17 juillet 2009

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TUNISNEWS

9 ème année,N° 3342 du 17.07.2009

 archives :www.tunisnews.net  


Lettre ouverte – Appel à la libération des détenus du bassin minier de Gafsa TTU Monde Arabe: Tunisie : des officiers trop bavards International Campaign for Human Rights in Tunisia: Appeal to the Turkish authorities to release Tunisians detainees AFP: Le dernier modèle de Porsche dévoilé en Tunisie Globalnet: Tunisie, la crise accentuerait l’exode des populations Algerie-dz.com: Les touristes algériens en Tunisie dépensent environ 500 dollars par semaine selon des estimations officielle tunisiennes. Allafrica: Tunisie: Le président de la Chambre des députés marocains – La Tunisie, un modèle à suivre en matière de démocratie et de stabilité Reuters: INTERVIEW-Morocco wants leading role in European solar plan AFP: Istanbul : manifestation contre l’Allemagne après le meurtre d’une Egyptienne


M. Zine Al-Abidin Ben Ali Président de la République tunisienne Genève-Paris, le 17 juillet 2009  

Objet : Lettre ouverte – Appel à la libération des détenus du bassin minier de Gafsa

 

 
Monsieur le Président, A la veille de la célébration du 52ème anniversaire de la proclamation de la République tunisienne, l’Observatoire pour la protection des défenseurs des droits de l’Homme (programme conjoint de la Fédération internationale des ligues des droits de l’Homme – FIDH et de l’Organisation mondiale contre la torture – OMCT), le Réseau euro-méditerranéen des droits de l’Homme (REMDH) et Amnesty International souhaitent attirer votre attention sur le sort des personnes qui ont été condamnées pour leur participation, leur soutien ou leur couverture médiatique du mouvement de protestation sociale qui secoue le bassin minier de Gafsa depuis le mois de janvier 2008. Au cours des derniers mois, les organisations signataires ont à de nombreuses reprises dénoncé la répression dont ont été victimes les personnes soupçonnées d’être impliquées dans ce mouvement de protestation et les violations des droits de l’Homme qui ont été constatées dans ce cadre. La répression violente par les autorités tunisiennes de ce mouvement a conduit aux décès de trois manifestants et à près de 300 arrestations. Des dizaines de personnes ont été victimes de violences de la part des forces de sécurité et plus de 200 personnes ont été poursuivies dans le cadre de procès qui se sont affranchis du respect des droits élémentaires de la défense et des garanties d’un procès équitable. Les procès se sont le plus souvent soldés par des condamnations à des peines de prison fermes allant jusqu’à plusieurs années d’emprisonnement. A l’occasion notamment des missions d’observation judiciaire qu’elles ont mandatées pour assister à plusieurs de ces audiences, nos organisations ont constaté qu’outre le fait que la majorité des charges et des condamnations visaient uniquement à sanctionner l’exercice pacifique du droit à la liberté d’expression et de réunion de la plupart de ces citoyens, plusieurs violations ont entaché ces procès et constitué un déni du droit à un procès équitable. Nos organisations ont particulièrement dénoncé le silence des juges par rapport aux demandes préliminaires de la défense relatives à l’audition de témoins à charge et à décharge, l’examen des pièces à conviction, et des expertises médicales suite aux allégations de torture et autres mauvais traitements formulées par les prévenus, alors même que pour certains d’entre eux les traces de mauvais traitements ont été formellement enregistrées dans le rapport d’instruction.   Près d’une année après le début de la répression de ce mouvement, les manifestations des familles de détenus protestant contre l’emprisonnement et les conditions de détention de leurs proches sont systématiquement dispersées. Certaines de ces manifestations ont été suivies de nouvelles arrestations et de condamnations à des peines de prison. En détention, le traitement réservé aux prisonniers reste également source de vive préoccupation. Plusieurs détenus malades n’ont pas eu accès aux soins que leur état de santé requiert. Ainsi, l’état de santé de M. Béchir Labidi, qui a contracté la tuberculose lors de sa détention, est particulièrement préoccupant et nécessite un traitement intensif qui ne peut lui être administré alors qu’il est détenu. Le transfert de plusieurs de ces détenus dans des prisons éloignées, parfois