12 novembre 2006

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TUNISNEWS
7 ème année, N° 2365 du 12.11.2006

 archives : www.tunisnews.net


Slim Bagga: La litote et le cirage de pompes  ou le crime contre la Tunisie.

Omar Khayyam: Au pouvoir jusqu’à 2039?

Bakchich: Jeune Afrique en pince pour la Tunisie

AFP: Prières et chandelles pour la mémoire d’Arafat en Tunisie AFP: « Indigènes » et vétérans tunisiens à l’ouverture du festival de Carthage

 

La litote et le cirage de pompes

ou le crime contre la Tunisie.

 
 

Selon le dictionnaire Le Robert, « la litote est une figure consistant à dire moins pour faire entendre plus ».

Moi, qui ai suivi l’évolution de la presse sous le gouvernement de Bourguiba, suis en mesure de rapporter certains messages qui ne sont pas de nature à laisser dormir en paix les instigateurs de la haine en Tunisie. Justement, dans ce pays que les professionnels du tourisme et du proxénétisme politique, nous présentent comme un havre de paix.

Dans les années 1980 on nous présentait un Bourguiba sénile, finissant, dont la Cour était en train de le manipuler dans le cadre d’une guerre de succession……….

On nous disait alors, journalistes indépendants, : »ne touchez pas au vieux, les choses vont changer »

20 ans plus tard, les choses ont « réellement » changé ……….

Une mafia intransigeante……..

une oligarchie omniprésente …..;

une économie chancelante…….

Une Société effervescente…..

Un président malade……

Une femme de président, ressemblant à Imelda Marcos, et qui veut ressembler à Hillary Clinton……

Quel triste destin….. pour ceux qui ont crié avec les loups pour la Victoire contre les Islamistes pour la pseudo victoire de la Démocratie.

Ceux qui ont parié sur ce funeste « LOTO » doivent en faire les frais, et ceux qui croient récolter un quelconque dividende de leurs mauvais présages, doivent avoir quelquchose sue la conscience.

Mais peut-on avoir une conscience dans ce pays où se livrent un peu partout les opportunistes, où les hommes libres parlent peu, s’exposent peu, et où Députés et Conseillers s’expriemnt déjà en faveur de Ben Ali pour 2009?

Comme si ce régime ne les avait pas assez payés pour l’encenser; et comme s’ils en voulaient encore……..

Si nous devions parler de traîtres à la Nation, ce sont ceux-là mêmes qui doivent être jugés pour avoir été mauvais dans le « cirage de pompes » d’un homme sans envergure, sans présent, sans passé et sans avenir: Le Président dont ils se foutent pour préserver leurs intérêts.

Je dis cela, non pour trouver une circonstance atténuante à ce Président illégitime, ni aux clans mafieux qui gangrènent le Pays.
Je rappelle cela à ceux qui prennent le train en route, à ceux qui l’ont empruntés et à ceux qui ne l’ont jamais quitté.
Cette dictature sera jugée, un jour ou l’autre.
Tant pis pour ceux qui n’auront pas pris le chemin de l’Histoire.
 
Slim Bagga
A suivre

Tunisie: appel de parlementaires au président Ben Ali pour qu’il se représente à l’élection de 2009

