÇÝÑÌ Úäåã ÕÈÇÍ Çæá ãä ÇãÓ. æÞÇá ÇæÛáÇ Çä ãæßáå «íÊÃÓÝ ÈÚãÞ áãÇ ÓÈÈå ááÂÎÑíä ÇáÐíä ßÇäæÇ ãÓÇÝÑíä ãÚå». æãä ÌÇäÈåã äÝì ãäÙãæ ÇáãÄÊãÑ ÇáÓäæí ÇáËÇáË ááÍÑßÉ ÇáÓáÝíÉ ÇáÐí ßÇä ÇáÔØí íÚÊÒã ÇáãÔÇÑßÉ Ýíå ãÚÑÝÊåã ÈÇáãÔÊÈå Ýíå. ßãÇ Çß쾂 Ýí ÈíÇä Ãä «ãÈÇÏÆ ÇáÇÓáÇã ÊÍÑã ÇíÐÇÁ ÇáãÏäííä ÇáÇÈÑíÇÁ». æßÇä ÇáÔØí ÞÏ ÊÇÈÚ ÏÑæÓÇ Ýí ÇáØíÑÇä Ýí ãÏíäÉ ßæäæÇí ÈæáÇíÉ ÓÇæË ßÇÑæáÇíäÇ Èíä ÓÈÊãÈÑ (Çíáæá) 1996 æÇÈÑíá (äíÓÇä) 1997¡ ÅáÇ Ãäå áã íÓÊßãá åÐÇ ÇáÊÏÑíÈ ÈÓÈÈ ÚÏã ãæÇÙÈÊå. æÞÇá ãÓÄæá ÈãÏÑÓÉ ÇáØíÑÇä Ýí ßæäæÇí Åä ÚäÇÕÑ ãä ãßÊÈ ÇáãÈÇÍË ÇáÝíÏÑÇáí (ÇÝ. Èí. Âí) ÒÇÑæÇ ÇáãÏÑÓÉ Çæá ãä ÇãÓ. æÇæÖÍ ÕäÏÇí Çä ÇáÔØí ÇÌÊÇÒ ÇãÊÍÇä ÇáÏÎæá ááãÏÑÓÉ Ýí ÓÈÊãÈÑ 1996¡ «áßä ÈÚÏ ÇÔåÑ¡ Êã ÇíÞÇÝå Úä ÇáÈÑäÇãÌ ÈÓÈÈ ÚÏã ÈÐáå ãÌåæÏÇð ßÇÝíÇð». æÇÖÇÝ Çä ÇáÔØí ÑÓÈ Ýí ÏÑæÓå ÈÇáãÏÑÓÉ¡ áÃäå «áã íßä ØÇáÈÇð ÌíÏÇð¡ ÝÊÑßäÇå íÐåÈ». æÇßÏ ÕäÏÇí Çä ÇáÔØí ÊÏÑÈ Úáì ÇÓÊÎÏÇã 152 ØÇÆÑÉ ÕÛíÑÉ ãä ØÑÇÒ «ÓíÓäÇ»¡ Ëã áÇÍÞÇð Úáì 172 ØÇÆÑÉ ÇÎÑì ãä äÝÓ ÇáØÑÇÒ¡ ÅÖÇÝÉ Çáì ÊÞäíÇÊ ÃÎÑì. æÞÇáÊ ÕÍíÝÉ «ÇÝÊæäÈáÇÏíÊ» ÇáÓæíÏíÉ ÇãÓ Çä ÇáÔØí ÓÇÝÑ ßÐáß Çáì ÝáæÑíÏÇ æßÇä íÑíÏ ÇáÇáÊÍÇÞ ÈãÏÑÓÉ ØíÑÇä ÇáÇ Çäå ÝÔá «ÈÓÈÈ ÑÞÈÊå». æßÇäÊ ÊÃÔíÑÉ ÇáÔØí ÎÇÕÉ ÈÇáÏÑÇÓÉ¡ æÈÇáÊÇáí ÝÇäå ßÇä íÊÚíä Úáíå ãÛÇÏÑÉ ÇáæáÇíÇÊ ÇáãÊÍÏÉ ÍÓÈãÇ ÐßÑ ÇáãÓÄæá ÈãÏÑÓÉ ÇáØíÑÇä Ýí ßæäæÇí. æäÞá Úä æÇáÏ ÇáÔØí¡ ÕÇÏÞ¡ Çä ÇÈäå ÈÏà íÊÍæá Çáì ÇáÑÇÏíßÇáíÉ ÍíäãÇ ÇáÊÞì ÈãÌãæÚÉ ãä ÇáÇÕæáííä Ýí ãÏÑÓÉ ÇáØíÑÇä ÈÇáæáÇíÇÊ ÇáãÊÍÏÉ. æÍÊì ãÍÇãíå ÇæÛáÇ ÞÇá Çä ãæßáå ÈÏà ÇåÊãÇãå ÈÇáÇÓáÇã ÞÈá 3 Çæ 4 ÓäæÇÊ ÈÚÏ Çä ÍÖÑ ãÏÑÓÉ ÇáØíÑÇä. ÇãÇ æÇáÏÊå¡ ÇáÓæíÏíÉ ÛÇäíáÇ¡ ÝÞÇáÊ «Åääí áÇ ÃÓÊØíÚ Ýåã ÓÈÈ ÍíÇÒÊå áÐáß ÇáãÓÏÓ. ÇÚÑÝ Çä ÇáÃãÑ ßÇä ÎØÃ. áã íßä ÇÈÏÇð áíÎÊØÝ Êáß ÇáØÇÆÑÉ». *              ÎÏãÉ «äíæíæÑß ÊÇíãÒ» – ÎÇÕ ÈÜ «ÇáÔÑÞ              ÇáÃæÓØ»  (äÞáÇ Úä ÕÍíÝÉ ÇáÔÑÞ ÇáÃæÓØ ÇáÕÇÏÑÉ íæã 1/9/2002 ) 
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|  Ýíáã                ãÕÑí íËíÑ ÇäÊÞÇÏÇÊ æÇÓÚÉ ÈÓÈÈ                ÑÇÞÕÉ ÊæäÓíÉ                 
