29 mars 2009

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TUNISNEWS

8 ème année, N° 3232 du 29.03.2009

 archives : www.tunisnews.net  

Journée de Soutien aux Matroudine AFP: Tunisie: l’ex-président d’Ennahdha se dit victime d’un procès d’opinion AP: Tunisie: en grève de la faim depuis 46 jours, cinq étudiants dans « un état grave », selon un médecin AFP:  Tunisie : approbation d’un accord préférentiel de commerce avec l’Algérie Xinhua: Le président tunisien participe au sommet arabe de Doha Slim Bagga: Traitre, et je le revendique Dr.Sahbi Amri: A Kouchner : Ce médecin – vraiment – sans frontières morales…

Mizaanoun: Une vérité dite par un imposteur…


Liste actualisée des signataires de l’initiative du Droit de Retour : http://www.manfiyoun.net/fr/listfr.html Celles et Ceux qui veulent signer cet appel sont invités à envoyer leur: Nom, Pays de résidence et Année de sortie de la Tunisie sur le mél de l’initiative : manfiyoun@gmail.com


 

Comité de Soutien aux Etudiants grévistes de la Faim www.matroudine.fr.vc matroudine.solidarite@gmail.com
Fédération des Tunisiens pour une Citoyenneté des deux Rives www.ftcr.eu ftcr2@wanadoo.fr

Journée de Soutien aux Matroudine

du 28 mars 2009 47ème Jour de grève de la faim des 6 Etudiants de  l’ UGET

Le Comité de Soutien aux Etudiants grévistes de la Faim et la  Fédération des Tunisiens pour une Citoyenneté des Deux Rives ont organisé samedi 28/03/2009 une journée de solidarité avec les étudiants grévistes de la faim (matroudine) : 11H00 – 13H00 : –          Lors d’un rassemblement devant le Consulat de Tunisie à Paris le Comité a distribué son dernier communiqué (N°4) et a fait signer une pétition dénonçant l’attitude des autorités à leur égard et soutenant leur cause. –          Un membre du Comité a pris la parole pour exposer la situation aux participants au rassemblement les invitants à soutenir les grévistes. L’intervenant a insisté sur la répression que subissent les militants de l’UGET, sur la légitimité de leurs revendications et sur la nécessité grandissante d’intensifier la solidarité avec eux surtout que leur état de santé est de plus en plus grave.  14H00 – 18H30 : –          Le Comité a organisé une rencontre dans le siège de la FTCR durant laquelle les participants ont regardé des extraits de la conférence de presse que les grévistes ont donné. Une discussion suivie d’une réunion de travail a eu lieu après. –          Lors de la rencontre-débat, les participants ont évoqué la nécessité d’intensifier les expressions de solidarités avec les matroudine (les exclus) ainsi que les possibilités de collaborer avec notamment les syndicats étudiants et les organisations de jeunesses. –          Les participants ont décidé d’organiser une deuxième Journée de Solidarité avec les matroudine dans les jours qui viennent. Des informations plus détaillées seront données au fur et à mesure sur le programme.   –          Se sont associés à la rencontre-débat des participants au rassemblement qui, intéressés par la cause des étudiants grévistes de la faim, ont participé à la rencontre en exprimant leur volonté de contribuer aux actions du Comité. La réalisation de cette journée de solidarité a été étroitement préparée par le Comité de Soutien aux Etudiants grévistes de la Faim et la Fédération des Tunisiens pour une Citoyenneté des deux Rives. Tous les deux lancent une invitation ouverte aux organisations démocratiques pour soutenir les matroudine et leur exprimer toute les expressions de solidarité. Paris le 28/03/2009 A l’heure où se communiqué est rédigé, nous venons d’apprendre que le site de soutien aux grévistes de la faim www.matroudine.fr.vc n’est plus accessible depuis la Tunisie.

 

 

Tunisie: l’ex-président d’Ennahdha se dit victime d’un procès d’opinion

AFP le 28 mars 2009

TUNIS (AFP) — L’ancien président du mouvement islamiste tunisien interdit Ennahdha (Renaissance), Sadok Chourou, jugé en appel samedi pour « association illégale », a affirmé être poursuivi pour « ses opinions » dans un « procès politique » visant à le réduire au silence.

Coiffé d’une chéchia rouge, l’opposant s’est longuement défendu devant la Cour d’appel de Tunis pour contester sa condamnation en première instance à un an de prison le 13 décembre 2008 pour « maintien d’une association illégale », en l’occurrence Ennahdha.

Sadok Chourou, 61 ans, est poursuivi pour avoir « repris des activités, renoué le contact avec ses partisans et parlé au nom du mouvement interdit » peu de temps après sa libération conditionnelle, qui avait mis fin à 18 années de réclusion.