AP | 11.11.06 | TUNIS (AP) — Des parlementaires tunisiens ont appelé l’actuel président Zine El Abidine Ben Ali à renouveler sa candidature aux élections prévues en 2009 pour briguer un cinquième mandat de cinq ans, a-t-on appris samedi de source officielle. Le ministre d’Etat Abdelaziz Ben Dhia, porte-parole officiel de la présidence de la République, a fait état de communiqués publiés dans ce sens par la Chambre des députés et la Chambre des conseillers (Sénat).
Tout en appuyant cette proposition, « témoignage de reconnaissance pour les acquis enregistrés en Tunisie grâce à sa politique judicieuse et éclairée », M. Ben Dhia, un proche collaborateur du chef de l’Etat, a déclaré que « la décision définitive relève cependant des seules prérogatives du président de la République ». Selon la première commission du Sénat, un nouveau mandat devrait permettre à l’actuel président de « poursuivre la conduite de la Tunisie vers davantage de progrès et d’invulnérabilité ».
M. Ben Ali avait accédé au pouvoir en 1987. Il avait démis l’ancien président Habib Bourguiba (84 ans) dont il était le Premier ministre pour « sénilité » sur la foi d’une attestation signée par six médecins jugeant « le père de l’indépendance » dans l’incapacité de continuer d’assumer les charges de l’Etat. Après avoir aboli la résidence à vie instituée par son prédécesseur, il modifia de nouveau la Constitution par voie référendaire en 2002 pour supprimer la limitation du nombre de mandat présidentiel fixés à trois dans un premier temps.
Le nouvel amendement a repoussé en même temps l’âge limite pour un candidat à la présidence de 70 à 75 ans. M. Ben Ali qui aura 73 ans en 2009, avait été élu lors de ses quatre mandats avec plus de 99% des voix, sauf en 2004 où le scrutin lui a donné plus de 94% des suffrages. Lors des deux premières élections (1989 et 1994), il était candidat unique du parti au pouvoir, le Rassemblement constitutionnel démocratique (RCD), avant d’instituer le pluralisme des candidatures présidentielles qui ont permis à des dirigeants de l’opposition de briguer la magistrature suprême lors des scrutins de 1999 et 2004. AP
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Au pouvoir jusqu’à 2039? La farce électorale du 31 mai 2024

TUNIS – TNA- Le 23 juillet 2002, la plus jeune opposante au régime de Ben Ali, Sarra Hammami, 3 ans, a été empêchée par la police des frontières de prendre l’avion pour Paris. A sa sortie de la salle d’embarquement de l’aéroport de Tunis Carthage, Sarra a été entourée par une centaine de journalistes. La première question posée à Sarra concernait sa position devant l’acharnement du régime contre sa famille. Sarra s’est refusée à tout commentaire. Un journaliste lui a demandée ce qu’elle pensait du référendum du 26 mai. Sarra s’est contentée de répéter : « redondum, redondum, redondum… ». Un correspondant suisse l’a alors priée de commenter la situation des droits humains en Tunisie. Il a eu comme seule réponse : « Maman ! Papa! », puis la jeune Sarra a éclaté en sanglots.
Il faut faire un flash-back ou plutôt un flash-forward dans le futur pour comprendre l’hostilité du régime envers la dernière-née de la  famille Hammami-Nasraoui. Sarra Hammami, militante du Parti Communiste Ouvrier de Tunisie, mènera à partir d’avril 2024 une campagne farouche contre le référendum pour la révision de la constitution.
 
Selon la constitution tunisienne, révisée par un référendum populaire de 2014, l’âge limite pour les candidats à l’élection présidentielle sera fixé à 85 ans. Le président Zine El Abidine Ben Ali, 88 ans en 2024, sera à son huitième et dernier mandat. Mais le peuple lui réservera une surprise. Des dizaines de milliers de télégrammes émanant des organisations populaires de base et des cellules de son parti, le RCD, appelleront le président à poser sa candidature pour l’élection présidentielle d’octobre 2024. Selon la nouvelle constitution, qui sera soumise au verdict du peuple durant le référendum du 31 mai 2024, l’âge limite pour les candidats à la présidentielle sera plafonné à 99 ans. Ben Ali pourra théoriquement rester au pouvoir jusqu’à  octobre 2039. A cette date Ben Ali aura 103 ans. Sera-t-il tenté par un nouveau mandat ?
Malgré les 7 voitures de police qui encercleront sa maison et aux 11 policiers en civil qui la suivront comme son ombre, Sarra appellera au boycott de la farce électorale du 31 mai 2024 et à la destitution du dictateur sénile. Cloîtré dans son nouveau palais de Kélibia, l’acariâtre dictateur acceptera, après de longues tergiversations, de ramener le taux de réussite de son nouveau référendum de 99,52% à 99, 51%. Après 37 années de règne absolu, la popularité de Ben Ali aura chuté de 0,01 point. Le combat de Sarra risquera d’être long et plein d’embûches. Elle comptera surtout sur le réveil du peuple. Les signes de l’exaspération de manqueront pas en 2024 : 711 émigrés illégaux morts par noyade en pleine mer au large de la Sicile, 117 morts durant une partie de foot opposant l’Espérance au Kef. L’année 2024 marquera-t-elle la fin d’un si long règne ?
Wait and see… Omar Khayyam
(25 juillet 2002)

