7 décembre 2009

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TUNISNEWS

9 ème année, N° 3485 du 07.12.2009

 archives : www.tunisnews.net  

 

Parti « Tunisie Verte »: Manifeste pour l’écologie et les droits de l’homme en Afrique

Moncef Boushaki: Mettre fin à son statut de réfugié: Droit et Conséquences selon les lois françaises

Hend Harouni:aLa  61 ème  Commémoration de la Déclaration  Universelle des Droits de l’Homme  en vertu  de « l’abolition »  de la Suisse  des  minarets

 

Reuters: Tunisia tourism revenue up 2 pct in 11 months to Nov

Xinhua: Arab women meet in Tunisia to fight violence

TAP: Mme Leila Ben Ali reçoit le Blason d’or de l’Union des comités nationaux olympiques arabes

TAP: Mme Leila Ben Ali reçoit le Blason d’or du Comité islamique du Croissant international

  

Die Zeit: Tunesien – Im Reich des Ben Ali

AFP: PO/UE: manifestation palestinienne en faveur du texte sur Jérusalem-est

AFP: PO/UE: le projet de texte sur Jérusalem-Est est une « erreur » (Livni)


La Section Tunisienne d’Amnesty International organise une

conférence de presse

à l’occasion du lancement de la campagne mondiale de lutte contre  la pauvreté sur le thème : La conférence aura lieu Mercredi 9 Décembre 2009 à 11h00 au siège de la Section Tunisienne d’Amnesty International (67, rue. Oum Kalthoum, 3ème Etage, Esc.B – Tunis)    Vous êtes cordialement invités à y assister.  Tél. 71 353 417 – Fax : 71  352 671 – E-mail : admin-tn@amnesty.org


 Parti « Tunisie Verte »  

Manifeste pour l’écologie et les droits de l’homme en Afrique

 