Ces accusations reposent sur des déclarations diffusées par le site « islamonline » et la télévision Al-Hiwar (Le Dialogue, Londres), auprès desquels M. Chourou s’était exprimé sur la situation politique et s’était plaint de torture durant sa détention.

Samedi, il a indiqué avoir été interdit par la police d’organiser une réception à son domicile pour fêter sa sortie de prison, en novembre 2008.

La création de partis sur des bases religieuses est interdite par la loi tunisienne.

M. Chourou a revendiqué son adhésion idéologique au parti Ennahdha dissous, et a défendu son droit d’expression. Il a démenti avoir entrepris la restructuration de son parti mais confirmé souhaiter le voir un jour participer « légalement » à la vie politique.

Une cinquantaine d’avocats de la défense ont plaidé l’acquittement, dénoncé un « procès politique » et estimé que leur client était jugé pour des motifs « sans fondement » et pour « ses opinions ».

La cour doit rendre son verdict le 4 avril.

Physicien universitaire, Sadok Chourou a dirigé Ennahdha après l’exil volontaire de son chef Rached Ghannouchi en 1988, avant d’être condamné à la réclusion à perpétuité en 1991 lors des procès ayant suivi le démantèlement du mouvement islamiste.

Il fait partie des derniers opposants libérés parmi les partisans d’Ennahdha, parti accusé de complot contre le pouvoir et qualifié d' »organisation extrémiste interdite qui prône l’atteinte aux biens et aux personnes pour réaliser ses objectifs ».


 

Tunisie: en grève de la faim depuis 46 jours, cinq étudiants dans « un état grave », selon un médecin

AP | 28.03.2009 | 19:24 Cinq étudiants tunisiens observent une grève de la faim depuis 46 jours pour protester contre leur renvoi « arbitraire » et réclamer leur réintégration dans leurs facultés. Le Dr Dridi Hamida, qui a été à leur chevet, juge leur état « grave ». « Ils sont en train de frôler la mort sans s’en rendre compte », s’alarme-t-elle. Dans un rapport médical, deux autres praticiens, les Dr Ahlem Belhaj et Sami Souihli, font état notamment d’une altération de l’état général des grévistes âgés de 23 à 27 ans, d’une asthénie profonde, et de déshydratation. Selon les autorités, les grévistes, qui appartiennent à l’Union générale des étudiants tunisiens (UGET), ont été renvoyés après avoir été traduits devant les conseils de discipline de leurs facultés respectives et « bénéficié de leur droit de défense, certains ayant été assisté par des avocats ». Il leur était reproché des violences verbales et physiques sur des membres du corps enseignant, l’agression et la séquestration de doyens et des « entraves répétées » au déroulement des cours. « Nous avons été renvoyés en raison de nos activités syndicales », soutiennent quant à eux les grévistes. Une version jugée « sans fondement » par les autorités. Considérant qu’ils étaient « victimes d’injustice », ils se disent déterminés à poursuivre leur grève de la faim illimitée, malgré leur état de santé précaire. AP
 

 

Tunisie : approbation d’un accord préférentiel de commerce avec l’Algérie

 
Par  AFP , le  28/03/2009  |  Le président tunisien Zine El Abidine Ben Ali a promulgué samedi une loi approuvant un accord commercial avec l’Algérie, le premier du genre entre ces deux pays du Maghreb, a indiqué l’agence tunisienne TAP. M. Ben Ali a recommandé au gouvernement d’en « tirer le meilleur profit » de façon « à renforcer davantage les liens solides et promouvoir la coopération » entre Tunis et Alger, a ajouté l’agence. L’accord, conclu en décembre dernier lors d’une visite à Tunis du Premier ministre Ahmed Ouyahia, concerne trois listes de produits pour lesquels les deux pays s’accordent des avantages tarifaires similaires à ceux qui régissent leurs échanges avec l’Union européenne. Il s’agit d’une exonération douanière partielle et progressive sur cinq et dix ans selon l’accord, qui comporte également une clause contre la concurrence déloyale. En pourparlers depuis deux ans et très attendu dans les milieux d’affaires, cet accord vise à dynamiser le commerce bilatéral (500 millions USD en 2008) et instaurer à terme le libre-échange entre ces deux pays membres de l’Union du Maghreb Arabe (UMA, Algérie, Libye, Maroc, Mauritanie et Tunisie). Cet ensemble peine à réaliser son intégration économique avec un niveau de commerce régional parmi les plus faibles de la planète, représentant 3% des échanges des cinq pays qui le composent.

