The International Federation of Journalists : IFJ Condemns Harassment of Journalists’ Leader in Tunisia The Economist: Tunisia – An ageing autocrat stifles opposition as the European Union shuts its eyes ATF: Ali Ben Cheikh n’est plus Abdel Wahab Hani: Le mouvement partiel dans le Corps Préfectoral rajeunit la fonction et rappelle son Ethique Guysen: Ouzifa Trabelsi : »La tunisie n’a aucun intérêt à s’unir au terrorisme » Tekiano: Tunisie : 45% des profs ignorent l’informatique Kapitalis: La destination Tunisie relookée sur le marché britannique Biju: Y’a-t-il une vie avant la mort en Tunisie ? La Fouilleuse: Tunis : Quelles solutions pour réduire nos déchets
IFJ Condemns Harassment of Journalists’ Leader in Tunisia
An ageing autocrat stifles opposition as the European Union shuts its eyes
THE government of Tunisia must do more to uphold human rights and the rule of law and to allow political pluralism if the country is to win “advanced-partner status” to give it cosier relations with the European Union (EU). That, at any rate, is the view of Tunisia’s bravest human-rights campaigners who, earlier this summer, badgered officials in Spain, which then held the EU’s rotating presidency. The Spaniards duly raised the issue in Brussels. This annoyed Zine el-Abidine Ben Ali (pictured), who has ruled Tunisia since 1987 with virtually no opposition. But far from bowing to such pressure, his parliament passed an amendment to the penal code’s section on espionage, adding a clause that anyone deemed to “harm Tunisia’s vital interests” must go to prison for at least five years. Just to be sure, officials made clear that this includes the crime of “inciting foreign parties not to grant loans to Tunisia, not to invest in the country, to boycott tourism or to sabotage Tunisia’s efforts to obtain advanced-partner status with the EU.” Mr Ben Ali, nearly 74, often boasts of running a stable, modestly prosperous, well-educated country, with the Arab world’s most liberal legislation for women’s rights. But democracy is another matter. After his election to a fifth term in October, with 90% of the vote, his fist got tighter than usual. Amnesty International says that dissidents are held in dire conditions; those still free are constantly harassed. According to the human-rights body, security agents infiltrate opposition groups to take control of them, stifling open politics. Moreover, according to a book published last year in France but banned in Tunisia, Mr Ben Ali’s family and influential wife, Leila Trabelsi, own a number of lucrative monopolies that hamper the free market. The press is weak too. The state filters the internet, often confiscates editions of newspapers that dare publish dissident views, and jails independent journalists such as Fahem Boukadous, who was sentenced this month to four years in prison for reporting worker unrest in the mining region of Gafsa in 2008. That provoked a rare rebuke by the American State Department, which said it was “deeply concerned about the decline of political freedoms.” By contrast the EU, apparently under pressure from France and Italy, which both have close ties to Tunisia, has kept quiet. Advanced-status negotiations continue.
Ali Ben Cheikh n’est plus
Le mouvement partiel dans le Corps Préfectoral rajeunit la fonction et rappelle son Ethique
Par Abdel Wahab Hani
Mahmoud Saïd nouveau Gouverneur de Kebili assume désormais la représentation politique de Mahdia, capitale des Fatimides, jadis florissante en Ministres et autres commis de l’Etat
Mohamed Hafedh Chérif nouveau Gouverneur de Kasserine représente l’évolution de carrière au sein du corps de l’Administration régionale
Les mutations, les nominations et les sortants de ce 28 juillet 2010 :
L’agence TAP nous rapporte hier mercredi 28 juillet que suite à son entrevue avec le Chef de l’Etat, le Ministre de l’Intérieur et du Développement local « a annoncé que le Président de la République a décidé d’opérer un mouvement dans le corps des gouverneurs, en vertu duquel ont été mutés dans leurs mêmes fonctions MM. :
-Faouzi Ben Arab,du gouvernorat de Sidi Bouzid au gouvernorat de Jendouba -Mourad Ben Jallouldu gouvernorat de Médenine au gouvernorat de Sidi Bouzid -Brahim Brikidu gouvernorat de Kebili au gouvernorat de Médenine
Le Chef de l’Etat a, également, décidé de nommer MM. :
-Mohamed Hafedh Chérif, gouverneur de Kasserine ,
-Mahmoud Saied, gouverneur de Kebili »
Le site Leaders.com précise pour sa part l’identité des Wali (Gouverneurs, Préfets) sortants, à savoir MM. Hédi Slim, ancien Wali de Jendouba, et Hassen Lejri, ancien Wali de Kasserine, « atteints par la limite d’age » selon ce site d’information bien informé, pour savoir qui parmi les Gouverneurs âgés est atteint de limite d’âge et qui ne l’est pas encore.
Réflexions à chaud et Perspectives de Réformes futures :
Par dessus les affinités personnelles, les jugements de proximité de tel Ministre ou de tel autre dignitaire du pouvoir en place, nous voudrions profiter de ce mouvement partiel dans le corps préfectoral pour mettre l’accent sur sept aspects qui nous paraissent d’une importance capitale, à savoir : Le rajeunissement inéluctable de nos Institutions républicaines ; L’indispensable justice politique entre les différentes régions du pays notamment lors des nominations ; Les critères de sélection des Hauts représentants de l’Etat ; La prise en compte des aspirations de promotion des Corps concernés ; Les Obligations de ‘Messieurs’ (voir plus loin) les Gouverneurs ; La nécessaire révision de la Carte administrative de la République ; Les nouvelles mutations du monde imposant une évolution de la fonction de Gouverneur ; la Nécessaire Indépendance des Gouverneurs par rapport aux partis politiques.
Nous tenterons de situer ce mouvement partiel dans son contexte, en dégageant ses faits marquants. Nous essayerons, par la suite, d’esquisser des Perspectives de Réformes futures dans le souci de POPOSER afin de MODERNISER, de DEMOCRATISER et d’AMELIORER la vie de nos Institutions et le quotidien de nos concitoyens.
Rajeunissement de la fonction :
Es deux nouveaux Gouverneurs sont nés en 1968, ce qui marque la reprise de la tendance du rajeunissement de la fonction, observée notamment depuis trois ans, notamment lors du dernier mouvement partiel avec la nomination du jeune et talentueux quadra Si Hichem Ben Ahmed à Mahdia le 22 janvier dernier.
Certes, la fonction a connu des titulaires plus jeunes par le passé, à l’instar de Si Mohamed Ghariani, actuel SG du RCD au pouvoir qui officiait à Sidi Bouzid à peine la trentaine, mais la tradition s’était un peu perdue au profit de certains noms qui sont mutés de Gouvernorat à Gouvernorat, sans évoluer et sans laisser évoluer d’autres compétences, plus jeunes et plus dynamiques.
Les deux nouveaux jeunes quadra Gouverneurs de Kasserine et de Kebili :
Le premier est né à Gafsa, capitale de la richesse minière et Gouvernorat bien représentée politiquement (Ministres, Gouverneurs…). Mr le Gouverneur Mohamed Hafedh Chérif assumait les fonctions de Secrétaire général du Gouvernorat de Sousse jusqu’à sa nomination.
Le second est né à Mahdia, capitale des Fatimides, Gouvernorat non représenté politiquement jusqu’à présent (aucun Ministre, aucun Gouverneur) , alors qu’elle fournissait jadis Ministres et Hauts Commis de l’Etat. Mr le Gouverneur Mahmoud Saied assumait les fonctions de Secrétaire général adjoint du parti RCD au pouvoir.