I-/ Ecologie et la bonne gouvernance En Afrique et dans le monde l’écologie est une préoccupation majeure pour les citoyens et les décideurs. Aucun état, aucun gouvernement ne peut gouverner sans se référer aux problèmes écologiques et particulièrement le déséquilibre climatique mondial et les gaz à effet de serre (GES) A la conférence mondiale de Kyoto (1997) plusieurs  décisions ont été prises pour ramener l’émission de GES  à un taux acceptable et limiter les impacts du changement climatique. Malheureusement les pays  émetteurs des GES (Chine, Etats-Unis), ont refusé l’application  de ces décisions ; malgré les pressions des milliers d’associations et du mouvement politique écologique et les Verts. Actuellement plusieurs pays refusent de mettre la bonne gouvernance  au service du développement durable ! En Afrique, en Tunisie et au Ruanda les partis verts ne sont pas reconnus. La vie associative reste encore faible et menacée par l’ingérence des gouvernements et les atteintes répétées aux droits de l’homme ainsi que les décisions arbitraires. Pourtant la déclaration de l’ONU du 6 juin 1997 confirme que « la démocratie, le respect des droits de l’homme et toutes les libertés fondamentales, y compris le droit  au développement, la transparence et responsabilité dans la gouvernance, la participation  effective de la société civile comptent parmi les facteurs sans lesquels on ne saurait aboutir  à un développement durable ». Devant l’échec total de la dictature d’isoler le premier parti écolo en Tunisie « Tunisie Verte »la reconnaissance de notre parti est une nécessite politique  urgente. Tous les écolos Tunisien sont appelés à s’unir autour de leur parti, soutenu  par la société civile agissante, le parti vert  européen  et les Verts africains (confirmé à la rencontre de Cotonou et de Malmö) et de Global Greens. Nous demandons expressément aux associations écolos de refuser l’hégémonie du parti au pouvoir et de défendre leur autonomie !   II-/ Première conséquence du changement climatique : Raréfaction du potentiel hydrique tunisien : la Tunisie est un pays aride  et semi aride. Il reçoit en moyenne 230 ml d’eau /an (pluviométrie). Depuis 25 ans  le pays est tributaire  d’un climat instable. La pluviomètre  nous indique  aussi un grand déséquilibre entre le nord (1500 mm/an ) le centre (300 mm) et le sud 150 mm. Plus de 77% des réserves en eau  (barrages) sont situés dans le nord, le centre et le cap bon.  Aucune réserve dans le sud. Le renouvellement des eaux souterraines demande des grands travaux coûteux. Le grand Tunis qui constitue une composante essentielle de l’environnement du pays (33%) de la population  y réside), rejette 161 millions de m3 d’eau de pluie accumulées par les réserves (Lac de Tunis et Sebkha) à la mer.  De même pour les Sebkhas du  sahel  et du centre. La SONEDE (société publique de distribution d’eau potable). Enregistre 34 % de perte d’eau par négligence. La consommation de l’eau par touriste (personne) dépasse 550 litres par jour, neuf fois la consommation par  personne dans les zones  urbaines. Dans le sud, le centre et le nord/est, plusieurs dizaines de villages ont soif. Des villages reçoivent une alimentation en eau pendant 1 ou 2 heures  seulement 2  fois par semaine. Devant cette situation  alarmante, le « conseil de l’eau à Marseille organisme de droit privé et émanation des lobbies français  de l’eau  veut légiférer la distribution  et le partage  de l’eau à l’échelle planétaire. Cet organisme est l’héritier de la conférence mondiale de l’eau en Argentine (1977). Le parti Vert français « considère  que ce conseil  est un organisme privé au service d’intérêts  privés des multinationales de l’eau ». Par ailleurs le changement climatique provoque chaque année des inondations en Tunisie (Exemple Redayaf et le centre), en algérie et dans d’autres pays méditerranéens. Ces inondations ont provoqué plusieurs pertes humaines et matérielles et des dégâts importants dans l’infrastructure routière et économique. III -/ Le Oasis et le Vergers du Sud Depuis des années, des villes oasiennes du sud vivent  sous le choc du  drame de l’eau. Les Oasis et leurs vergers sont menacés par le tarissement de leur source. Leur biodiversité et patrimoine génétique risque de disparaître par la « monoculture » des dattes (Deglette Nour) au détriment de 250 variétés de dattes connues. Autre menace pour ces villes c’est   l’urbanisation sauvage. Ainsi avec le tarissement des sources, l’histoire, le patrimoine et l’écosystème oasien de ses villes sont en train de disparaître à jamais. Pourtant ces oasis sont considérées par des instances internationales comme un grand patrimoine de l’humanité. Plusieurs peuples et leurs civilisations (berbère, romaine, turque et arabe) y ont laissé leur emprunte, leur culture et leur génie scientifique. Actuellement les oasis de Gabes, Kébili et El Gettar (Gafsa) et leur population sont asphyxiées par la pollution des usines chimiques du phosphate. Toutes les cultures dans ces oasis sont atteintes dans leur développement par le dépôt du sel dans leur sol. Les maladies parasitaires de l’oasis de Maghreb constituent une menace potentielle pour nos oasis. Mais actuellement la Tunisie est préservée.   IV -/ La désertification : Selon les experts tunisiens, le climat en Tunisie, subira des changements profonds et les scénarios les plus probables considèrent qu’il s’agit « d’une translation du climat chaud et aride du sud vers le nord du pays ». La désertification en Tunisie atteint  78% dans tout le pays. Chaque année notre pays perd 18.000 hectares de ces terres. Les efforts de lutte contre la désertification sont très faibles, malgré le «plan d’action national » lancé depuis 1996. Mais depuis nous sommes encore en phase d’étude et projet pilote avec assistance technique étrangère très forte. La dégradation des ressources et de l’écosystème forestier est inquiétante, alors qu’on affiche un taux de reboisement de 12%, chiffre gonflé artificiellement. En réalité la surexploitation des ressources forestières continue par manque d’alternative pour les populations démunies qui sont exclues de la propriété de la terre. Autre inquiétude, depuis 2006 plusieurs milliers d’arbres (des fois centenaires) sont coupés. Ce massacre forestier est organisé par des sociétés autorisées sous couvert de défrichage et élimination du bois mort. Les incendies, les négligences et le manque de techniciens causent chaque année des dégâts considérables dans nos forêts, surtout pour le couvert végétal. V-/ Les OGM Les OGM sont interdits par l’ONU. La Tunisie a signé le protocole de Carthagène  de biodiversité alimentaire Actuellement il est très facile d’acheter sans autorisation de mise à la consommation, n’importe quel produit alimentaire. Le mais et le soja OGM et leur produit sont distribués et vendus sans aucun contrôle. La connaissance du Public reste faible et même inexistante, par manque  d’étiquetage. Dans un rapport de synthèse, d’un atelier international sur Les OGM organisé en 2002 à Djerba par « l’association de développement durable » et des organismes français il est dit «  En Tunisie les biotechnologies prennent de l’essor et les OGM deviennent peut à peu une réalité pour le consommateur et pour le monde agricole alors que les connaissances du public à ce sujet restent toujours faibles, presque inexistantes » ce rapport signale encore en conclusion que tous les participants à cet atelier ont lancé l’appel de Djerba le 27 octobre 2002 qui affirme, la méconnaissance totale de la problématique posée par les OGM de la part des consommateurs, ainsi que l’absence de législation réglementaire, aussi l’augmentation graduelle des surfaces des cultures transgéniques dans le monde. Les participants recommandent  «afin de protéger la santé humaine et animale » plusieurs mesures, pour renforcer les capacités d’analyse et de contrôle des produits OGM, préserver la biodiversité et garantir les droits des communautés rurales ainsi que la participation de la société civile. VI-/ Pollution atmosphérique : Une couche d’air pollué de 30 à 50 cm s’est installée dans le ciel du grand Tunis (confirmée par une association écologique). La ville de Sfax a subi depuis 1959 une pollution sans précédant de l’usine chimique des produits du phosphate de la « SIAP ». Cette usine a été fermée le 07 Avril 2008. En effet il s’agit d’éloignement de quelques dizaines de km de la ville de Sfax. L’association de sauvegarde de l’environnement de Sfax a réussi malgré les contraintes administratives,  la mobilisation de la population de cette ville pendant plus de 30 ans pour mettre fin à cette grave atteinte des droits de l’homme et de citoyens. Les ouvriers et toutes la population sfaxienne ont subi pendant des dizaines d’année les impacts destructeurs de cette usine, la pollution engendrée chaque jour les dégagements des gaz ont dépassé toutes les normes nationales et mondiales : des centaines de milliers de m3 de gaz par jour, 660 mille tonnes de phosphogypse par an. Le cadmium matière cancérigène dépasse 620 fois les normes nationales et mondiales. Le fluor représente 246 fois les normes nationales et mondiales. La ville de Sfax enregistre le taux les plus élevé des malades atteints de cancer et d’autres maladies graves. La Tunisie compte 10.000 nouveaux cas par an de cancer traité dans un seul centre hospitalier à Tunis « L’institut Salah Aziz ».  La ville de Gabes et le Skhira et dernièrement Gafsa subissent les mêmes impacts que la ville de Sfax après l’installation des usines chimiques de phosphate. La ville de Kasserine, dans les Steppes vit depuis 50 ans avec les rejets des déchets chimiques de l’usine de pâte à papier «  la cellulose ». Ces rejets sont versés directement dans le principal cours d’eau de pluie de la ville. Ces rejets sont très dangereux, il s’agit de l’acide chlorhydrique et du mercure qu’on utilise pour traiter l’Alpha, une plante des steppes, pour fabriquer le papier. Les riverains de l’usine sont atteints de maladie respiratoire et du cancer. Toute la nappe d’eau de la région est polluée, L’utilisation massive depuis des dizaines d’années de l’alpha ainsi que la pollution ont réduit les espaces et le couvert végétal de la steppe de Kasserine. Ainsi le pâturage et l’élevage diminuent et la population s’appauvrit constamment. La population de Kasserine s’est soulevée à plusieurs reprises mais leur mouvement est vite étouffé et réprimé. VIII Energie renouvelable et énergie nucléaire Le gouvernement tunisien a opté finalement pour l’énergie nucléaire. Il a signé un contrat de formation avec le Canada pour la recherche et la France pour l’achat d’une centrale nucléaire. Ainsi toute la politique d’économie d’énergie et les recherches et travaux sur l’énergie renouvelable n’ont plus de sens. Le parti « Tunisie Verte » a dénoncé à plusieurs reprises l’adoption du nucléaire en Tunisie. Dans nos déclarations nous avons toujours demandé au pouvoir l’organisation d’un référendum populaire au sujet de cette énergie coûteuse et dangereuse. La Steg (société publique de distribution de l’électricité et du gaz) constitue le noyau principal des lobbies nucléaires et au lieu d’être le fer de lance de l’énergie nouvelle, et alléger ces factures très lourdes pour les citoyens. Les lobbies de nucléaire sont soutenus et encouragés par AREVA en France. X -/ Sauver la planète sauver l’Afrique Depuis « les ajustements structurels » imposé par la Banque mondiale au pays pauvres et la Globalisation de l’économie mondiale, les multinationales ont accentué leurs installations en Afrique, avec la main  mise du grand capital sur l’économie mondiale et le commerce des denrées alimentaires et toute la production vivrière agricole. Ainsi les USA, Le Canada, l’Australie, et l’Union Européenne  accaparent 80% du commerce mondial des céréales. Pendant de plus de 30 ans  La Banque mondiale à dissuadé les pays pauvres en Afrique et dans le monde d’investir dans la production agricole et surtout la céréaliculture pour vendre le surplus des pays riches. En Afrique la famine touche le 1/3 de la population, 300 millions de pauvres. Ainsi la mondialisation a accentué les écarts entre le nord et le sud et ce sont les pauvres qui subissent les premiers les conséquences de la dégradation de l’environnement et l’épuisement des ressources naturelles Pire encore les maladies accompagnent la famine. D’après l’OMS six maladies contagieuses font ravage en Afrique subsaharienne, le Sida le Paludisme, la Tuberculose, la pneumonie, la rougeole et les maladies diarrhéiques. D’autres maladies parasitaires sont à l’origine d’une mortalité très élevée A l’heure de la réunion de Copenhague nous lançons notre appel Sauvér l’Afrique c’est sauvér la planete.   Tunis 07 Décembre 2009 Abdelkader Zitouni Coordinateur National du parti « Tunisie Verte » Membre du Parti Vert Européen, Membre de la fédération des verts africains, Membre du comité du congrès des verts africains Ouganda 2010 Membre de « Global Greens ». E- mail : tunisie.verte@gmail.com Tel : 00.216.98.510.596 Fax : 00.216.71.750.907  


Mettre fin à son statut de réfugié: Droit et Conséquences selon les lois françaises

 

Compilation: Moncef Boushaki

 
 
L’Office français pour la protection des réugiés et apatrides (OFPRA) met à la disposition du public les informations ci-après concernant la Renonciation au statut de réfugié.
 