 ÊæäÓ: ÇáÓíäãÇÆí ÇáäæÑí ÈæÒíÏ íÓÊÞØÈ ÇáÃÖæÇÁ ãä ÌÏíÏ | 
| ÊæäÓ                – ÎÏãÉ ÞÏÓ ÈÑÓ(ãÍãÏ                ÝæÑÇÊí) áÇ                ÊÒÇá ÊÃËíÑÇÊ ÇáÃÒãÉ, ÇáÊí ÎáÞåÇ                Ýíáã « ÇááãÈí », æåæ Ýíáã ãÕÑí,                ÃäÊÌ ÍÏíËÇ, æáÞí ÅÞÈÇáÇ æÇÓÚÇ Ýí                ÞÇÚÇÊ ÇáÓíäãÇ ÇáãÕÑíÉ, Ýí ÇáÚáÇÞÇÊ                ÇáãÕÑíÉ ÇáÊæäÓíÉ ÊÊÝÇÚá, æÊËíÑ                ÇáãÒíÏ ãä ÇáÇÓÊíÇÁ Ýí ÇáÕÍÇÝÉ                ÇáÊæäÓíÉ, ÅÐ ÇÚÊÈÑå ÇáäÞÇÏ                æÇáÕÍÇÝíæä ÝíáãÇ åÇÈØÇ, æÇÊåãæå                ÈÊÔæíå ÓãÚÉ ÇáãÌÊãÚ ÇáÊæäÓí, ÈÓÈÈ                ÚÑÖå áÑÇÞÕÉ ÊæäÓíÉ ÊãËá 쾄 ÏÇÚÑÉ,                æÇÕÝíä ÅíÇå ÈÃäå ãä ÃÓÝø ÇáÃÝáÇã,                ÇáÊí ÃäÊÌÊåÇ ÇáÓíäãÇ ÇáãÕÑíÉ Ýí                ÇáÓäæÇÊ ÇáÃÎíÑÉ. æÇÚÊÈÑÊ                ÕÍÝ ÊæäÓíÉ ÅÞÈÇá ÇáÌãåæÑ ÇáãÕÑí                Úáì åÐÇ ÇáÝíáã ÏáíáÇ æÇÖÍÇ Úáì æÌæÏ                ÃÒãÉ ÐæÞ ãÌÊãÚíÉ, æÍÇáÉ å龯 Ýí                ÇáËÞÇÝÉ ÇáãÕÑíÉ. æÊÚÇÏá                ßáãÉ « ÇááãÈí » ÈÇáÊæäÓí áÝÙÉ                « ÇáÎáíÞÉ », æåæ ÇáÕÚáæß, Ãæ                ÇáÔÇÈ ÇáÐí ÊáÞì « ÊÑÈíÉ ÔæÇÑÚ ».                æíÕæÑ åÐÇ ÇáÔÑíØ, ÇáÐí ÃËÇÑ ÌÏáÇ                æÇÓÚÇ, ÔÇÈÇ íÚÇäí ãä ÇáÈØÇáÉ, æÈÚÏ                ãÌåæÏ ßÈíÑ íÈÐáå Ýí ÇáÈÍË Úä Úãá,                íÚáãå ÃÍÏ ÇáÃÕÏÞÇÁ ÈÃä ÑÇÞÕÉ                ÊæäÓíÉ ÊÈÍË Úä ÍÇÑÓ ÔÎÕí, ÝíÊÕá ÈåÇ                æíÚãá ãÚåÇ. Ëã íæÑÏ ÇáÔÑíØ ÈÚÏ Ðáß                ãÌãæÚÉ ãä ØáÇÈ ÇááÐøÉ íÊÑÏÏæä Úáì                ÈíÊ ÇáÑÇÞÕÉ, Ýí ÇáæÞÊ ÇáÐí íäåãß                Ýíå ÍÇÑÓåÇ Ýí ÔÑÈ ÇáÎãÑ. æÞÏ                ÊÏÎáÊ ÇáÓÝÇÑÉ ÇáÊæäÓíÉ Ýí ãÕÑ                ÈÞæøÉ áÊØáÈ ãä æÒÇÑÉ ÇáËÞÇÝÉ                ÇáãÕÑíÉ ÍÐÝ ÈÚÖ ÇáãÔÇåÏ ãä ÇáÝíáã,                æÎÇÕøÉ ßáãÉ « ÇáÊæäÓíÉ », ÇáÊí                ÚÏøÊ ÅÓÇÁÉ Åáì ÇáÔÚÈ ÇáÊæäÓí. æáßä                Úáã Ýí ãÇ ÈÚÏ Ãä ÇáããËáÉ ÇáÊí ÞÇãÊ                È쾄 ÇáÑÇÞÕÉ Ýí ÇáÝíáã ÇáãËíÑ                ááÌÏá, ßÇäÊ ããËáÉ ÊæäÓíÉ, æÃä ÒæÌÉ                ãäÊÌ ÇáÝíáã ÊæäÓíÉ ÃíÖÇ. æÞÇá                ÃÍÏ ÇáäÞÇÏ ÇáÊæäÓííä ÊÚáíÞÇ Úáì                ÇáÊØæÑ ÇáÐí ÔåÏå ãæÖæÚ ÇáÝíáã                ÇáãÕÑí « Åäå Ìãíá ÌÏÇ Ãä ÊÊÏÎá                ÓÝÇÑÊäÇ Ýí ÇáÞÇåÑÉ áÍÐÝ ãÔÇåÏ ÊÓíÁ                Åáì ÇáÔÚÈ ÇáÊæäÓí, æáßä áãÇÐÇ ÊÓßÊ                ÇáÓáØÇÊ Úáì æÒÇÑÉ ÇáËÞÇÝÉ, ÇáÊí                ÊÏÚã ÃÝáÇãÇ ÊæäÓíÉ ÊÎÊÒá ÇáãÌÊãÚ                Ýí ÇáãáÇåí æÇáßÈÇÑíåÇÊ æÇáÚÞÏ                ÇáÌäÓíÉ ». ãä                ÌåÉ ÃÎÑì ÇÍÊá Ýíáã ÇáäæÑí ÈæÒíÏ                ÇáÌÏíÏ « ÚÑÇíÓ ÇáØíä », ãÓÇÍÉ                æÇÓÚÉ ãä ÇáÌÏá æÇáÇåÊãÇã. æÅÐÇ ßÇä                åÐÇ ÇáÅäÊÇÌ ÇáÌÏíÏ ááãÎÑÌ ÊãíÒ                ÈÑÄíÉ ÓíäãÇÆíÉ ÚÇáíÉ, æÊäÇæá                ÅäÓÇäí ãÑåÝ áÞÖíÉ ÎÇÏãÇÊ ÇáÈíæÊ, Ãæ                ÇáãÚíäÉ ÇáãäÒáíÉ, ãä ÎáÇá ãÊÇÈÚÉ                ÞÕøÉ ÇáÎÇÏãÉ « ÑÈÍ », ÝÅä ÓÞØÇÊ                ßËíÑÉ ÃÚÇÏÊ ááÃÐåÇä ÃÝáÇã ÇáäæÑí                ÈæÒíÏ ÇáÓÇÈÞÉ, ãËá Ýíáãå ÇáÔåíÑ « ÑíÍ                ÇáÓÏø », æÎÇÕÉ ßËÑÉ ãÔÇåÏ ÇáÚÑÇÁ,                ÇáÊí æÕÝÊåÇ ãÐíÚÉ Ýí ÈÑäÇãÌ ÊáÝÒí                ãÈÇÔÑ ÈÃäåÇ ãÔÇåÏ ãåíäÉ ááãÑÃÉ                ÇáÊæäÓíÉ.   Ýãä                ÎáÇá ËáÇËÉ ÔÎÕíÇÊ åí ÚãÑÇä æÝÖøÉ                æÑÈÍ, íÕæøÑ ÇáäæÑí ÈæÒíÏ ÎÏãÉ                ÇáÈíæÊ, æÈÇáÊÍÏíÏ ÎÏãÉ ÇáÃØÝÇá                ááÈíæÊ, æãÇ ÊÎáÞå ãä ÔÎÕíÇÊ ãÚÞÏøÉ                æãÍÑæãÉ æãÏãøÑÉ, ÊäÊåí ÈÚãÑÇä                æÃãËÇáå ããä ÊáÞæÇ Êáß ÇáÊÑÈíÉ, Åáì                ÇáÖíÇÚ æÇáÇÑÊãÇÁ Èíä ÃÍÖÇä ÇáäÓÇÁ                æÞÇÑæÑÉ ÇáÎãÑ.  