Jeune Afrique en pince pour la Tunisie

Tunisie | L’hebdo panafricain a choisi un nouveau directeur à la délégation tunisienne, tout droit sorti du clan Trabelsi. De quoi assurer de belles rentrées publicitaires

Voilà 47 ans que Jeune Afrique, « hebdomadaire international indépendant» – dixit la couv’ – abreuve ses lecteurs de copieux publireportages maquillés en enquêtes sérieuses.Des arrangements qui ont le mérite de faire vivre le canard. D’ailleurs en embauchant, début octobre, Hédi Hamdi au poste de directeur de la délégation générale Tuniso-libyenne, le newsmagazine panafricain s’assure là aussi de beaux jours. Jusqu’ici, Monsieur Raja Skandrani avait le privilège d’occuper seul le poste de directeur de la délégation à Tunis. Le charme est rompu courant septembre. Il s’est vu flanquer un acolyte, Hédi Hamdi. Ce fidèle de la garde rapprochée de Belhassen Trabelsi, le patron du clan du même nom, s’y connaît en presse « indépendante ». Lui et son boss éditent depuis 1994 le magazine spécialisé Profession tourisme. Un magazine
du groupe Karthago éditions abreuvé de publicités Karthago Airlines et truffé d’articles de présentation des hôtels du groupe Karthago…du grand art !
Mais peu importe la réputation de celui que les langues persifleuses surnommeraient HH snif-snif, rapport à la poudre magique. Le PDG de Jeune Afrique, Béchir Ben Yahmed, et son honorable conseiller François Soudan ont certainement vu en lui une poule aux oeufs d’or. Poule qui a dû pondre parce que depuis cette nomination, le site Internet du journal consacre, en une, tout un encadré à la « Tunisie de demain ». Ce « pays développé» à la compétitivité accrue, cette « voie à suivre » que les riches pays du Golfe s’arrachent est la nouvelle terre promise où tout financier avisé se doit d’investir !
Ridha Kéfi, ancien rédacteur en chef délégué correspondant à Tunis de Jeune Afrique ne doit pas partager l’avis de ces laudateurs. Étrangement, son nom n’apparaît plus dans l’ours depuis la nomination de HH. Pourtant, le journal le plus acheté des ambassades africaines est coutumier du « racket publicitaire ». Déjà en 2005, des documents tirés de « l’échéancier des encaissements sur contrats de communication » (sic) révélaient comment Jeune Afrique, à l’époque l’Intelligent, avait signé pour près de six millions d’euros de contrats publicitaires avec des régimes amis. Si Jeune Afrique a bien une intelligence c’est dans l’art du bakchich. Léa Labaye Source: http://www.bakchich.info/IMG/pdf/bakchich_8lite.pdf


Attention, rigueur, la responsabilité est énorme pour une information de qualité…