1/Renonciation au statut :  

 
Un réfugié peut à tout moment renoncer à son statut. Cependant, cette décision est définitive et entraîne des conséquences :
 
-La cessation du statut de réfugié(e) de l’époux(se) ou concubin(e) de l’intéressé, si ce dernier a été reconnu réfugié sur le fondement du principe de l’unité de famille.
 
-La cessation de la protection des enfants de l’intéressé dans le cas où le conjoint n’est pas ou plus réfugié et si ceux-ci ont bénéficié de la qualité de réfugié sur le fondement du principe de l’unité de famille.
 
-La non-reconnaissance par la loi du pays d’origine des événements personnels et familiaux survenus en France.
 
Par ailleurs, l’OFPRA se doit de protéger aussi toute personne juridiquement incapable (personnes sous tutelle, mineurs, etc …) et conseillera en cas de difficulté.
 
 
2/ Pour renoncer :
 
-Il faut exposer par écrit les motivations personnelles qui fondent la renonciation au statut de réfugié.
 
-Un rédacteur examine ensuite la situation administrative et entend le réfugié pour le conseiller au regard de ses motivations. Par ailleurs, il peut l’informer plus précisément des éventuelles conséquences de cette décision.  
ATTENTION: La renonciation entraîne la transformation du titre de séjour délivré. L’ex réfugié devient un résident étranger relevant du droit commun. Cette modification du titre de séjour ne peut se faire que sur présentation d’un passeport national en cours de validité
 
L’intéressé peut se heurter au refus de son ambassade de lui délivrer des documents.
 

Mis à jour le 23/06/2009 à 14:07
 
 
Moncef Bouskahi


aLa  61 ème  Commémoration de la Déclaration  Universelle des Droits de l’Homme  en vertu  de « l’abolition »  de la Suisse  des  minarets  au moment  juste où les Musulmans viennent de  célébrer la fête de «Aïd El Idha»  et  d’accomplir leur pèlerinage- Chose  extrêmement  inadmissible!?…

   