æíõÊåã                ÇáãÎÑÌ ÇáäæÑí ÈæÒíÏ ÈÊÕæíÑ ÚÇáã                ÇáäÓÇÁ ÈÕæÑÉ ãÈÇáÛ ÝíåÇ, æÈÊÑßíÒå                Úáì ÇáÚÑÇÁ æÇáÌäÓ, æáßäå íÑÏø                ÈÇáÞæá « ÃäÇ áÇ ÃÚÊÈÑ Ðáß ÇÊåÇãÇ,                æáßäøå ÔÑÝ áí Ãä íÞÇá Úäí Ðáß, áÃä                ÏæÑí åæ Ãä ÃÞÏøã ááÌãåæÑ ãÇ áÇ                íÚÑÝå », ÈÍÓÈ Þæáå. æÚä                ÓÈÈ ÇåÊãÇãå ÇáãÈÇáÛ Ýíå ÈÚÇáã                ÇáäÓÇÁ, íÞæá ÇáãÎÑÌ ÇáäæÑí ÈæÒíÏ                Åäå íÍÈ åÐÇ ÇáÚÇáã « áÃäå ãÑåÝ,                æÝíå ÇáßËíÑ ãä ÇáÃÓÑÇÑ æÇáããäæÚÇÊ,                æåæ ÃÞÑÈ Åáíø ãä ÚÇáã ÇáÑÌÇá ».                æíÖíÝ ÞÇÆáÇ « ÑÈøãÇ ÃÝÓøÑ Ðáß                ÈÃäøí ÚÔÊ ßËíÑÇ ãÚ ÃÎæÇÊí ÇáÈäÇÊ,                æÃÍÈÈÊ ÚÇáãåä, ÇáÐí ßáøå ÍäÇä                æãÔÇÚÑ ÌãíáÉ ». æÃÈÏì                ÈÚÖ ÇáäÞÇÏ ÇÓÊíÇÁåã ãä Ýíáã « ÚÑÇÆÓ                ÇáØíä », ÇáÐí íÚÑÖ ÇáÂä Ýí ãåÑÌÇä                ãÏíäÉ ÇáÍãÇãÇÊ ÇáÏæáí (ÖæÇÍí ÊæäÓ                ÇáÚÇÕãÉ), ÈÓÈÈ ÅÞÍÇãå ÈÚÖ ÇáãæÇÞÝ,                ÇáÊí áã ÊÈÏ ÖÑæÑíÉ ÈÇáãÑøÉ Ýí ÓíÇÞ                ÇáÝíáã, æåí ÃÞÑÈ Åáì ÇáÅÓÞÇØ, ãËá                ãÔåÏ ÇÓÊãÇÚ « ÚãÑÇä » Åáì ÃÎÈÇÑ                ÍÑßÉ ØÇáÈÇä ÇáÃÝÛÇäíÉ Ýí ÇáãÐíÇÚ,                æåæ íÞæã ÈÃÚãÇá æÍÑßÇÊ áÇ ÚáÇÞÉ áåÇ                ÈÚÇáã ÇáÓíÇÓÉ, æÃíÖÇ ÅÞÍÇã ÕæÊ íÊáæ                ÇáÞÑÂä ÇáßÑíã Ýí æÖÚ íÍÊÓí Ýíå « ÚãÑÇä »                ÇáÎãÑÉ, æÊÓÊÚÏ Ýíå « ÑÈÍ »                ááÞíÇã ÈæÕáÇÊ ÑÞÕ ÔÑÞíÉ, æåí Ýí æÖÚ                ÃÞÑÈ ãÇ Êßæä Ýíå Åáì ÇáÚÑÇÁ. æßÇä                ÇáäæÑí ÈæÒíÏ, æåæ æÇÍÏ ãä ÃÈÑÒ                ÇáãÎÑÌíä ÇáÊæäÓííä, ÞÏ ÃÎÑÌ ÚÏÏÇ ãä                ÇáÃÝáÇã ÇáãËíÑÉ ááÌÏá. æíÊåã ÈÃäå                ÑßÈ Ýí äåÇíÉ ÇáËãÇäíäíÇÊ æÈÏÇíÉ                ÇáÊÓÚíäíÇÊ ãæÌÉ « ÇáÕåíäÉ » Ýí                ÇáÅäÊÇÌ ÇáÓíäãÇÆí ÇáÊæäÓí. æßÇä                ÈæÒíÏ íÍÑÕ Ýí ÃÝáÇãå Úáì ÇáÏÝÇÚ Úáì                ÕæÑÉ ÇáíåæÏ Ýí ÇáÊÇÑíÎ ÇáÊæäÓí, Ýí                Ííä íÚãÏ Åáì ÊÕæíÑ ãÚáãí ÇáÞÑÂä                ÇáßÑíã æÇáãÊÏíäíä ÚãæãÇ Ýí ÃÔæå                ÇáÕæÑ, æåæ ãÇ ÌÚá ÈÚÖ ÇáäÞÇÏ íÕÝæä                ÃÝáÇãå ÈÃäåÇ ãÓíÓÉ ÌÏÇ, æãäÏÑÌÉ Ýí                ÅØÇÑ ÇáÍãáÉ ÇáÑÓãíÉ Úáì ÊÌÝíÝ                íäÇÈíÚ ÇáÊÏíä Ýí ÇáÓÇÍÉ ÇáÊæäÓíÉ. 