de plusieurs centaines de kilomètres du lieu de résidence de leur famille, constitue une entrave au droit de visite. Les 600 kilomètres qui séparent par exemple M. Béchir Labidi, détenu à Tunis, et son fils, Modhaffar, détenu à Rjim Maatoug (Sahara tunisien), empêchent leur famille de leur rendre visite à tous les deux régulièrement. Enfin, nos organisations s’inquiètent des mesures qui s’apparentent à des représailles à l’encontre de la population de la région de Gafsa où le contrôle policier reste omniprésent, particulièrement dans les villes. Ce contrôle se traduit à la fois par des entraves à la liberté de circulation que ce soit pour les familles, ponctuellement empêchées de quitter la ville pour participer à des actions de soutien en faveur de leurs proches ou pour des avocats et défenseurs des droits de l’Homme interdits d’accès à Gafsa et à Redeyef. Monsieur le Président, Le 28 mars 2008, le Comité des droits de l’Homme des Nations Unies a adressé un certain nombre de recommandations à la Tunisie. Il a, en particulier, appelé les autorités tunisiennes à mettre fin aux actes d’intimidation et de harcèlement et à protéger les activités pacifiques des organisations et défenseurs des droits de l’Homme. Le Comité a aussi insisté sur la nécessité que toute allégation de torture ou de mauvais traitement soit l’objet d’une enquête impartiale et que les auteurs de tels actes soient poursuivis en justice. Nos organisations vous appellent à mettre en œuvre, sans délais, ces recommandations et à assurer que les personnes visées lors de la répression du mouvement de contestation de la région de Gafsa bénéficient de tous les droits garantis par le Pacte international relatif aux droits civils et politiques. Nos organisations réitèrent ainsi leur appel à la libération immédiate et inconditionnelle de l’ensemble des manifestants, syndicalistes, défenseurs des droits de l’Homme et journalistes condamnés arbitrairement au cours de procédures judiciaires entachées de violations du droit à un procès équitable pour avoir exercé pacifiquement leurs droits à la liberté d’expression, d’association et de réunion tels que garantis par le droit international et la Constitution de la Tunisie. Elles vous demandent en outre de faire en sorte que toutes les allégations de torture et autres mauvais traitements soient l’objet d’une enquête indépendante et impartiale, que les auteurs de ces crimes soient traduits en justice et que réparation soit accordée aux victimes. Enfin, nos organisations demandent que la lumière soit faite sur les circonstances qui ont conduit aux homicides de manifestants et que les résultats de l’enquête ordonnée par le ministre de la Justice et des Droits de l’Homme soit rendus publics et que les responsables de recours excessif à la force rendent des comptes. Confiants de l’attention que vous voudrez bien porter à notre appel, nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, nos respectueuses salutations. Souhayr Belhassen, Présidente de la FIDH Eric Sottas, Secrétaire général de l’OMCT Kamel Jendoubi, Président du REMDH Malcolm Smart, Directeur, Programme Moyen Orient et Afrique du Nord, Amnesty International


Tunisie : des officiers trop bavards

Les observateurs s’interrogent sur les mobiles de l’arrestation de deux officiers tunisiens, de la base de Bizerte (60 km au nord de la capitale). Ils sont accusés, à demi-mot, de préparer un attentat contre des officiers américains en Tunisie, lors de manœuvres communes entrant dans le cadre de la coopération militaire, et attendent d’être jugés. Leur avocat, Me Samir Ben Amor, est, en outre, accusé de divulgation du secret de l’instruction. Or les autorités tunisiennes semblent s’être piégées elles-mêmes, puisqu’elles nient à coups de communiqués une quelconque menace contre des officiers américains sur leur sol. Mais alors pourquoi cette mise aux arrêts ? En fait, ce sont huit personnes qui ont été arrêtées en même temps, dans le cadre de la guerre menée par le pouvoir contre les islamistes. Mais si six d’entre eux sont de sensibilité islamiste (alors que six autres activistes sont en fuite), l’arrestation des deux officiers obéit à d’autres motivations : les deux hommes auraient été dénoncés après avoir critiqué le régime, affirment des sources proches de l’opposition. (Source : TTU MONDE ARABE (LETTRE HEBDOMADAIRE D’INFORMATIONS STRATÉGIQUES – France), N° 612 – 16 JUILLET 2009)