La justice politique entre les différentes régions de la République :
Sans tomber dans le régionalisme primaire et maladif cher à certains, nous estimons qu’il était temps d’accéder à l’aspiration de représentation politique dans les Institutions de la République d’un Gouvernorat de la taille et de l’importance politique, démographique, historique, économique et culturelle de Mahdia, capitale des Fatimides qui fondèrent le Caire et sa célèbre Mosquée-UniversitéAl-Azhar Al-Charif.
Cette dimension de représentation politique de toutes les régions du pays permet à tous les enfants de la Tunisie, où qu’ils soient nés de sentir représentés Par et Dans la république. Elle permet aussi d’absorber les tentations minables de régionalisme et de sectarisme clanique.
L’indispensable respect des aspirations d’évolution des cadres de l’Etat :
La nomination d’un Secrétaire général de Gouvernorat est non seulement une justice vis-à-vis des cadres de l’Etat qui le font vivre au quotidien, mais elle permet de motiver les jeunes commis de l’Etat, d’Injecter du sang Neuf et de Dynamiser l’Administration.
D’autant plus que cette dimension est inscrite dans les textes depuis la naissance du Corps des « Cadres Supérieurs de l’Administration Régionale »
Le Décret beylical du 21 juin 1956 et l’obligation de quotas réservés à l’évolution au sein de la fonction :
De prime à bord, rappelons que les décrets beylicaux (أَمْر عَلِيّ), depuis l’Indépendance jusqu’à la Proclamation de la République, portant le sceau du Chef de l’Etat d’alors Sa Majesté Mohamed Lamine Pacha Bey, dernier monarque de la famille husseinite, ont été pris et signé par feu le Zaïm Habib Bourguiba, Grand Ministre et Président du Conseil. En effet, peu après l’Indépendance le Bey ne conservait que le pouvoir de nomination des Imams et des Juges de première classe (3e classe aujourd’hui) et que tout le pouvoir réglementaire était entre les mains du Conseil et de son Président, vainqueur incontesté de la longue bataille pour l’Indépendance.
Concernant le Décret du 21 juin 1956 (12 doul kaada 1375), publié dans le Journal Officiel Tunisie (JOT avant l’ajout du R de la République pour devenir notre actuel JORT) n° 50 de l’an 99, paru le 22 juin 1956 (13 doul kaada 1375), portant « Organisation Administrative du Royaume », il institue la division administrative de l’Etat, en Gouvernorats régionaux (ولايات), Délégations territoriales (معتمديات) et Cheiykhats (مشيخات) devenus Imadat (عمادات).
Il fixe, notamment dans ses articles 8, 11, 13 et 14, les prérogatives des Gouverneurs, comme « le Chef hiérarchique de tous les fonctionnaires de l’Administration Régionale, mis à sa disposition », assurant « la coordination, l’orientation et la surveillance générale de l’activité des fonctionnaires de l’Etat et des fonctionnaires publics de l’Etat », ainsi que « la représentation des intérêts nationaux » et « le contrôle administratif des collectivités publiques locales ». Ils assurent aussi « le maintien de l’ordre public », peuvent « constater les crimes et délits et en livrer les auteurs aux Tribunaux » et « sont chargés en outre de l’exécution des décisions de justice ». Ce qui en fait les représentants de l’Etat, les dépositaires de ses prérogatives dans la limite de leurs circonscriptions et les garants de sa continuité territoriale.
Il est suivi d’un Décret, promulgué le même jour et paru dans le même JOT, portant « Statut du personnel supérieur des Services Extérieurs de l’Administration Régionale ».
Ce Décret d’une extrême importance fixe l’Organisation générale de la Carrière du Personnel supérieur des Services Extérieurs de l’Administration Régionale, à savoir « Les Gouverneurs, les Secrétaires généraux des Gouvernorats et les Délégués des Gouverneurs » selon l’article Premier dudit Décret.
Il précise les critères de leur Recrutement, d’Avancement et l’Evolution de leur carrière, ainsi que les conditions de leur Affectations, Mutations, Congés, Retraite, tout en consacrant à la Discipline et les Obligations qui incombent à leur Haute Charge.