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 « Nous                  sommes indignés par cette décision qui illustre la volonté                  du régime de Monsieur Ben Ali de museler toutes les voix                  d’opposition. Depuis le début, les règles d’un procès juste                  et équitable n’ont pas été respectées. C’est honteux. Les                  autorités tunisiennes ne prennent même plus la peine, pour                  condamner les membres de l’opposition, d’y mettre les                  formes », a déclaré Robert Ménard, secrétaire général                  de l’organisation. « Nous demandons au président tunisien                  la libération immédiate et inconditionnelle de Hamma Hammami                  qui n’a fait qu’exercer son droit à la liberté                  d’expression », a-t-il ajouté.
« Nous                  sommes indignés par cette décision qui illustre la volonté                  du régime de Monsieur Ben Ali de museler toutes les voix                  d’opposition. Depuis le début, les règles d’un procès juste                  et équitable n’ont pas été respectées. C’est honteux. Les                  autorités tunisiennes ne prennent même plus la peine, pour                  condamner les membres de l’opposition, d’y mettre les                  formes », a déclaré Robert Ménard, secrétaire général                  de l’organisation. « Nous demandons au président tunisien                  la libération immédiate et inconditionnelle de Hamma Hammami                  qui n’a fait qu’exercer son droit à la liberté                  d’expression », a-t-il ajouté.                  