 

Le président tunisien participe au sommet arabe de Doha

 2009-03-29 07:08:12      TUNIS, 28 mars (Xinhua) — Le président tunisien Zine El  Abidine Ben Ali participera au sommet arabe, prévu lundi, a  annoncé samedi le porte-parole officiel de la présidence  tunisienne.       Dans une déclaration rapportée par l’agence de presse  officielle tunisien TAP, le porte-parole officiel de la présidence tunisienne a souligné que le président Ben Ali se rendra au Qatar  pour participer aux travaux de la 21ème session du sommet arabe et au deuxième sommet des pays arabes et des pays d’Amérique latine,  qui se tiennent à Doha.       Le 21e sommet de la Ligue arabe sera convoqué lundi prochain à Doha et s’achèvera mardi dans l’après-midi.       Samedi, les ministres arabes des Affaires étrangères se sont  réunis à Doha pour mettre la touche finale au programme du 21e  sommet arabe.


TRAITRE, ET JE LE REVENDIQUE

 
par SLIM BAGGA
 
N’en déplaise à ceux qui font feu de tout bois, je vais apporter mon soutien à Bernard Kouchner, en devançant les mercenaires à la solde d’un régime tyrannique. Oui, je suis traitre. Traitre à Ben Ali, traitre à Leila, traitre à une caste de pourris dont le temps est plus que jamais compté.
Traitre surtout  aujourd’hui au premier exécuteur d’un complot contre le peuple tunisien, contre la presse, contre la vérité: cet homme est Abdelwaheb Abdallah, si miniscule en taille en apparence et si grand en coups bas. Je le comprends puisqu’il il ne doit sa longévité qu’à sa félonie. Il doit donc servir son seul fonds de commerce.
A priori, rien ne devrait justifier ce qu’on appellerait dès aujourd’hui « une attaque gratuite » contre quelqu’un que rien ne prédestinait aux hautes responsabilités. Mais il se trouve que l’excellent prof que je connais est un piètre politique, un nullissime stratège. Ce qui fait que je peux dire sans culpabiliser que j’ai honte d’avoir été son étudiant.
Etudiant, j’en fus fier; mais journaliste j’ai découvert sa lâcheté, son ambition démesurée, sa platitude devant un Général assasssin et sa révérence à une famille venue de rien, les Trabelsi, en l’occurrennce…
De quelqu’un qui a trahi Bourguiba pendant que son seul rôle se limitait à lui faire la lecture de la presse tous les jours à 16h, que peut-on attendre et que peut attendre l’opinion tunisienne et internationale? J’avoue que cette question me travaille quand je pense à mon pays colonisé de manière interne par une mafia.
Et jusque là, ce qui distingue mes enseignants arrivés aux plus hauts postes, c’est leur détermination dans la sauvegarde d’un minimum de principes.
Alors, oui; j’ai eu pour enseignant Larbi Chouikha, Hichem Skik et Alya, Mohamed Charfi, Sana Ben Achour, Moncef Ben M’Rad; et je n’ai pas à rougir. J’ai eu aussi Dali Jazy, Habib Slim, Abdelfattah Amor et beaucoup d’autres dont ma mémoire évacue jusqu’aux noms, et qui font honte.
J’ai eu surtout Abdelwaheb Abdallah que ma monscience m’interdit de ménager, aussi puissant soit-il.
Je profite de sa bêtise pour annoncer que je ne me tairai plus. Son dernier communiqué traitant Bernard Kouchner de tous les noms d’oiseaux, et l’arrogance du texte défiant le
patron du Quai d’Orsay à apporter la moindre preuve qu’il y ait eu un seul journaliste emprisonné durant ces vingt dernières années ni le moindre opposant harcelé m’offre un plateau en or pour répondre, par respect de tous les opprimés.
 
A propos de journalistes: Que votre fête commence?
 
1/ Omar S’habou, directeur du  » Maghreb » n’a pas été emprisonné en 1990 pendant près d’un an? C’était pourtant à votre retour de Londres pour prendre en main l’information à partir du Palais!!! TROU DE MEMOIRE, sans doute!!!
 
2/ Hammadi Jebali, Abdallah Zouari ne sont toujours pas quasiment en prison après plus d’une décennie dans l’enfer de votre maître!!!
 
3/ Sahnoun Jouhri n’est pas mort en décembre 1995 sous la torture? Et Lassaad son frère vit en paix!!!
 
4/ Le correspondant de l’AFP n’a pas été arrêté , malmené en 2000!!!
 
5/ Sihem Ben sedrine n’est pas resté 60 jours en prison en 2001 pour avoir évoqué le  trafic de cigarettes en contrebande avec l’Algérie d’un Trabelsi!!!
 
6/  Son siège de « Kalima » n’a pas été dévasté de multiples fois!!!
 
7/ Le journaliste Ryadh Ben Fadhl n’a pas reçu un coup de révolver à Carthage après son article sur « Le Monde diplomatique ». Ben Ali avait juré ses grands dieux de l’enquête. Où en est-elle 9 ans plus tard?
 
8/ Taoufik Ben Brik n’a rien subi; et sa grève de la faim était du pipeau. Sa femme, Azza Zarrad , journaliste aussi, n’a rien subi non plus!!!
 