 

الحملة الدولية لحقوق الإنسان بتونس International Campaign for Human Rights in Tunisia icfhrt@yahoo.com Tel: (0044) 2084233070- 7903274826

Appeal to the Turkish authorities to release Tunisians detainees

London: 2009-07-18 The political activist Safi Ben Fraj continues his hunger strike for more than 40 days in a refugee detention centre in Turkey to protest against the harsh conditions of detention and ill-treatment meted out by agents of the Centre, and to enable him to claim asylum in one of the European countries after the decision of the United Nations to grant him the status of a refugee in February 2008. Malek Acharahili, another Tunisian political activist who has been living in Turkey for years, is also in a similar position as he has been detained since 12 April 2007 and his plight continues to date. The International Campaign for Human Rights in Tunisia, while expressing support to Mr. bin Faraj in his hunger strike, appeals to the Turkish authorities to release him and Mr. Malik Acharahili, as there is no justification for their arrest after a Turkish court cleared them of charges of terrorism and the United Nations granted them the right to political asylum. International Campaign for Human Rights in Tunisia Ali Ben Arfa


Chers lecteurs,

Le numéro 114 de Mouwatinoun organe du Forum Démocratique est maintenant disponible chez votre marchand de journaux.

Vous pouvez visualiser la totalité de son contenu à partir de dimanche en cliquant sur ce lien :http://www.fdtl.org/IMG/pdf/mouwatinoun_114.pdf Pour les internautes se connectant depuis la Tunisie, il est fort possible que l’accès à notre site soit bloqué pour les raisons connues par tous. Dans ce cas, la seule manière de se procurer notre hebdomadaire est de le demander à votre marchand de journaux. Vous contribuerez ainsi à aider financièrement notre parti qui en a besoin dans ces temps difficiles. Merci aussi de diffuser l’info autour de vous. * La présence du journal dépend des préssions exercées sur distributeurs et/ou marchands de journaux. Cordialement, Le webmaster du FDTL (www.fdtl.org)


Invitation

Le Mouvement Ettajdid / section Mahdia a l’honneur et le plaisir de vous inviter à participer à la rencontre-débat animé par  le bâtonnier Abdessatar  Ben Moussa  et Samir Ettaïebsur les conditions politiques et juridiques dans lesquelles se déroulent  les prochaines élections et qui est organisé dans le cadre de l’Initiative Nationale pour la Démocratie et le Progrès et ce :

 

Samedi 18 Juillet 2009 à 18h00 à la maison de culture d’el MAHDIA

 


 

Le dernier modèle de Porsche dévoilé en Tunisie

 

AFP, le 16 juillet 2009 à 19h34 TUNIS, 16 juil 2009 (AFP) – Le dernier modèle du constructeur allemand Porsche a été dévoilé en avant-première mondiale en Tunisie, pays à fort potentiel de luxe malgré la taille réduite du marché. Confort et puissance (400/5OO CV) quatre sièges, quatre portes, la Panamera une « Porsche grand tourisme avec les technologies propres aux voitures sport » exhibée mercredi à Tunis fera l’objet d’un « grand show » samedi à Yasmine Hammamet, station balnéaire huppée (60 km de Tunis). Cet gamme qui compte trois modèles (Panamera S, Panamera 4S, Panamera Turbo) sera commercialisée en août en Tunisie, et à partir du 12 septembre dans le monde, a indiqué Eric Antoine, représentant de Porsche AG. Le partenaire local de la firme allemande table sur 50 commandes par an à partir de 250.O00 dinars l’unité pour la Panamera (170.000 euros), a indiqué à la presse son directeur Ibrahim Debache. Pour dix millions d’habitants en Tunisie, il compte 400 clients localement, et d’autres en Algérie et en Libye. La Tunisie a fortement réduit les droits de douane sur les voitures de luxe. Pour le représentant allemand Porsche AG « traverse la crise mieux que les autres en raison d’une présence étudiée sur tous les continents ».