Un Chapitre entier est consacré au Recrutement. On peut y lire, par exemple, concernant les cotas par catégorie :
Article 7 :
« Les Gouverneurs sont nommés au choix par décret délibéré en Conseil des Ministres sur présentation du Ministre de l’Intérieur, selon les modalités suivantes :
1° Dans la proportion de cinquante pour cent (50%) au moins de l’effectif total des Gouverneurs, parmi les Délégués de Gouverneurs (معتمدو الولات) de la classe exceptionnelle et de la 1re classe, et les Secrétaires Généraux de 1re classe ;
2° Dans la proportion de vingt cinq pour cent (25%), au maximum, parmi les Administrateurs civils, les Magistrats de l’ordre judiciaire ou de l’ordre administratif ; les Inspecteurs des Services Administratifs et les Inspecteurs principaux des Régies financières en service auprès de l’Administration Centrale des Finances, à condition qu’ils aient dix ans de services civils effectifs dans l’Administration tunisienne ;
3° Dans la limite de vingt cinq pour cent (25%) au maximum du même effectif au choix du Gouvernement. »
Article 8 :
« Les secrétaires Généraux sont nommés par arrêté du Ministre de l’Intérieur, selon les modalités suivantes :
1° Dans la proportion des deux cinquièmes (2/5) des emplois inscrits à la loi des cadres, parmi les Délégués de Gouverneur de 2e classe, 2e échelon ;
2° Dans la proportion des trois cinquièmes (3/5) des emplois inscrits à la loi des cadres, parmi les fonctionnaires titulaires des Administrations et des Etablissements publics de l’Etat, classé dans la catégorie indiciaire A ; … »
Article 10 :
« Les Délégués sont recrutés dans la limite minimum de deux tiers (2/3) des emplois inscrits à la loi des cadres, par concours sur épreuves organisé par arrêté de notre Ministre de l’Intérieur. Pou le tiers (1/3) restant, ils pourront être recrutés au choix parmi les candidats fonctionnaires titulaires des Administrations publiques et des Etablissements publics de l’Etat… »
Une Réforme réaliste : Limiter à 25 % le cotas de nominations politiques:
Les critères et la condition d’évolution de carrière parlent d’eux mêmes et renseignent sur le désir des Pères de l’Indépendance de doter la Tunisie d’un vrai corps préfectoral, avec une limitation des nominations politiques à la discrétion du Gouvernement à 25 % de l’effectif global de la fonction.
Une telle réforme est possible aujourd’hui, d’autant plus qu’elle est inscrite dans les gènes institutionnelles de l’Etat tunisien de l’Indépendance.
Une telle Réforme permettra de limiter la politisation des nominations à la Haute fonction politique et permettra de créer une saine émulation au sein même de l’Administration et des Corps de l’Etat, faite d’éloge à la Compétence et de Loyauté à la Patrie, au seul service de l’Etat et des Tunisiennes et des Tunisiens.
Nous avions eu, par le passé, à proposer le même principe de limitation des nominations politiques à 25% dans le Corps des Ambassadeurs, pour permettre l’évolution naturelle de nos vaillants diplomates de carrière, rajeunir notre Diplomatie et sélectionner les Meilleurs pour un vrai « Service Diplomatique Tunisien ».
La lecture du Décret du 21 juin 1956, rédigé dans la foulée de l’Epopée de notre Indépendance nationale nous redonne foi et espoir en de possibles réformes, extrêmement utiles à l’Etat et à la Nation.
Notre pays comme tout pays a besoin d’une Administration forte, indépendante des Partis, des familles et des intérêts et affinités claniques, régionalistes, idéologiques ou de toute autre nature.