Bonjour,   Félicitations pour votre tribune et votre combat pour la liberté, hélas que ça se transforme parfois à une passoire à des commentaires non seulement stériles et frauduleux, mais très nuisibles non seulement à votre image mais également à vos lecteurs et non congruente avec votre challenge d’une information de qualité qui se veut forcément saine et non trompeuse…   Le corps saint possède à juste titre 2 reins qui filtrent l’équivalent de 180 litres par 24 h! Quand ces reins deviennent de façon chronique une passoire à des grosses molécules (les protéines)…ça finit à l’insuffisance rénale terminale aboutissant à la dialyse si non à l’issue fatale.   En espérant que cette fenêtre imagée vous aidera à voir plus clair en ne publiant pas tout et n’importe quoi sur votre chère tribune comme le commentaire d’un certain A I (mais malheureusement ce n’est pas la seule fois) sur les propos du Respectueux Dr Quardhawi à propos des libertés individuelles de la femme tunisienne…   Le commentaire du nommé A I dans votre journal du 11. 11. 2006 est publié au même temps que le rapport des savants musulmans avec ses 20 points et dont justement Dr Quardhawi est le président signataire! Ces 20 points qui traitent les principaux malheurs du 1/4 de la planète et plus…   ça aurait été au moins plus élégant d’éviter la publication concomitante s’il fallait bien publier ce commentaire de A I qui tient à mon sens plus à la destruction des symboles (comme certaines caricatures…) qu’à l’information de qualité qui en est votre défis!   Dommage! vraiment dommage! mais bon courage, car la tache est lourde et la responsabilité est énorme aujourd’hui, demain plus tard et pour toujours.   12 novembre 2006


INVITATION Cinquantième anniversaire du Code du Statut Personnel tunisien

Actualité des droits et des luttes des femmes

Pour l’élimination sans réserves de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes Organisé par Citoyennes des Deux Rives , Comité pour le Respect des Libertés et des Droits de l’Homme en Tunisie  (CRLDHT) Fédération des Tunisiens  pour une Citoyenneté des Deux Rives (FTCR) Samedi 18 novembre 2006 de 9h à 19h (conférences-débats – projection de films – pot de l’amitié) Lieu : CICP, 21ter rue Voltaire Paris 11ème, métro Rue des Boulets


Prières et chandelles pour la mémoire d’Arafat en Tunisie

   

AFP, samedi 11 novembre 2006 TUNIS – Des Palestiniens résidant en Tunisie ont commémoré samedi le deuxième anniversaire de la mort de Yasser Arafat, récitant des prières et allumant des chandelles dans son ancien quartier général à Tunis, a-t-on appris de source palestinienne.   Plusieurs dizaines de Palestiniens et des sympathisants tunisiens se sont rassemblés dans la villa de l’avenue Jugurtha, près du centre de Tunis, qui avait servi de bureaux et domicile au chef de l’Organisation de libération de la Palestine durant ses onze années d’exil en Tunisie (1983-1994).   Soigneusement gardés et entretenus, ces locaux ont été rouverts au public samedi pour la première fois depuis le départ d’Arafat dans les territoires palestiniens en juillet 1994, a-t-on indiqué de même source.   Sa veuve Soha et sa fille Zahwa, n’étaient pas présentes à la cérémonie de commémoration, dirigée par l’ambassadeur de l’Autorité palestinienne Souleiman al-Hirfi.   Soha Arafat a acquis récemment la nationalité tunisienne et vit entre Paris et Tunis, où est scolarisée l’unique enfant du couple, Zahwa. Arafat est décédé à 75 ans le 11 novembre 2004 dans un hôpital près de Paris, après avoir mené pendant des décennies le combat de son peuple pour la création d’un Etat indépendant sur les territoires conquis par Israël en 1967.
 