Globalnet: Tunisie, la crise accentuerait l’exode des populations

Publié le vendredi 17 juillet 2009

Même si officiellement, la population tunisienne est homogène, avec 80 % de Tunisiens issus de la classe moyenne, dans les faits, les disparités demeurent perceptibles entre les régions.

De fortes disparités en termes de niveau de vie continuent à exister entre quartiers aisés et quartiers périphériques des grandes villes ; zones rurales et zones urbaines ; régions frontalières et régions côtières. L’Etat n’a cessé de mettre en place une série de programmes de développement et/ou de solidarité en vue d’atténuer les disparités : « Programme de Développement Régional » (PDR) ; « Programme de Développement Rural Intégré » (PDRI) ; « Programme de Développement Urbain Intégré » (PDUI) ; « Fonds de Solidarité Nationale » (FSN) ; « chantiers nationaux ou régionaux » ; etc. Ces actions ne sont pas parvenues à venir à bout des disparités, notamment en matière de santé. Les disparités apparaissent d’abord au niveau des équipements sanitaires. Par exemple, dans le gouvernorat de Sousse, le nombre d’habitants par lit hospitalier ne dépasse pas 395 en 2007, alors que ce nombre atteint 986 dans le gouvernorat de Sidi Bouzid, soit un écart de 1 à 2.5. De même, dans le Grand Tunis, le nombre d’habitants par médecin se situe aux alentours de 600 en 2007 contre 3 000 habitants par médecin dans le gouvernorat de Kasserine, soit un écart de 1 à 5. Ces disparités s’illustrent également à travers les dépenses médicales des ménages. Selon l’enquête consommation réalisée par l’INS en 2005, ces dépenses médicales par personne et par an ont atteint 136 dinars dans le Grand Tunis, 134 dinars dans le Centre-est, 116 dinars dans le Nord-est, 108 dinars dans le Sud-est, 85 dinars dans le Sud-ouest, 82 dinars dans le Nord-Ouest, et 64 dinars seulement dans le Centre-ouest. Ces disparités risquent de s’amplifier en temps de crise, à cause notamment du repli de l’emploi dans le secteur « bâtiment et travaux publics ». Dès le début de la décennie en cours, l’emploi dans le BTP a eu tendance à marquer le pas à l’échelle nationale. Au cours du triennat 2004-2007, l’emploi dans ce secteur a accusé une baisse absolue dans plusieurs gouvernorats, et notamment dans les gouvernorats de Béja, Jendouba, Le Kef, Siliana, Mahdia, Kairouan, Kasserine, Sidi Bouzid, Gabès, Tataouine, Tozeur et Kébili. La crise pourrait accentuer cette tendance, suite à la régression des investissements non seulement dans le logement mais aussi dans d’autres activités entraînantes du bâtiment, telle l’hôtellerie. Ce qui retentira sensiblement sur les revenus des ménages résidant dans l’arrière-pays. Ceci est de nature à pousser de nombreux ménages à déserter définitivement les régions intérieures du pays, et à aller s’entasser anarchiquement dans les périphéries des grandes villes côtières. L’emploi dans l’ « artisanat et des petits métiers » est, lui aussi, en repli. L’inondation du marché local par les produits bon marché, provenant du sud-est asiatique, a provoqué une crise de l’artisanat et des petits métiers, naguère source de revenus pour un grand nombre de ménages. Ce phénomène s’est manifesté dans différents gouvernorats, plus particulièrement dans ceux où l’essentiel de l’activité manufacturière est basée sur l’artisanat et les petits métiers : Béja, Jendouba, Le Kef, Siliana, Mahdia, Kairouan, Kasserine, Sidi Bouzid, Gabès, Médenine, Tataouine, Gafsa, Tozeur et Kébili. En période de crise, les emplois salariés générés par les industries manufacturières ne permettent plus de compenser, du moins partiellement, les énormes pertes d’emplois dans l’artisanat et les petits métiers. La crise de l’artisanat contribuerait à éroder sensiblement le revenu d’un grand nombre de ménages, et accélérerait l’exode des populations vers les zones côtières. Les transferts de l’émigration risquent, eux aussi, d’être affectés par la crise. Jusqu’à une date récente, un grand nombre de ménages des régions de l’intérieur bénéficiaient d’un important complément de revenu, provenant de leurs parents travaillant à l’étranger. Or, en période de crise, cet apport de l’émigration risque de s’étioler.. La compression des transferts des émigrants se répercuterait négativement sur le revenu des ménages tunisiens, et plus particulièrement ceux de l’intérieur du pays. En somme, la crise pourrait accentuer la pauvreté dans les zones marginales du pays, appelées couramment « zones d’ombre ». Elle pourrait donc déplacer les contraintes sanitaires des « zones d’ombre », en majorité rurales, vers les périphéries marginales anarchiques des grandes villes. D’où l’intérêt d’accorder plus d’importance aux programmes de soutien et de prévention non seulement des « zones d’ombre rurales », mais aussi et surtout des quartiers anarchiques des grandes villes.