Ecrit par Hend Harouni-Tunisie Tunis, le 1er Décembre, 2009 Il  y a un immense ressentiment parmi les Musulmans et les non-Musulmans, les défenseurs des droits de l’homme et les opinions publiques : comment et pour qu’elle raison  la Suisse vient de prendre une telle mesure …?! Est-ce un message aux Musulmans: «nous ne voulons pas de vous tels  que vous êtes». C’est la première fois que nous entendons parler d’autre  que la politique de défense des droits de l’homme dans un pays qu’on  appelle  celui  des droits de l’homme ; là où les conventions et les textes des droits de l’homme sont nés,  essentiellement la Convention de Genève. Toutefois le fait de toucher à la liberté de la religion représente  un  conflit en soi. De ce fait, actuellement  et  après 61 ans depuis l’appel pour la défense et la pratique des valeurs des droits de l’homme partout dans le monde, à notre surprise  ce même pays a pris la décision d’une pratique péjorative de non coexistence contre une communauté particulière: les Musulmans?! et concrètement modifié la Constitution en vertu de près de 57,5% de voix « d’acceptation » comme résultat de vote déclaré  le 29 Novembre, 2009 pour l’interdiction des minarets, suite à une campagne lancée pour un référendum forcé basé  sous  condition de collecte de 100.000 signatures d’électeurs à compter du 1er Mai 2007 accentué par un groupe de politiciens d’extrême droite principalement du Parti Populaire Suisse et  de l’Union Démocratique Fédérale, le premier étant actuellement le plus grand  parti  au parlement Suisse. La Suisse dispose de 8 millions d’habitants, dont près de 400.000 Musulmans pratiquants. L’Islam est la deuxième religion dans ce pays. Il n’ya que quatre minarets dans les mosquées selon des informations recueillies. Commencer par interdire les minarets, montre que ces initiateurs du plan de référendum irons jusqu’à aller plus loin au niveau des interdictions à l’encontre  des Musulmans. Comment  est-ce qu’un pays comme la Suisse qui se distingue comme étant un pays de la «paix» fondé sur la non-implication dans les conflits des  autres  pays et bien connu pour la stabilité, l’accueil  et prometteur au niveau des conditions de vie malheureusement appelle à une restriction  aussi  délicate sur le plan de la liberté religieuse des Musulmans : s’attaquant à la pratique de cette religion. Une mosquée, par définition, et depuis notre existence  a toujours été construite avec un minaret pourquoi maintenant vous avez voulu l’«abolir». Que ce soit en Suisse ou dans tout autre endroit dans le monde, les gens par la foi, la conviction vont à la mosquée et non pas à l’église et c’est leur droit légitime de choisir leur religion et ce droit est égal à la liberté de religion. Pourquoi pensez-vous exprimer par une telle interdiction que vous avez « négativement » changé  votre traitement  de la communauté Musulmane  sans oublier qu’elle comprend des  citoyens Suisses Musulmans et dont le nombre gêne énormément l’extrême droite. La foi est dans le  cœur de l’être humain, de telle sorte que ni l’interdiction des minarets, ni toute autre pratique ne va influencer cette foi de l’Islam. L’interdiction en question signifie «Accepter ou quitter » ce qui est incompatible avec la liberté et les droits de la coexistence, voire la tolérance. Ils ne s’arrêteront  pas à ce stade, ainsi  ces extrémistes  ont  alerté la guerre contre les Musulmans avant et après cette question de minarets, évidemment il doit y avoir d’autres violations en pleine croissance. Le  reproche est  fortement adressé  aux citoyens Suisses qui ont voté pour ce «piège »  et ils sont appelés à revoir leur position et en ayant accepté  d’ «insulter» les Musulmans,  de cette manière  vous avez  facilement donné à vos extrémistes  plus de mauvaises chances  pour  détruire l’image réputée dont bénéficiait la Suisse  chez  les  Musulmans partout dans le monde de même que chez les consciences libres qui vraiment considèrent que la liberté de religion est une ligne rouge  et qui évidemment sont choqués par l’interdiction des minarets. L’une des personnes extrémistes  abusives est   » en parcours ininterrompu » contre les Musulmans et l’Islam dans le monde, il s’agit du député Hollandais d’extrême  droite  Geert Wilders , qui n’œuvre que pour la division entre les peuples et là où les Musulmans puissent exister et parmi  ses outils est la «loi», alors que la guerre qu’il a déclarée contre la religion est en elle-même une violation  de la loi, voire de celle de toutes les nations, causant des traitements inhumains, ce qui renforce la haine et les conflits. Dans ces quelques jours à  venir, précisément  à la 61ème commémoration de la Déclaration  Universelle des droits de l’homme, une question se pose : pourquoi au lieu de promouvoir et  d’encourager l’intégration  des Musulmans en Suisse comme dans d’autres pays, bien au contraire, vous provoquez un tel  conflit aussi  périlleux en vue d’élargir les écarts entre les Non-Musulmans et les Musulmans ?. Pourquoi toucher à l’unité de notre mosquée par l’interdiction des minarets dont vous connaissez bien l’importance comme étant les composantes requis de toute construction de mosquée ;  forme architecturale  et  dont la fonction consiste en  : l’appel  à la prière  » Al Adhan  pour Salat « ?. Plusieurs organisations et associations des droits de l’homme ont fait valoir que le référendum Suisse a violé la liberté de religion  et a été une discrimination sur l’appartenance raciale et religieuse. Dans un tel contexte, nous nous référons au contenu de base de la Déclaration Universelle des droits de l’homme: Préambule Considérant que la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine et de leurs droits égaux et inaliénables constitue le fondement de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde. Considérant que la méconnaissance et le mépris des droits de l’homme ont conduit à des actes de barbarie qui révoltent la conscience de l’humanité et que l’avènement d’un monde où les êtres humains seront libres de parler et de croire, libérés de la terreur et de la misère, a été proclamé comme la plus haute aspiration de l’homme. Considérant qu’il est essentiel que les droits de l’homme soient protégés par un régime de droit pour que l’homme ne soit pas contraint, en suprême recours, à la révolte contre la tyrannie et l’oppression. Considérant qu’il est essentiel d’encourager le développement de relations amicales entre nations. Considérant que dans la Charte les peuples des Nations Unies ont proclamé à nouveau leur foi dans les droits fondamentaux de l’homme, dans la dignité et la valeur de la personne humaine, dans l’égalité des droits des hommes et des femmes, et qu’ils se sont déclarés résolus à favoriser le progrès social et à instaurer de meilleures conditions de vie dans une liberté plus grande. Considérant que les Etats Membres se sont engagés à assurer, en coopération avec l’Organisation des Nations Unies, le respect universel et effectif des droits de l’homme et des libertés fondamentales. Considérant qu’une conception commune de ces droits et libertés est de la plus haute importance pour remplir pleinement cet engagement. L’Assemblée Générale proclame la présente Déclaration universelle des droits de l’homme comme l’idéal commun à atteindre par tous les peuples et toutes les nations afin que tous les individus et tous les organes de la société, ayant cette Déclaration constamment à l’esprit, s’efforcent, par l’enseignement et l’éducation, de développer le respect de ces droits et libertés et d’en assurer, par des mesures progressives d’ordre national et international, la reconnaissance et l’application universelles et effectives, tant parmi les populations des Etats Membres eux-mêmes que parmi celles des territoires placés sous leur juridiction. Article premier Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité. Article 2 1.Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la présente Déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d’opinion politique ou de toute autre opinion, d’origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation. 