10/ Jean-Pierre Tuquoi du « Monde » est le bienvenu à Tunis. Ce n’est pas vous-même qui avez contacté l’Elysée pour mettre un point d’honneur à ce qu’il n’accompagne pas le président français dans une visite officielle!!!
 
11/ Christophe Boltansky, ex- « Libération » et à présent « Le Nouvel Observateur » n’a pas été agressé à Tunis!!!
 
12/ Une voiture de flics tunisiens n’était pas planquée devant le domicile de Nicolas Beau entre septembre et octobre 1999, à la veille de la parution « de Notre ami Ben Ali »!!!
Stop ou encore? Allez une ou deux autres pour la route:
 
13/ Slim Boukhdhir n’a pas été libéré de prison cet été 2008. Il était quelque part dans votre sombre paradis!!!
 
14/ Zakia Dhifaoui n’a rien subi non plus;,
 
15/ Quant Om Ziad et son mari, député, M. Jallali, ils vivent une vie de journaliste et de député libres. Ils n’ont pas été touchés par un accident politique de la circulation.
 
Il n’y rien de tout celà, Monsieur le ministre menteur, imposteur, et je dirais esclave de son ambition. Il n’ y a rien de tout cela. Même ma riposte n’existe pas. Tous ces faits se  sont passés au Botswana, pas en Tunisie.
 
 
MAINTENANT LES PREUVES DE HARCELEMENT D’ OPPOSANTS ET DE MILITANTS
 
1/ Khemais Chammari n’a pas été fouillé au corps à l’aéroport. Jamais!!!
 
2/ Sa fille Fatma et son épouse Alya n’ont pas gardé la minerve après une course sur la route et une queue de poisson?!!!
 
3/ Les photos d’yeux au beurre noir de Sihem Ben Sedrine ou de Radhia Nasraoui, publiées par « L’Audace » sont un montage de moi!!!
 
4/ Le siège du domicile de Me Mohamed Nouri est une invention!!!
 
5/ La libre circulation de Maitre Mohamed Abbou est assurée!!!
 
6/ C’est au Botswana que la presse à vos ordres  a traité son épouse de femme aux moeurs légères!!! La vôtre est d’une pureté… J’y reviendrais.
 
7/ Le juge Yahyaoui est un salaud!!!
 
8/ Maitre Matar est un escroc!!! Il ne s’agit de votre ami Jammali en France, un escroc notoire, et je mesure mes mots!!! J’y reviendrai aussi…
 
9/ Les cinq juges femmes sont des salopes, des menteuses après avoir osé dénoncé l’état des lieux le 8 mars!!!
 
10/ Les étudiants entre la vie et la mort, vous vous en foutez. Ils n’appartiennent pas « à la race aryenne », que dis-je benalienne de purification!!!
 
11/ Moncef Marzouki est fou et même violeur de femmes!!!
 /
12/ Mustapha Ben Jaafar, traitre pour avoir discuté avec des parlementaires avec « sa prudence » habituelle!!!
 
13/ Maître Patrick Baudouin, président d’honneur de la FIDH est reçu dans votre pays avec égard, tout comme Robert Ménard,hebbi de RSF!!!
 
14/ Madame  Souhair Belhassen n’est pas trainée dans la boue!!!
 
15/ Néjib Chebbi, Rachid Khechana ne sont pas la cible de la presse qui porte votre signature plaire à vos dieux (EL Hadath, Kol Ennas, EchourouK; Biladi etc. sans oublier les sites internet…
 
Il est tout de même drôle qu’il n’arrive les plus gros ennuis qu’à ceux qui contestent le régime dont vous êtes le théoricien.
 