Synthèse de Gnet

*Ce sujet a été développé par Hassine Dimassi, économiste, dans sa communication : « Risques et défis de la crise sur les populations vulnérables ».

Commentaires (4)

Le maghreb!! Ecrit par Tounsi, le 17-07-2009 14:13 Premièrement, je veux savoir si kelkin du gouvernement lise nos commentaires, puisque malheureusment (je parle de moi même) on a que cet espace pour s’exprimer et connaitre l’autre Tunisie.  La solution pour ces zones d’ombre est le maghreb uni, la Tunisie avce un budget de 15B$ ne voit pas une rentabilité d’invetissement, il faut être clair, ce n’est pas rentable d’investir là bas, je suis d’accord , mais l’Etat n’étant pas une entreprise !!  Donc il faut ouvrir les frontières avec l’Algérie et le Libye, on n’a pas d’avenir sans elles en crise ou en prospérité !!!

racisme e injustice Ecrit par sudiste, le 17-07-2009 12:24 Le problème ne date pas d’hier.En effet ce n’est que le revers de la medaille. Une politique raciste excercée depuis bourguiba, on nous parle d’investissement au centre et au sud, mais vous vous fouttez de la geule de qui??  regardez un peu les projets et l’argent qu’on met a sousse monastir et tout le sahel ainsi qu’a tunis et comparez le avec ce qu’on met dans les autres regions.  Bah moi je vous dit qu’il prennent l’argent des sudistes et centristes pour l’investir au sahel et a tunis pas de facultés pas de hopitaux meme pas un terrain de foot.  exemple flagrant deux facs de medecine a 30 km de distance monastir et sousse??? et une seule pour la moitié de la tunisie (sfax).  arretons le racisme et l’injuste et personnes n’ira voir ailleur.  A bon entendeur.

des materialistes Ecrit par baldaquino, le 17-07-2009 10:52 Crise ou non on aura toujours à faire au phénomène de l’exode, la cause d’un tel problème n’est pas à imputer exclusivement aux facteurs économiques mais la cause principale c’est que ces gens n’aiment pas leurs bleds, ils les détestent, pour eux les cotes sont l’eldorado, ils y migrent et ils laissent tout en arrière, il y’a ceux parmi eux qui ne visitent même pas leurs mères, quand ils arrivent dans les villes côtières ils se mettent à remplir les poches sans se tenir à aucune règle, tout les moyens sont bons selon eux tant que ça leurs permettent de prendre une part du gâteaux(bou mendil, charles de gaule…).   Par exemple la capitale pour eux n’est pas une capitale dans le sens urbain mais c’est un capital, le capital, chiffre d’affaire!!! voila je parle de finance, en fait pour eux Tunis n’est qu’une caisse, un rapport similaire est loin d’être humain, en fait ils n’aiment pas Tunis, ils ne la respectent pas, qu’elle soit propre ou non, qu’elle soit verte ou non, ça ne les importent guère, c’est pour ça que notre capitale peine à être aussi propre que les capitales étrangères.   remarque:   un médecin originaire de centre ouest(son bac il l’a pris là bas) à peine diplômé, tu lui demande: ou veut tu travailler? il te dira la capital, tu lui demande encore: pourquoi pas à ton bled? il te répondra: les gens là bas n’ont pas besoin de docteur.