2.De plus, il ne sera fait aucune distinction fondée sur le statut politique, juridique ou international du pays ou du territoire dont une personne est ressortissante, que ce pays ou territoire soit indépendant, sous tutelle, non autonome ou soumis à une limitation quelconque de souveraineté. Article 18 Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu’en privé, par l’enseignement, les pratiques, le culte et l’accomplissement des rites. Article 22 Toute personne, en tant que membre de la société, a droit à la sécurité sociale ; elle est fondée à obtenir la satisfaction des droits économiques, sociaux et culturels indispensables à sa dignité et au libre développement de sa personnalité, grâce à l’effort national et à la coopération internationale, compte tenu de l’organisation et des ressources de chaque pays. Article 26 2. L’éducation doit viser au plein épanouissement de la personnalité humaine et au renforcement du respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales. Elle doit favoriser la compréhension, la tolérance et l’amitié entre toutes les nations et tous les groupes raciaux ou religieux, ainsi que le développement des activités des Nations Unies pour le maintien de la paix. 3. Les parents ont, par priorité, le droit de choisir le genre d’éducation à donner à leurs enfants. Article 29 3. Ces droits et libertés ne pourront, en aucun cas, s’exercer contrairement aux buts et aux principes des Nations Unies. Article 30 Aucune disposition de la présente Déclaration ne peut être interprétée comme impliquant pour un Etat, un groupement ou un individu un droit quelconque de se livrer à une activité ou d’accomplir un acte visant à la destruction des droits et libertés qui y sont énoncés. Il semble que les interdictions  réalisées en Suisse doivent être prototypées dans d’autres pays Non-Musulmans?.  Les Musulmans ne diront jamais  aux non-Musulmans qu’ils vont interdire  n’importe qu’elle partie de leurs églises et ce, conformément  à notre religion Musulmane en plus de l’engagement relatif aux conventions internationales relatives aux droits de l’homme, nous respectons le droit aux pratiques religieuses des autres. Avez-vous jamais entendu dans n’importe quel pays Musulman  le fait même de parler d’un tel  amendement constitutionnel  à être  introduit pour les églises : pas d’édifices religieux touchés à cet égard  dans nos pays Musulmans. Autre point : la liberté de religion ne signifie nullement «liberté limitée par quotas dans les pays Chrétiens au moment où le nombre de Musulmans augmente  et celui des Chrétiens diminue, tel qu’est le cas ici, alors l’approche politique est de mal influencer les gens par le biais de campagnes de haine et de peur envers les Musulmans en fonction des règlements du droit local, une telle procédure n’est pas conforme aux conventions internationales, voire aux textes relatifs aux droits de l’homme, il y’a lieu de rappeler qu’ en tant que Musulmans nous respectons le droit d’autrui  à leurs propres pratiques religieuses . Alors, que faire concrètement pour que ces matières internationales  des droits de l’homme soient pleinement respectées?. Même Allah, nous a créés différents, Il  nous a montré la bonne voie et nous a laissé libres: de croire ou de ne pas croire, soit Il ne nous a pas forcé et à notre tour nous n’avons pas forcé les Non Musulmans à devenir Musulmans – c’est une question  de foi et de choix par conviction , ainsi tout le monde doit protéger la liberté de religion et  ne pas empêcher et par tous les moyens d’étendre que  l’Islam  progresse  et  que le nombre de Musulmans augmente partout dans le monde, chose qui n’est pas en contradiction avec les droits de l’homme et les libertés fondamentales. Au  début, les choses ont  ouvertement commencé par les  horribles caricatures au  pays du Danemark  et en travaillant également sur des caricatures sataniques  dans d’autres pays comme  sale  tentative  de diffamer notre Prophète Sacré Mohamed la Prière et la Paix Soient sur Lui et l’Islam  en général  et  pour qu’ensuite  Geert  Wilders apparaisse  avec son  film catastrophique intitulé « Fitna » pour attaquer notre Prophète et  notre religion de l’Islam  et  tout ceci  a été réalisé  sous le mauvais prétexte de la liberté d’expression. Pas si  étrange  de voir ce même  député d’extrême droite exprimant aux médias sa  satisfaction  face à cette  interdiction des minarets en Suisse. Cependant, toute campagne  lancée contre l’Islam et les Musulmans est en soi une annonce prévue d’un plan ayant des objectifs nuisibles voulus et de manière implicite. L’Islam interdit l’interdiction d’une ou de plusieurs pièces de construction des lieux de culte, même  quand il ne s’agit  pas de mosquées et empêche la diffamation de  tous les Prophètes et  Messagers et  Allah  est notre Créateur et c’est Lui qui nous a accordé la véritable liberté de religion et d’expression  et non vise versa. On peut lire à partir de ce chiffre approximatif de 57,5%  des voix Suisses- ce qui suit: 1. que la moitié des citoyens Suisses sont aujourd’hui contre la liberté de religion, une réalité  dangereuse pour un pays connu pour les libertés, cependant  il est important d’avoir une idée sur la nature des électeurs. 2.la 2ème moitié de la société  Suisse représente  un certain équilibre en matière de coexistence avec les Musulmans comme communauté et comme citoyens Suisses, ils ont refusé « l’interdiction des minarets » ; ils ont fait leur devoir et ils méritent notre respect. Déduction: une telle interdiction des minarets a dévoilé comment la société Suisse a déjà été divisée  à cause de « non-stop » campagnes  indirectes de tort  et  de provocation de haine, et et que s’ils ne revoient pas leur grave position, il y aura beaucoup  d’autres plus lourdes « interdictions » contre les Musulmans.  Maltraiter les Musulmans et restreindre leurs libertés ne peuvent en aucun cas être une solution pour la coexistence fondée sur la tolérance. Vous ne pouvez jamais insulter quelqu’un et dire que vous ne voulez pas lui faire du mal  ou  que vous voulez trouver un moyen de préserver votre pays ou protéger tout autre intérêt. Ce n’est pas en attaquant les Musulmans que vous pouvez avoir un plus grand nombre de Chrétiens ou  une diminution du nombre de Musulmans, ceci  n’a aucun sens ;  étant  à la fois contre l’humanité et contre la logique. Toutefois,  tous ceux qui ont rejeté ce vote doivent travailler  sérieusement pour son annulation en tant que provocateur de la rancune et  de l’instabilité dans la société Suisse d’une part de même qu’ au niveau  des relations du pays avec la nation Musulmane dans son ensemble d’autre en plus d’ éviter son élargissement dans d’autres pays. Il  suffira de se rappeler que l’interdiction des minarets en Suisse: ne  signifie pas la liberté d’expression ou la peur des Musulmans, mais les campagnes illégales de haine contre la dignité des Musulmans dont l’objectif est d’atteindre le but des partisans politiques; travailler sur la catastrophe  de soulever cette  détestation  entre Musulmans et Non Musulmans aussi  bien dans le pays qu’à l’extérieur. Ils exploitent la peur des citoyens afin de renforcer le sentiment de dégoût envers les étrangers et parmi leurs outils est l’extrémiste dangereux accusateur  utilisant de diverses  affiches et posters d’incitation  tel  qu’ exposant le minaret comme une roquette implantée dans la carte géographique de la Suisse?! ; une incohérence incroyable, … nous savons que la roquette est  utilisée par la résistance légitime et de self défense en Palestine et à Gaza en direction d’un seul endroit en raison de la colonisation d’Israël  et des derniers génocides sionistes et crimes de guerre dans le territoire assiégé de Gaza; l’holocauste phosphorique et qui n’ont toujours pas récupéré leurs droits  des institutions internationales officielles à ce moment. Les roquettes n’ont rien à voir avec la Suisse en particulier surtout que la règle dit: « comparer ce qui est comparable » les choses doivent être considérées dans leur véritable contexte. Mais les partisans du « refus » des minarets disent qu’ils n’ont aucune intention d’empêcher les Musulmans de pratiquer leur foi et qu’ils n’ont rien contre les Musulmans, alors  pourquoi avoir ensuite exprimé la haine envers eux dans vos campagnes d’augmentation du nombre de voix de vote?. C’est ce que nous appelons : faire un préjudice « sans laisser de trace » la réponse est très  simple, « alors pourquoi ne pas les laisser en paix? ». Les choses  commencent de cette manière  et finissent avec plus d’exclusion envers les Musulmans … Positions de désistement: « Je pense que les Musulmans Suisses seront en colère et amertume  envers  ce qui passe, a déclaré Reinhard Schulze, Professeur d’Etudes Islamiques à l’Université de Berne. Il poursuit en disant : «et nous savons que la colère et l’amertume parmi une communauté peut conduire à la radicalisation, voire au militantisme ». Les  Suisses procèdent  à l’interdiction des minarets -. » Swiss  move to ban minarets- / Par Imogen Foulkes / BBC News, Berne / Dernière mise à jour: Lundi 28 Mai 2007, 09:03 GMT 10:03 UK.  (*) Amnesty International  a déclaré que l’interdiction des minarets est une « violation de la liberté de religion, incompatible avec les conventions signées par la Suisse. » (**) Le Parti  Ecologiste Suisse (Les Verts) a déclaré qu’il envisageait de déposer une plainte devant la Cour Européenne des Droits de l’Homme à Strasbourg pour violation de la liberté de religion  garantie par la Convention Européenne des droits de l’homme. (*) et (**): Global Nation / la Suisse vote  pour l’interdiction  de nouveaux minarets – Switzerland votes to ban new minarets -/ Par Hui-Min Neo / Agence France-Presse Posté : 12:23:00 11/30/2009.