Restent les dernières preuves. Photos à l’appui pour votre dessert
 
LE PROCUREUR DE LA REPUBLIQUE FRANCAISE A DES PREUVES
 
Alors venons à moi, « traitre » qui s’assume, dont tout le dossier est sur le bureau de L’Elysée, du Quai d’Orsay et du procureur de la République française, dans un pays où la loi a encore  un sens.
Dans les notes saisies du Général Rondot, en marge de l’affaire Clearstream, notes récupérées par le « Canard Enchainé », il est fait état du déplacement personnel de Mohamed Ali Ganzoui auprès de Rondot afin qu’il intervienne pour faire suspendre « L’Audace » à Paris. Abdelwaheb Abdallah n’était bien sûr pas au courant. Et Ganzoui ne l’a pas rencontré.
Manque de pot si Abdelwaheb (les preuves sont là, dans les fichiers du procureur). Et vous vous hasardez de manière arrogante à demander des preuves de harcèlement au ministre français!!! Mais, mo!nsieur, il les a les preuves!!! Vous les lui avez donnez vous-même.
Deuxième chose vécue par moi -même et sur laquelle je ne me suis jamais étalé par respect pour ma femme .
Le frère de mon épouse, avocat, a été maltraité à l’aéroport de Tunis le 25 décembre 2008. Preuve? Un avion privé à bord duquel il y avait près d’une centaine de couples avec femmes et enfants, juges et  avocats à destination de Beyrouth pour le jour de l’an.
Cet avocat de Sousse, qui ne s’intéresse pas à la politique, issu d’une famille au dessus de tout soupçon a été ue fait-il? malmené, l’avion bloqué plus d’une heure devant des juges et les avocats à bord. Finalement, l’avion décolla. Juste un harcèlement.
Au retour de l’avion le samedi 3 janvier, rebelotte. Mais cette fois, invitation au ministère de l’Intérieur pour le lundi 5 janvier 2009.
 Et voilà le discours du régime de Abdelwaheb Abdallah qui veut des preuves, à mon beau frère: « Il faut que le mariage de votre soeur n’ait pas lieu. Dites à votre soeur qu’il faut tout annuler. On va ensemble à Paris, et on la sauvera de ce criminel ». 
Ainsi, Tunis allee subitement sauver une famille et une  femme d’un criminel à la veille d’un mariage prévu le 24 janvier, et les bans déposés à la mairie. Qui est le mari? Slim Bagga! Que fait-il? Traitre à Leila?  Dire non à Leila et à son écrivassier Abdallah , c’est un crime d’Etat. En effet!!!
J’ai donc prévenu le procureur de la République française qui a pris ses dispositions pour la cérémonie ,prendre en photo et même chasser 8 agents venus superviser le mariage qui a eu lieu à la date précise.
Ceux qui venaient superviser Moncef Marzouki, les vice-présidents du mouvement Ennahdha, M. Ahmed Bennour et plusieurs autres amis, ont été pourchassés par le procureur français, comme des voyoux…
 Les flics de Abdallah et son maitre Ben Ali ne savaient pas que je les attendais aussi, moi simple journaliste: si on veut les beaux visages de 8 flics devant la mairie du 16ème, samedi 24 janvier, le procureur français  et moi aussi les avons.
Je les fournirais aux lecteurs de Tunisnews pour dire à Ben Ali que ces flics sont des petits cons. Et que Abdelwaheb est le roi d’entre ces derniers…
 
Bientôt des preuves sur le système Abdalllah; signé de ma plume
A votre service, monsieur le ministre   Abdallah

 