quels solutions pour faire face Ecrit par mouwatin, le 17-07-2009 10:23 que proposeriez vous comme solution pour faire face à ces risques de la crises… point de vue d’un economiste. merci

(Source: « gnet.tn » le 17 juil. 09)

lien: http://www.gnet.tn/temps-fort/tunisie-la-crise-accentuerait-lexode-des-populations/id-menu-325.html

 

Les touristes algériens en Tunisie dépensent environ 500 dollars par semaine selon des estimations officielle tunisiennes.

 
vendredi 17 juillet 2009. Le touriste algérien est classé en Tunisie parmi les plus dépensiers puisque l’algérien dépense pas moins de 500 dollars par semaine , ce qui le classe parmi les clients les plus importants notamment après la régression du tourisme à cause de la crise financière mondiale. Selon de rapports tunisiens, le nombre de touristes algériens visitant la Tunisie atteint 1,2 millions de touristes , un chiffre qui place l’algérien comme revenu important en devise. L’intérêt des autorités tunisiennes s’est reflété par un changement de conduite aux frontières puisque les algériens sont maintenant chaleureusement accueillis avec facilitation de l’accès et du contrôle qui ne prend plus trop de temps. Selon nos sources, la police frontalière et les services de douanes de la Tunisie ont reçu des directives pour faciliter le passage des algériens, que le nombre de touristes algériens est revue à la hausse avec 85% d’entre eux qui prennent la route notamment le passage de Oum Atouboul qui enregistre une affluence de 6000 algériens par jour. Les chiffres révèlent que 65% des algériens qui voyagent vers l’étranger traversent vers la Tunisie qui est un point de passage pour plusieurs commerçants algériens en plus d’un bon nombre d’immigrés algériens résidant de l’UE.   Synthèse de Samir, www.algerie-dz.com D’après Echorouk

 (Source: « algerie-dz.com » le 17 juillet 09)

Lien:http://www.algerie-dz.com/article17375.html


Tunisie: Le président de la Chambre des députés marocains – La Tunisie, un modèle à suivre en matière de démocratie et de stabilité

17 Juillet 2009

TunisM. Mustapha Mansouri, président de la Chambre des députés marocains, qui effectue une visite officielle en Tunisie du 15 au 18 juillet, s’est félicité de l’évolution constante des relations tuniso-marocaines, réaffirmant la détermination des deux pays à dynamiser davantage ces relations

Mustapha Mansouri, qui s’est entrtenue avec M. Abdallah Kallel, président de la Chambre des conseillers de Tunisie, a indiqué que la Tunisie qui a acquis une expérience avant-gardiste dans le domaine du développement à tous les niveaux, constitue un modèle à suivre en matière de démocratie et de stabilité. Il a souligné le rôle de l’institution parlementaire et des parlementaires dans les deux pays dans la consolidation de la coopération bilatérale au service des intérêts communs et de manière à réaliser la complémentarité maghrébine et à accélérer l’édification de l’Unité du Maghreb qui constitue un choix stratégique constant en Tunisie et au Maroc.  