 

Tunisia tourism revenue up 2 pct in 11 months to Nov

Mon Dec 7, 2009 6:16am GMT TUNIS (Reuters) – Tunisia’s tourism revenue rose 2 percent to 3.21 billion dinars in the 11 months to November 30 despite the global slowdown, the state news agency quoted the country’s tourism minister as saying on Sunday. Revenue from visitors is now the North African country’s top foreign currency earner and the biggest employer after labour-intensive farming. Revenue from tourism reached a record 3.3 billion dinars in the January-November period in 2008 with 7 million tourists. Tunisia has a population of around 10 million. « Sector revenues amounted to 3.21 billion dinars, an increase of 2 percent compared to (the same period in) 2008, » the TAP news agency quoted Tourism Minister Khelil Lajimi as saying. « The indices we have registered remain much better than the expectations of the World Tourism Organisation, » he said. The number of tourists visiting Tunisia was 6.4 million in the year to November 30, down 2.6 percent from the first 11 months of 2008, said Lajimi. Tunisia has responded to lower consumer spending in Europe, its biggest tourism market, by trying to attract higher-spending tourists and by increasing spending on advertising. In an interview with Reuters in June, the tourism minister said Tunisia hoped that full-year tourism revenues for 2009 would be the same as last year.


Arab women meet in Tunisia to fight violence
www.chinaview.cn  2009-12-07 06:00:11      TUNIS, Dec. 6 (Xinhua) — Women representatives from 16 Arab countries met on Sunday to shed more light on violence against women in the region and discuss ways to fight against the issue calling for wider role of women in the Arab states.     « Tunisia is keen to unify Arab efforts to protect women from violence and improve their situation in a comprehensive approach to human rights in line with the various international agreements and conventions, » Tunisian Minister of Women, Family and Children Sarra Kanoun Jarraya told reporters at the meeting’s opening ceremony.     « Violence is not limited to direct physical abuse, but extends to other forms such as preventing women from education and participation in public life, » She added.     Jarraya stressed the need to forge a united action and exchange experiences to fight against such issue.     « The aim of this meeting consists in defining efficacious procedures to eradicate violence against women and take benefit from the various Arab expertise and experiences, » she said.     During the three-day meeting, representatives of member countries of the Arab Women Organization and civil society looked to identify a preventive and strategic approach and develop joint front to set concrete mechanisms to trim violence against women in Arab societies.     Workshops on women’s rights in international conventions are on the agenda of this event. Participants will also discuss Arab women’s rights and the legal definition of violence against women. 

 
 

Mme Leila Ben Ali reçoit le Blason d’or de l’Union des comités nationaux olympiques arabes

  

TUNIS, 7 déc 2009 (TAP)- Madame Leila Ben Ali a reçu, lors de sa présidence, lundi, de la cérémonie d’ouverture de la conférence internationale sur la promotion de l’emploi des catégories à besoins spécifiques, le blason d’or de l’Union des comités nationaux olympiques arabes, en témoignage de reconnaissance pour ses efforts, ses réalisations et ses initiatives avant-gardistes au service de la société. Dans l’allocution adressé par S.A. Sultan Bin Fahd Bin Abdul-Aziz Al-Saud, Président de l’Union des Comités nationaux olympiques arabes, dont lecture a été donnée en son nom par son conseiller Pr. Othman Mohamed Al-Saad, l’Emir a fait observer que la noble action de bénévolat menée par Madame Leila Ben Ali est un exemple à suivre aussi bien dans les pays islamiques que dans les autres pays du monde. Il a, par ailleurs, salué les efforts qu’elle déploie ainsi que son initiative en faveur de la création de l’Association « Basma » pour la promotion de l’emploi des handicapés, initiative qui reflète le sens aigu qu’elle a du rôle dévolu aux associations dans le soutien des efforts de l’Etat en matière de protection des personnes à besoins spécifiques et de leur aide à s’intégrer dans la vie publique. Il a indiqué que l’oeuvre de l’association « Basma » ne se limite pas seulement à la garantie d’un emploi et d’une source de revenu à ces catégories, mais consiste également à veiller à les aider à lancer des projets économiques en leur assurant les prêts et l’accompagnement nécessaires, dans les différentes phases de la création du projet. Il a également fait remarquer que la tenue de cette conférence en Tunisie illustre la place privilégiée qu’occupe le pays et la grande estime dont elle bénéficie, à l’échelle internationale, mettant l’accent sur le développement global que la Tunisie a connu dans les divers domaines, à la faveur de la clairvoyance du président Zine El Abidine Ben Ali, de sa politique réaliste et de sa vision prospective. Le président de l’Union des comités nationaux olympiques arabes a, d’autre part, mis en relief le pari fait par le président Ben Ali sur les ressources humaines, ainsi que les politiques et programmes qu’il a initiés au profit des différentes franges de la société et, tout particulièrement, les catégories à besoins spécifiques auxquelles il accorde une sollicitude particulière. Il a, en conclusion, évoqué les activités soutenues menées par l’Organisation Islamique pour l’Education, les Sciences et la Culture (ISESCO), se félicitant de la diversité des questions éducatives, scientifiques, culturelles, sociales et internationales qu’elle traite et qui figurent parmi les principales préoccupations de la Nations islamique.
 

Mme Leila Ben Ali reçoit le Blason d’or du Comité islamique du Croissant international

  

 
  TUNIS, 7 déc 2009 (TAP)- Mme Leila Ben Ali, épouse du Président de la République, présidente de l’Organisation de la Femme Arabe (OFA) et présidente de l’Association « BASMA » pour la promotion de l’emploi des handicapés, a reçu le blason d’or du Comité Islamique du Croissant International (CICI), représenté en la personne de son président, Dr. Ali Mahmoud Bouhedma, en signe de considération pour ses initiatives avant-gardistes dans le champ social, et pour les services louables qu’elle offre aux catégories à besoins spécifiques, en vue d’améliorer leurs conditions de vie, d’encourager leur emploi et de renforcer leur insertion dans la société. Dans une allocution prononcée, au cours de la cérémonie d’ouverture de la Conférence internationale sur la promotion de l’emploi des catégories à besoins spécifiques, M. Bouhedma a exprimé sa profonde considération et sa grande admiration pour le progrès et l’essor enregistrés en Tunisie, et pour la sécurité et la stabilité dont jouit la société tunisienne, sous la conduite éclairée du Président Zine El Abidine Ben Ali. Il a, dans ce cadre, salué l’attention particulière accordée par le Président de la République à la protection sociale, attention qui s’est illustrée, a-t-il dit, en particulier, à travers les réalisations majeures accomplies par le pays ainsi qu’à travers les activités avant-gardistes menées par l’Association « Basma ». Il a, par ailleurs, affirmé la conviction du CICI de l’importance du rôle qu’assument pareilles organisations et associations sérieuses et dynamiques, dans la propagation du développement et de la prospérité, ainsi que son aspiration à ce que l’ensemble des organisations de la société civile bénéficient de l’expertise et de l’expérience pionnière de l’association « Basma » dans son domaine d’intervention.