« Indigènes » et vétérans tunisiens à l’ouverture du festival de Carthage

 AFP, le 11 Novembre 2006 à 23h49 TUNIS (AFP) – La 21e édition des Journées cinématographiques de Carthage (JCC) s’est ouverte par la projection d’ »Indigènes » en présence de vétérans tunisiens, samedi soir à Tunis.   Le film de Rachid Bouchareb, sorti en septembre à Paris, évoque l’histoire des 130.000 soldats des colonies, qui ont combattu pour libérer la France occupée par les nazis pendant la Seconde Guerre mondiale.   L’acteur tunisien Sami Bouajila, qui interprète le caporal Abdelkader dans le film, très applaudi par une salle archi-comble du Colisée, a dédié le film aux vétérans présents. Le réalisateur et les trois autres comédiens vedettes Jamel Debbouze, Samy Naceri et Roschdy Zem n’ont pas fait le déplacement.   « C’est un film qui a fait bouger l’autorité française et ému le président Chirac », a déclaré à l’AFP le capitaine Hédi Abdelkader, 88 ans, peu avant la la projection.   Ce représentant des vétérans tunisiens était invité à assister avec quelques uns de ses anciens camarades tirailleurs à la première projection en Tunisie d’ »Indigènes », Palme d’or du meilleur interprète masculin du festival de Cannes 2006.   « C’est une excellente chose ! », s’est-il réjoui en rappelant la décision du gouvernement français de réparer l’oubli en accordant aux anciens combattants des pensions équivalentes à celles de leurs frères d’armes français.   Coiffés de chéchias rouges et arborant leurs insignes, les vétérans septuagénaires pour la plupart se sont mêlés aux comédiens du cinéma arabe et africain et aux invités arrivant en carrosses à l’ancienne ou en voitures de collection.   La cérémonie d’ouverture a été inaugurée par le ministre tunisien de la Culture, Mohamed Aziz Ben Achour, qui a souhaité longue vie au festival placé cette année sous le signe de « la diversité culturelle dans les cinémas du sud ».   L’édition actuelle verra la projection de centaines de films d’Afrique, d’Asie, d’Amérique latine et d’Europe dans ses diverses sections, mais la compétition officielle est consacrée aux réalisateurs arabes et africains.   Quinze longs-métrages et 14 courts-métrages, ainsi que 29 films vidéo vont concourir jusqu’au 18 novembre pour les « Tanit d’or », récompense suprême du nom d’une déesse carthaginoise.   Le festival rendra hommage notamment à l’Egyptien Naguib Mahfouz, prix Nobel de littérature décédé récemment, et aux réalisateurs ivoirien Henri Duparc et égyptien Yousri Nasrallah.   L’actrice italienne Ornella Muti et le producteur Tarak Ben Ammar figurent parmi les invités d’honneur présents à l’ouverture, alors que Hend Sabri, étoile montante du cinéma arabe d’origine tunisienne, siège dans le jury international présidé par le Libanais Elias Khoury.   Le festival de Carthage, qui fête cette année 40 ans d’existence, est la plus ancienne manifestation du genre dans la région à se tenir régulièrement tous les deux ans depuis sa création en 1966.   AFP

Prières et chandelles pour la mémoire d’Arafat en Tunisie

 AFP, samedi 11 novembre 2006 TUNIS – Des Palestiniens résidant en Tunisie ont commémoré samedi le deuxième anniversaire de la mort de Yasser Arafat, récitant des prières et allumant des chandelles dans son ancien quartier général à Tunis, a-t-on appris de source palestinienne.   Plusieurs dizaines de Palestiniens et des sympathisants tunisiens se sont rassemblés dans la villa de l’avenue Jugurtha, près du centre de Tunis, qui avait servi de bureaux et domicile au chef de l’Organisation de libération de la Palestine durant ses onze années d’exil en Tunisie (1983-1994).   Soigneusement gardés et entretenus, ces locaux ont été rouverts au public samedi pour la première fois depuis le départ d’Arafat dans les territoires palestiniens en juillet 1994, a-t-on indiqué de même source.   Sa veuve Soha et sa fille Zahwa, n’étaient pas présentes à la cérémonie de commémoration, dirigée par l’ambassadeur de l’Autorité palestinienne Souleiman al-Hirfi.   Soha Arafat a acquis récemment la nationalité tunisienne et vit entre Paris et Tunis, où est scolarisée l’unique enfant du couple, Zahwa.   Arafat est décédé à 75 ans le 11 novembre 2004 dans un hôpital près de Paris, après avoir mené pendant des décennies le combat de son peuple pour la création d’un Etat indépendant sur les territoires conquis par Israël en 1967.   AFP

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