(Source: « allafrica.com » le 17 juil. 09)

lien: http://fr.allafrica.com/stories/200907170507.html


 

INTERVIEW-Morocco wants leading role in European solar plan

 
Thu Jul 16, 2009 2:51pm GMT * Plan would bring Morocco jobs, cut energy dependence * Aims to pass law to ease inward renewables investment * Already identified sites for solar fields By Tom Pfeiffer RABAT, July 16 (Reuters) – Morocco welcomes a European plan to draw solar power from the Sahara and wants a leading role in the project, which is worth up to 400 billion euros ($564 billion), the head of its renewable energy agency said. The Desertec initiative launched this week in Germany could allow Europe to source 15 percent of its power from mirrors that gather sunlight in the vast southern desert by 2050. The mirrors would concentrate the sun’s rays to boil water and power turbines, generating electricity without emitting the greenhouse gases blamed for global warming. « We want to be among the leading countries in this project, » Said Mouline, managing director of Morocco’s Renewable Energy Development Centre (CDER), told Reuters in an interview. « Morocco wants to go quicker than others. » He said the project would create much-needed investment and jobs for Morocco and would reduce the north African country’s heavy reliance on imported fossil fuels. European analysts have raised questions over the ability of Maghreb countries to host an ambitious project that would eventually require deep cross-border cooperation. Morocco, Algeria, Tunisia and Libya pledged to create an economic union two decades ago this month but trade between them remains the lowest of any region of the world. Threats by Al Qaeda-aligned militants in Algeria to attack European interests underline the risk of installing vital infrastructure in countries suffering from widespread poverty and social tension. Morocco is the poorest of the European Union’s southern neighbours but one of its closest allies in the region. It has a history of political stability and reforms to improve its business environment have led to record inward investment. Mouline said Morocco had set up a $1 billion fund to support renewable energy and energy efficiency projects. He said the government hoped to pass a law by September that would create a framework for deeper cooperation in renewables. Foreign firms would be able to make solar power in Morocco for export via the existing network or dedicated power lines. « We can start with small projects of 100 megawatts (MW) costing around $200 million and slowly it will grow — that is the advantage of renewables, » said Mouline. He said Morocco’s powerful sunlight would give investors more return for their investment than in neighbouring Spain. « Our power plants would produce 30 percent more energy than Spain’s over the year for the same surface, » said Mouline. Spanish firm Abengoa is already building the world’s biggest power station fed by a mixture of combined-cycle gas and solar mirrors placed over 60 hectares near Morocco’s border with Algeria. Mouline said Morocco had identified other sites for solar ray installations in Errachidia, Ouarzazate and Taroudent, towns just south of the High Atlas mountains bordering the Sahara. And he said new industrial zones being established in Morocco would offer big competitive advantages for producing the thousands of solar mirrors needed for Desertec. Local production would cut transport costs and create much-needed jobs, helping address the poverty that led millions of Moroccans to migrate to Europe. « Making mirrors is not complex, » said Mouline. « There are new technologies that have cut the cost and use less glass… More work here means lower unemployment and less emigration. » (Editing by Jon Boyle)  


 

Istanbul : manifestation contre l’Allemagne après le meurtre d’une Egyptienne

 
AFP, le 17 juillet 2009 à 17h24 ISTANBUL, 17 juil 2009 (AFP) – Environ 150 personnes ont manifesté vendredi devant le consulat d’Allemagne à Istanbul pour protester contre l’attitude de l’Allemagne après l’assassinat d’une Egyptienne voilée dans un tribunal allemand, a constaté un photographe de l’AFP. « Allemagne fasciste », « maudit soit l’impérialisme occidental », ont scandé les manifestants, qui agitaient un drapeau allemand sur lequel étaient dessinés une croix gammée et une étoile de David. Le groupe, qui portait un faux cerceuil arborant une photo de Marwa el-Sherbini, une Egyptienne de 31 ans, assassinée le 1er juillet par un Allemand d’origine russe dans un tribunal de Dresde (est de l’Allemagne), a déposé une gerbe noire devant le consulat. La jeune femme, enceinte de trois mois au moment des faits, était venue témoigner au tribunal après un incident qui l’avait opposée au même homme sur une aire de jeux pour enfants. Il avait traité la jeune femme, qui portait le voile, d' »islamiste », de « terroriste » et de « salope ». Le meurtre, qui n’a attiré l’attention des médias et des politiques en Allemagne qu’une semaine après les faits, a suscité une très vive émotion en Egypte. Il a aussi donné lieu à une manifestation devant le consulat d’Allemagne à Téhéran. AFP

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