A Kouchner : Ce médecin – vraiment – sans frontières morales…

 
Il se fait plus que certain que la médecine – telle la bonne musique – n’adoucit pas les mœurs uniquement, mais affute les consciences. Etre «médecin» est un «état d’être» et une «manière de concevoir la vie» La médecine, ne peut se porter telle cette éternelle blouse blanche, mais comme l’a dit si bien Piaf «te colle à la peau» je dirais plutôt «doit», elle doit te coller à la peau, du moment où nous constatons un décalage énorme entre le triste réel et la théorie «combien parfaite»… La médecine compte bien sur des infections pour pouvoir les éliminer, le PS aussi, il s’est laissé infecté/hiberné par celui qui avait bien un cœur à gauche (selon ses dires), mais le portefeuille du côté de Libreville sur Seine, tellement le Gabon peut – si un géographe est myope – se situer au «faubourg» d’une morale atlantiste par les gènes (génotype) et socialisante par apparence (phénotype)… Certes, Docteur, on vous reconnaît cette gueule d’acteur à la «Douglas», et ce verbe à la «tirade parfaite», mais tel ce cinéma hollywoodien, l’image ne sert que de mage, uniquement pour les débiles et ceux qui portent une prédisposition à une «atlantisation» précoce. La France, la votre, celle qui se «fantasme» un strapontin actuel (ou disons presque) en «trône» d’antan, doit de temps en temps au moins redescendre sur terre et retrouver la réalité réelle, où elle ne peut prétendre dans ce théâtre des Nations qu’au rôle de ce «suiveur» de Don Quichotte, même si l’âne de service est presque de force à tirer cette fameuse «charrette du Président»… La France, Monsieur, a depuis belle lurette perdu son titre d’instit assermenté, elle ne peut que de temps en temps «tirer quelques cours particuliers» chez des «ignares d’un autre temps» qui ont toujours en refrain cette «France éternelle et tous ceux qui sont – inutilement – morts pour elle» Un institut de votre race, ne peut prétendre à la cours des grands, certes, le passé compte, la frime le porte, mais le réel l’emporte toujours. Le miroir de la France est tellement sali qu’elle a pris un «Président nu de moral»… Nous pouvons – nous arabes, les rois des la générosité – jouer les borgnes et faire semblant d’avaler votre couleuvre de toujours, mais – mille excuses – nous ne pouvons jouer aux aveugles et accepter de prendre ce bourricot pour un étalon de course !!!! Nous ne pouvons prétendre que notre Tunisie est cette «oasis de paix», mais aussi nous ne pouvons accepter de la part de quiconque de la rendre – ou plutôt de la prendre – pour cet «enfer», surtout de la part d’un médecin qui – il faut le rappeler – vit, respire et même pratique la politique sous serment !!! Certes, Monsieur, on vous reconnaît – l’histoire ne peut l’omettre – ce rôle de créateurs de MSF, mais faut-il rappeler que si un médecin veut bannir les frontières, il doit encore et toujours, et je dirais éternellement, porter une frontière étanche entre le moralement acceptable et ce devoir sacré de ne pas mentir, ou essayer de travestir la vérité, tellement ton président, joue actuellement bien – et même très bien – ce créateurs de costumes des autres, et un piètre bonimenteur de circonstances… Aussi, Un médecin qui sait ausculter, doit savoir – en toutes circonstances – scanner la vérité et nullement se laisser berner par des «corbeaux» que la «Piscine» a mal dressé/nourri… Un médecin est avant tout ce «décideur» que seule sa conscience guide, mais s’il finit par des truchements et de tricheries à confondre une grippe simple à une typhoïde, il ne se fait pas mal uniquement, mais a mal diagnostiqué son mal !!! Moi-même médecin, je peux, je dirai plutôt je dois, car notre serment me pèse toujours et encore, vous ausculter – même de force, par réquisition – et vous prescrire, ce que je verrais de nature… Je constate bien une myopie mentale, une insuffisance psychologique et surtout une forme aiguë et encore mal connue de daltonisme politique, au risque – pour votre cas – de confondre les couleurs de votre étendard tricolore !!!  Certes, j’œuvre – pour votre cas – selon ta conscience et surtout la doctrine qui a toujours guidé vos pas, cette forme d’interventionnisme pour raison humanitaire… Le cas Kouchner serait certainement bien un cas de figure dans les annales de la médecine !!! Hallucination, psychose, irritation, nostalgie (coloniale), délire (gabonais), ambigüité, schizophrénie (politicienne), et que puis-je inventer d’autre au point de confondre le Quai à RFI : Malheurs en la demeure… Je constate pire encore, un médecin qui doit bien jouer aux échecs, se prend les pattes dans les échecs de pions tunisiens, qui rêvent depuis des décennies de faire les fous et surtout de s’inventer des tours d’un ivoire de camelote !!! Cher confrère, un bon joueur doit choisir ses pions et les affuter, bien les nourrir et surtout les faire entrainer à bien trainer «la charrette du Président»… Tellement les mules se font chères et rares chez vous. Pourquoi – mondialisation oblige – ne pas se fournir en bourricot «Made in chez nous» ??? Ils sont de bonne race, savent mordre la main qui les a nourri et essentiellement jouer à la girouette et devancer les vents au point que les services de météo peinent à les recruter… Ils savent marcher à la baguette de l’euro, sans oublier une conversion rapide aux autres monnaies. La France a conclu un affaire certaine en les recrutant, ils savent cultiver le pavot politique et le faire écouler en monnaie de – mauvais – singe… Le marketing – made in chez vous – ne paye plus de mine, Aznavour avait bien raison, la politique de votre temps n’est plus la politique et la dérobade est vraiment débordée… Ce journaliste du «R.V.F» (comprendre Radio de Votre Femme) nous donne bien une belle leçon de démocratie et de droit d’expression, on est bien libre de mourir de bassesse ou de finir à la guillotine de votre bistouri… La France peut nous vanter Versailles, la cours de ce Roi-Soleil, (re)inviter ce Napoléon de paille, ou même prétendre aux «bienfaits du colonialisme», mais ne peut telle cette poule de batterie prétendre dilater sa «machine productive» autant que puise le faire une poule de basse-cour. Cette Madeleine Korbel Albright a bien éduqué son poulain, il joue bien à l’arc-en-ciel, une intervention au Darfour, une parole douce pour la Géorgie , sans oublier un motus fracassant pour les enfants de Gaza, qui avaient bien besoin en vous d’un toubib qui – ils insistent bien – doit reprendre ses frontières (morales)… Cher Confrère, vous ausculter serait toujours un devoir… Un plaisir, je ne pense pas !!! Dr.Sahbi Amri 35, Rue des bosquets. Cité Bouchoucha Le Bardo 2000, Tunis Portable : 00.216/25222751 – 00.216/23222751 Moha90fr@yahoo.fr


Une vérité dite par un imposteur…

Par Mizaanoun

Au début de ce printemps, en cette fin du mois de mars (le 24 et le 25) on a assisté un bref « rifirrafe », une petite bagarre verbale, entre un « légionnaire » français et les sinistres «mercenaires» de Tunis. Une rixe sans réellement aucune transcendance particulière sur le « temps printanier », qui dure depuis belle lurette entre le régime « solidement ancré » à Tunis et l’Élysée, et ce, indépendamment de la couleur de son locataire du moment.