Tunesien

Im Reich des Ben Ali

Tunesien gilt als Urlaubsparadies mit langen Stränden. Doch außerhalb der Touristenzentren herrscht der Machthaber mit eiserner Hand. Starr lächelt der Mann auf sein Volk herab. Bilder des Präsidenten zieren Banner an den Straßenlaternen. Sie prangen auf großen Plakatwänden entlang der Hauptstraßen und auf Wimpeln, die vor Behörden im Wind flattern. In den Räumen von Schulen, Ämtern und Hotels hängen meist gleich mehrere in Gold gerahmte Porträts des mächtigsten Mannes im Staat. Zine El Abidine Ben Ali, der Machthaber Tunesiens, ist in dem nordafrikanischen Land allgegenwärtig. Ben Ali trägt auf den Bildern stets volles schwarzes Haar und glatte, jugendhafte Haut zur Schau. Seine 73 Jahre sieht man dem Präsidenten Tunesiens nicht an. « Angemalt, von oben bis unter ist er angemalt », flüstert eine Tunesierin. Laut, vor Fremden auf der Straße, würde sie nicht über den ewigen Präsidenten spotten. Der Geheimdienst soll seine Ohren über all haben. Drei Prozent der Bevölkerung seien beim Innenministerium angestellt, erzählt eine Europäerin, die lange in Tunis lebt. Die Uniformierten der Polizei und der Nationalgarde stehen an jeder Kreuzung, vor jedem Staatsgebäude. Sie verkörpern offen die Staatsmacht. Anzeige Doch wer zu den Agenten des Geheimdienstes gehöre, sei schwer auszumachen, sagt die Europäerin. Die Spitzel säßen in Cafés und Parks, hörten zu, was die Menschen bereden. Ihren Namen will die Frau nicht veröffentlicht sehen. « Vielleicht », sagt sie, « gibt es beim Innenministerium auch eine Akte über mich. » Sie sagt das leicht dahin, es klingt wie ein Scherz, doch lächelt die Europäerin dabei nicht. Ein in Tunis lebender Deutscher berichtet, dass er beobachtet werde. Er sei sich sicher, dass jemand notiere, wann er das Haus verlasse, wann er zurückkomme und wer ihn besuche. In jedem Viertel soll es einen Aufpasser der Behörden geben, der als Quartierwart über die Ordnung wacht. In Tunesien wird die Macht von Ben Ali wird von niemanden offen herausgefordert, doch das Regime geht auf Nummer sicher. Seit 22 Jahren regiert Ben Ali nun schon Tunesien. 1987 löste er Habib Bourguiba mit einem Putsch ab. Er ließ von Ärzten feststellen, dass der Amtsinhaber nicht mehr regierungsfähig sei. Ben Ali, damals Ministerpräsident, übernahm die Staatsgeschäfte. Seitdem herrscht Ben Ali und seine Familie über das Land wie absolutistischer Monarch. Beamte beantworten Fragen nach ihrer Meinung gerne mit Sätzen wie: Der Präsident hat vergangene Woche entschieden, dass…. » Eine eigene Sicht der Dinge ist nicht gefragt. Noch immer hängen die Wahlplakate des Präsidenten in vielen Orten, obwohl die Wahl schon Wochen zurückliegt. Die Bürgermeister wetteifern darum, erzählt eine Einheimische, wer die Werbung am längsten hängen lasse und damit die größte Loyalität zeige. Kurz nachdem der Präsident verlauten ließe, Tunesien solle bunter werden, ihm gefalle die Farbe violett, reagierten die Behörden mit der Aktion Pinsel. Geländer von Autobahnbrücken, Poller und Pfosten wurden fortan in der Farbe des Präsidenten gestrichen. Im Ausland preist Ben Ali die stabile Demokratie in seinem Land und die große Bedeutung der Menschenrechte. Er gibt den großen Reformer, der Tunesien den Aufschwung gebracht hat. Doch bei allem wirtschaftlichen Fortschritt verharrt Tunesien politisch in der Despotie. Eine echte Opposition gibt es ebenso wenig wie eine freie Presse. Die tunesischen Zeitungen und Fernsehnachrichten verkünden täglich, was Ben Ali zur Kenntnis genommen hat und welche Wohltaten er plant. Über die Korruption der Elite, den ungeheuren Einfluss der Präsidentenfamilie auf die Privatwirtschaft oder die Polizeiwillkür berichten sie nicht. Bis in die Privatwirtschaft reicht die Kontrolle. Hinter vorgehaltener Hand erzählt ein Tunesier, dass stets irgendein Verwandter des Präsidenten auftauche, sobald ein Geschäftsmann gute Gewinne macht. Dann verkündet das Mitglied der Präsidentenfamilie, das es sich an dem Unternehmen beteiligen möchte. Ein Angebot, das man nicht ablehnen könne. Ende Oktober siegte Ben Ali erneut bei der Präsidentenwahl. Das Ergebnis stand schon vorher fest, die hohe Wahlbeteiligung auch. « Ich kenne niemanden, der zur Wahl gegangen ist », sagt ein Mann aus Tunis. Auch sein Name darf hier ebenso wenig stehen wie sein Alter und der Beruf. Im Reich des Ben Ali ist Kritik nicht erwünscht. Wer den Herrscher tadelt, der wird von den Behörden eingeschüchtert und wenn das nicht reicht, um ihn zum Schweigen zu bringen, dann findet das Regime andere Methoden. So erging es auch Taoufik Ben Brik, einem regimekritischen Journalisten. Ende Oktober nahmen ihn Polizisten fest, angeblich, weil er eine Frau geschlagen habe. Reporter ohne Grenzen und andere Menschenrechtsgruppen sprechen von « einer Farce » und einer « Inszenierung, um den kritischen Journalisten einzuschüchtern ». Die Festnahme des bekannten Journalisten sorgte für Ärger. Ben Ali erhielt nach seiner Wiederwahl zum Präsidenten aus Europa nicht nur Glückwunschsschreiben zugesandt, sondern bekam manches ernstes Wort zu hören. Das französische Außenministerium beklagte offiziell, wie schwach die Meinungsfreiheit in Tunesien sei, wie wenig hier die Menschenrechte gelten würden. Die tunesische Regierung wies das strikt zurück. Ende November verurteilten die Richter Ben Brik zu sechs Monaten Haft ohne Bewährung. Der Prozess verlief schnell und unfair. Die Anwälte des Regimekritikers durften ihn nicht besuchen und Beweise, etwa eine Unterschrift unter einem Polizeiprotokoll, sollen gefälscht worden sein. « Ich bin Opfer einer Falle der Sicherheitskräfte geworden », kommentierte der Journalist seine Verurteilung. « Ich bin die Geisel von Ben Ali. » In einem anderen Fall sei ein Journalist Ende Oktober vor seiner Haustür von Unbekannten entführt und dann zusammengeschlagen worden, teilte Reporter ohne Grenzen mit. Und als die französische Tageszeitung Le Monde despektierlich über die Frau des Präsidenten berichtete, verschwand sie über Nacht aus den Kiosken. Der jüngste Fall liegt nur zwei Tage zurück: Am Mittwoch wurde der regimekritische Journalist Zouhair Makhlouf wegen einer Videoreportage über Umwelt- und Wirtschaftsprobleme zu drei Monaten Haft ohne Bewährung verurteilt. « Wir haben hier eine gelenkte Presse », sagt ein Diplomat. « Die Regierung kontrolliert alles. » Auch der Chefredakteur des arabischen Fernsehsender Al-Dschasira, Ahmed al-Scheich, klagt, dass die Lage der Journalisten in Tunesien ähnlich schlecht sei wie in Saudi-Arabien. Für Tunesier sind die Festnahmen von Kritikern, das Verbot von Zeitungen, der Ausschluss von Oppositionellen von Wahlen, längst ein normaler Vorgang. Niemand überrascht so etwas. Es regt die Mehrheit der Bevölkerung auch nicht wirklich auf. Solange der Präsident dort oben in der Ferne, mich in Ruhe lässt, sagt so mancher Tunesier, solange ist er mir egal. Volk und Führung haben sich längst voneinander entfremdet. Die Botschafter und Konsuln in Tunis rätselten vor der Wahl, wie viel Prozent der Präsident diesmal wohl bekommen werde. 99 Prozent wie im Jahr 1994, oder doch nur 95 Prozent wie vor fünf Jahren? Der Präsident müsste gar nicht betrügen, sagt der Diplomat. Er würde wohl auch so gewinnen. Er habe dem Land etwas gebracht, was die Menschen wollen: Sicherheit. Eine manchmal beklemmende, unheimliche Sicherheit. Aber Tunesien, so der Diplomat, sei das sicherste Land Nordafrikas, die Islamisten spielten keine Rolle. Die Polizei greife hart gegen radikale Muslime durch – die Gefängnisse seien voller Islamisten. Ben Ali dulde auch keine religiöse Macht neben ihn. Angestellte im Staatsdienst dürfen kein Kopftuch tragen und Studentinnen, die sich verhüllen, werden immer mal wieder von den Seminaren ausgeschlossen. Frauen die nicht nur ein Kopftuch, sondern den Tschador, der Ganzkörperschleier tragen, werden von Beamten auf der Straße angehalten und eingeschüchtert. In Tunis stehen zu jeder Uhrzeit Polizisten auf den großen Straßen, in denen sich die Ministerien, Behörden und Kasernen befinden. Mit ihren weißen Pistolentaschen und den Handschuhen sehen sie aus wie Beamte aus der Kolonialzeit, doch ihre Methoden haben sie der neuen Zeit angepasst. Ein Auto nach dem anderen winken sie aus dem Verkehr heraus an den Straßenrand. « Sie sind zu schnell gefahren », sagen die strengen Hüter Ben Alis Sicherheit oft und stellen das ganz ohne Radargerät fest. Wer ohne langwierige Kontrolle weiter fahren will, reicht einen Dinarschein diskret hinaus. Der Polizist greift zu, beendet die Kontrolle und hält schon bald den nächsten Fahrer an. Unzählige Polizisten stehen an Kreuzungen, Kreiseln, lauern in Häuschen und auf Motorrädern. Ihre Zahl nimmt stark zu, wenn der Präsident unterwegs ist. Dann stehen viele Uniformierte auf den Bürgersteigen und hinter ihnen beobachten breitschultrige Männer in Zivil das Geschehen. Sie haben kleine Kopfhörer im Ohr und kontrollieren, ob die Polizisten auch wachsam sind. Hinter den Aufpassern stehen einige wenige Anzugträger, die Oberen des Geheimdienstes, die ihre Agenten überwachen. « Man kann am Stadtbild sehen, wo und ob der Präsident unterwegs ist », sagt ein Mann. Wenn der Präsident seinen Palast oder ein anderes Ziel erreicht hat, ziehen die Bewacher wieder ab. Die Polizei, Armee und der Geheimdienst sind dem Präsidenten treu ergeben – dass Ben Ali das gleiche Schicksal ereilt, wie seinen Vorgänger, glaube daher keiner. Doch ewig wird er die Macht nicht in seinen Händen halten können. Bei der nächsten Wahl darf er nicht mehr kandidieren. Die Verfassung begrenzt das Höchstalter dafür auf 75 Jahre. « Ach, die Verfassung, die kann man ändern », sagt ein Diplomat. « Dann werde es heißen, das Volk habe den großen Präsidenten gebeten, im Amt zu bleiben. » Mancher Tunesier glaubt hingegen, dass der Schwiegersohn Ben Alis bereits zum Kronprinzen ernannt wurde. Wenn es so weit ist, wird Ben Ali seinem Volk verkünden, wer seine Nachfolge antritt. Gewählt werden wird dann auch, denn der Machthaber weiß, dass das Ausland darauf großen Wert legt. (Source: Die Zeit (Magazine – Allemagne), le 7 décembre 2009) Lien : http://www.zeit.de/politik/ausland/2009-12/tunesien-ben-ali