Le légionnaire qui n’est autre que le célèbre « French Doctor » exerçant en l’actualité, et, à la fin de sa carrière politique, comme ministre des affaires étrangères de « l’American Sarkozy », a lancé des petites flèches orales, sans risque de faire un mal quelconque, en interpellant le régime de Tunis. Ainsi tel que le rapporte un hebdomadaire français, non moins célèbre pour son opportunisme et son mercantilisme pervers, et repris par les différents sites sur Internet comme « tunisnews », en ces termes : « Ils y a des atteintes de droits de l’homme, des journalistes tracassés, parfois emprisonnés, et une politique générale de fermeté. Je ne peux pas être d’accord avec ce qui contrevient à la liberté d’expression et d’association. Et je serai très heureux si les élections se déroulaient dans un climat de transparence et de compétition.»

La réaction de Tunis ne s’était pas fait attendre. Elle est toute une rhétorique calquée sur tant d’autres que le régime de Tunis brandit à chaque fois qu’il fasse l’objet de critique venant de la part d’un politicien, d’un journaliste ou d’un organisme occidental quelconque. Mais quand ça vient d’un autre côté autre qu’occidental ou bien, par mépris, il ne réagit même pas, ou alors il emploie des munitions de gros calibres. Surtout quand ça vient du côté d’une organisation arabe. Mais quand il s’agit d’un intellectuel musulman ou d’une organisation à caractère islamique, le régime emploie immédiatement les munitions les plus mortifères, les mêmes que celles employées par George W. Bush, Sarkozy. Et dans ce terrain là, c’est-à-dire l’essentiel, il n’y a aucun différent entre le régime, Kouchner et la revue française qui leur sert de tribune de «confrontation» d’idées.   

Quand le régime tunisien dit : « En effet, ses déclarations, à la revue française, sont malheureusement pour lui, bien loin d’être crédibles». Là on est absolument d’accord avec cette appréciation. Mais pas pour le même motif, bien sûr. Le régime nie tout en bloc comme à l’accoutumé et prétend que tout ce qu’a déclaré Kouchner n’a aucun fondement. Il pousse le ridicule, comme d’habitude aussi, pour finalement lui lancer le défi de citer un seul cas de journaliste emprisonné (sic) et d’ajouter : « Quand on parle de journalistes « tracassé» ou encore «emprisonnés» (Les guillemets sont dans le texte du régime) en Tunisie et quand on le fait sous lambris (Les « nègres » du régime s’adonnent volontiers aux exercices pseudo-intellectuels et intercalent toujours des termes raffinés de la langue française. Ils font de même quand le texte est rédigé en arabe. Ainsi ils pensent mieux dissimuler leur propre sinistre nature et celle du régime) de la république française, on doit commencer par vérifier ses allégations pour éviter de se tromper de pays et d’époque…»

Bref, pour le régime il n’y a pas de journalistes, ni tracassés ni, encore moins, emprisonnés. Comme il n’y en a eu jamais eu de prisonniers politiques d’aucune nature. Les milliers de prisonniers qui moisissent impitoyablement dans la multitude de prisons répandues dans toutes régions du territoire, dont plusieurs centaines y sont morts et d’autres s’y trouvent depuis des longues années. Des années au nombre de vies entières. Pour le régime toutes ses victimes sont des prisonniers de droit commun. Pis encore des criminels dont la liberté met en danger « la paisible société qui n’aspire qu’à la tranquillité, à la stabilité, au progrès et à la prospérité».  

Plus loin, dans sa rhétorique, le régime ajoute : « Il faut dire que M Kouchner n’en est pas à une contradiction près. On peut, certes, comprendre sa nostalgie des discours … enflammés, comprendre la crise existentielle qui doit le déchirer de temps en temps ».

En effet M. Kouchner a certainement un curriculum vitae qui donne du vertige, tellement il est plein de contradictions sur tous les plans. Le plan personnel, le plan politique, le plan moral, le plans philosophique etc. En résumant, et, sur le plan politique seulement, il est passé de l’extrême gauche au début de sa carrière à l’extrême droite à la fin de celle-ci. Point besoin de chercher trop à quelle catégorie « d’homme de principe » appartient le personnage. Avec certitude à la même catégorie d’un légionnaire, mais avec des armes « soft » : Il est prêt pour toute besogne pourvu que ça paye.