 


PO/UE: manifestation palestinienne en faveur du texte sur Jérusalem-est

AFP, le 7 décembre 2009 à 12h49 JERUSALEM, 7 déc 2009 (AFP) – Des es dizaines de Palestiniens ont manifesté lundi devant des sections des consulats de France et de Suède à Jérusalem pour soutenir la proposition de la présidence suédoise de l’UE d’un Etat palestinien avec Jérusalem-est pour capitale, a constaté un journaliste de l’AFP. Une délégation a remis une lettre aux représentants des deux consulats exprimant leur « soutien à la résolution de la Suède », qui occupe la présidence tournante de l’Union européenne, a déclaré à l’AFP Dimitri Deliani, porte-parole à Jérusalem du Fatah, le mouvement du président de l’Autorité palestinienne. Les manifestants brandissaient des pancartes proclamant « Jérusalem, capitale de Palestine » et dénonçant les « pressions israéliennes » pour amender cette proposition. Ce texte, qui doit encore être discuté par les 27, a déclenché une polémique entre l’UE et Israël. Dans sa version originale, qui a fait l’objet de fuites dans le quotidien israélien Haaretz, l’UE se prononce en faveur « d’un Etat palestinien viable, comprenant la Cisjordanie et Gaza, avec Jérusalem-est comme capitale ». Le ministère israélien des Affaires étrangères a regretté une proposition qui « portait atteinte à la capacité de l’Union européenne à prendre part, en tant qu’un important médiateur, dans le processus politique entre Israël et les Palestiniens ». Le chef de la diplomatie française Bernard Kouchner doit faire connaître mardi la position de la France, mais selon le porte-parole du Quai d’Orsay, la « priorité » de Paris est que les 27 aboutissent à un texte favorisant une reprise des négociations entre Israéliens et Palestiniens. AFP


PO/UE: le projet de texte sur Jérusalem-Est est une « erreur » (Livni)

AFP, le 7 décembre 2009 à 10h05 PARIS, 7 déc 2009 (AFP) – La dirigeante de l’opposition centriste en Israël, Tzipi Livni, estime que le projet de texte de la présidence suédoise de l’UE en faveur d’un Etat palestinien avec Jérusalem-Est pour capitale est « une erreur » qui nuit au règlement de paix, dans un entretien publié lundi. « Cette initiative ne va pas aider à relancer les négociations de paix entre Israël et les Palestiniens. C’est une erreur », déclare l’ex-ministre israélienne des Affaires étrangères dans cet entretien publié par le journal Le Parisien. « S’il est de l’intérêt des deux parties en cause à reprendre le dialogue, c’est à elles deux de prendre les décisions, pas à l’Union européenne », ajoute Mme Livni, qui se trouvait ces derniers jours à Paris. « Cela n’aide personne. Et c’est tout simplement hors de question. Le statut de Jérusalem fait partie des négociations de paix », déclare-t-elle encore. Dans la version originale du texte en cours d’élaboration, l’UE se prononce en faveur « d’un Etat palestinien viable, comprenant la Cisjordanie et Gaza, avec Jérusalem-Est comme capitale ». Ce texte doit être discuté par les 27, certains estimant qu’il va trop loin. Le ministère israélien des Affaires étrangères a estimé que la proposition « portait atteinte à la capacité de l’Union européenne à prendre part en tant qu’un important médiateur dans le processus politique entre Israël et les Palestiniens ». Le chef de la diplomatie française Bernard Kouchner fera connaître mardi la position de la France à Bruxelles, à la suite de la réunion des ministres des Affaires étrangères, a indiqué dimanche le secrétaire d’Etat français aux Affaires européennes, Pierre Lellouche. AFP

 

 

 

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