Quand les rumeurs avaient couru dans les milieux politiques français, au moment où « l’American Sarkozy », était en train de former son premier gouvernement, en été 2007, au sujet des différents candidats ministrables, une information avait paru sur plusieurs journaux et a retenu particulièrement l’attention. Bernard Kouchner qui était encore membre du parti socialiste dont la candidate, Ségolène Royal, venait de perdre les élections, serait pressenti pour être le ministre des affaires étrangères l’un des quotidiens français avait écrit un court commentaire, mais d’une véracité prodigieuse : « Mais que voulez-vous, Bernard (né le 30 novembre 1939) est à l’âge de la retraite et s’il doit attendre les prochaines élections présidentielles de 2012, en supposant que le parti socialiste l’emporterait, ça sera bien trop tard pour lui. Par conséquent il est de son intérêt d’accepter l’offre de Sarcomes, quitte à n’avoir dans le domaine des affaires étrangères, que de s’occuper des « petites courses », enfin, du superflu. Car pour le sérieux, comme d’habitude, s’occupera le Patron en personne. Et Sarkozy s’en occupe « beaucoup plus » que tous ses prédécesseurs. Donc tout compte fait [même dans ces conditions], Bernard finira avec une retraite bien confortable avec les immenses privilèges dont jouit toujours, et, surtout en France, un ex-haut fonctionnaire de l’État. Et c’est ce qui compte le plus».  

Donc et sans aller trop loin encore, les contradictions dont parle la réplique de Tunis, ne font aucun doute. C’est une vérité méridienne.

Mais quand Kouchner interpelle le régime de Tunis, il le fait pour quelle raison ? –  Le fait-il par principe ? Le fait-il par exigence de la politique française au nom de son Patron ? Ou le fait-il uniquement pour faire plaisir à l’opposition ?

Dans le premier cas il serait très difficile de le croire venant de la part d’un homme dont l’action est régie par le strict gain personnel loin de principe quelconque ou de considérations morales.  

Dans le deuxième cas, il aussi très difficile de le croire, car on ne voit aucun signe précurseur dans la politique française qui pourrait laisser croire à un désir de «changement souhaitable» à Tunis. En ce moment, la politique française, et, particulièrement le Patron Sarkozy a, à la pointe de mire,  la tête d’un autre dirigeant arabe et en même temps africain. La cible imminente dans le viseur occidental en général et la France en particulier s’appelle Omar Hassan Al Bachir. Le Soudan d’Al Bachir entouré du Niger, du Tchad, de la République Centrafricaine et d’Égypte, toutes des zones d’influence française avec des intérêts considérables. Toutes courent le risque d’être déstabilisées à cause du Soudan. Enfin les détails sont loin du sujet qui nous occupe. Mais c’est juste pour écarter la seconde hypothèse.

La troisième hypothèse, qui est la plus probable, est celle qui consiste à satisfaire la sollicitude de certains opposants. Connaissant comme tout le monde le nom de plusieurs figures de l’opposition, on ne pense pas que le docteur Marzouki par exemple aurait souhaité le soutien du « French Doctor ». Beaucoup moins d’autres figures de la tendance islamique. Restent donc tous ceux qui croient  aux « valeurs démocratiques » occidentales et ne cessent « d’apitoyer » sur leur sort les cœurs des politiciens de l’espèce de Kouchner.

Bernard Kouchner qui parle de son bonheur de voir des élections se dérouler dans un climat de transparence, pourquoi objecte-t-il avec une véhémence inouïe  contre le gouvernement de la République Islamique d’Iran, un gouvernement élu démocratiquement ? Pourquoi est-il si enragé que son Patron contre ce pays ? Et au fond pourquoi fussent-ils le résultat des élections palestiniennes ? – Ou est-ce que toutes élections qui se déroulent dans le monde arabe et musulman, si jamais réellement, tel est le souhait du « French Doctor » et acolytes, doit obligatoirement faire vainqueur le candidat de leur choix, sinon elles ne sont pas valables ?

Donc Kouchner prend les peuples non blancs pour des  peuples naïfs et particulièrement les peuples arabes et musulmans. Il dit encore « Je ne peux pas être d’accord avec ce qui contrevient à la liberté d’expression et d’association ». On ne sait vraiment plus s’il le dit en tant que politicien ou en tant qu’humaniste. En tant qu’humaniste, il a été expulsé de toutes les organisations humanitaires et rien plus n’accrédite ses compétences morales de ce côté. S’il le dit en tant que politicien il n’a aucune autorité morale non plus pour le faire. Car la politique de son pays et aujourd’hui, avec à sa tête l’actuel président, n’a jamais fait autre chose que le contraire.

Ni lui ni aucun des politiciens français n’a jamais apporté le moindre soutien moral aux milliers de personnes qui se trouvent dans les prisons des régimes de Tunis, d’Alger ou de Rabat, pour ne parler que de cette région du monde arabe, africain et musulman. Qui veut-il duper monsieur Kouchner ?

Donc, par sa déclaration, monsieur Kouchner a soulevé en effet un problème réel, mais ça ne concerne que le peuple arabe et ça ne relève, en aucun cas de ses compétences, d’autant plus que ses penchants sionistes, plutôt son sionisme viscéral ne favorise en rien ses interventions dans des questions qui concernent les arabes et les musulmans où  qu’ils soient. Et pour terminer la vérité dite par un imposteur dissimule inévitablement un grand mensonge et beaucoup d’hypocrisie 

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