Les Obligations de Messieurs les Gouverneurs :
Rappelant avec regret que ledit Décret du 21 juin 1956 limite, dans son article six, la fonction de Gouverneur à la seule gente masculine. Un aspect à corriger sans doute, si ce n’est déjà fait dans un amendement ultérieur qui nous aurait échappé dans cette lecture à chaud).
Un Chapitre entier dudit décret, chapitre IX, notamment ses articles 39 à 43, se consacre aux « Dispositions spéciales » s’appliquant au « Personnel supérieur des Services Extérieurs de l’Administration Régionale ».
Ce chapitre est à afficher dans le bureau de monsieur le Ministre de l’Intérieur et du développement local, dans celui de son Secrétaire d’Etat, du Directeur général du Ministère, du Directeur général des collectivités régionales, du Gouverneur des Gouverneurs, de l’Inspection générale du Ministère, ainsi que dans les bureaux de tous nos Gouverneurs, Secrétaires généraux des Gouvernorats et Délégués, tant il trace une vraie éthique de la fonction.
Nous le reproduisons ici en intégralité, en exprimant nos souhaits les plus sincères de voire l’Administration centrale élaborer les mécanismes les plus à même de le mettre à l’œuvre en pratique :
Une éthique préfectorale au service de l’Etat et des Citoyens :
Article 39 :
« Il est interdit aux Gouverneurs, Secrétaire généraux et délégués d’assumer une responsabilité quelconque au sein d’un groupement politique, professionnel ou confessionnel. »
Article 40 :
« L’épouse d’un Gouverneur, d’un Secrétaire général ou d’un Délégué ne peut exercer dans la circonscription de son conjoint, d’activité lucrative publique ou privée qu’avec l’autorisation de Notre Ministre de l’Intérieur. »
Article 41 :
« L’acquisition par les Gouverneurs, les Secrétaires généraux ou les Délégués, ou par leur conjoint, à titre onéreux ou à titre gratuit, d’immeubles ou de cheptels vif dans les limites de la circonscription où ils exercent, est soumise à l’autorisation préalable de Notre Ministre de l’Intérieur. »
Article 42 :
« La location ou l’exploitation, directement ou par personne interposées des immeubles ruraux à caractère agricole par les Gouverneurs, les Secrétaires généraux et Délégués dans la limite de la circonscription où ils exercent, est soumise à l’autorisation préalable de Notre Ministre de l’Intérieur. »
Article 43 :
« L’exploitation ou la gestion directe ou par personne interposée d’un fonds de commerce, d’une entreprise industrielle ainsi que toutes opérations à caractère commercial sont formellement interdites aux Gouverneurs, Secrétaires généraux et Délégués. »
Ces articles du Décret du 21 juin 1956 représentent une vraie éthique préfectorale, certes respectée par un grand nombre de nos Gouverneurs, Secrétaires généraux et Délégués, mais hélas certains la bafouent. Les manquements existent dans tous les pays d’ailleurs. Le rôle de la Loi est de punir les responsables indélicats et de les mettre les hors d’état de nuire. Les Inspections générales ont d’ailleurs cette fonction primordiale de veiller à l’Intégrité des Représentants de la république.
Les mutations du monde dans lequel nous vivons impose des mutations dans la fonction de Gouverneur :
Nous voudrions soulever un seul aspect qui nous paraît d’une importance capitale pour nos différents Gouvernorats, à savoir la Coopération décentralisée avec d’autres Régions et Départements d’autres Nations souveraines.
En effet, la coopération est de plus décentralisée et nos Gouvernorats doivent répondre à cette nouvelle donne. Certes, des efforts ont été entrepris, mais la rapidité des évolutions exige plus de réactivité, de modernisation et de démocratisation des services régionaux pour pouvoir négocier, traiter et coopérer d’égal à égal avec des Départements et des Régions disposant d’énormes moyens et issus d’élections représentant la diversité de leur population.
La révision de la Carte administrative et l’élection des Conseils régionaux
Trois réformes nous semblent indispensables aujourd’hui, s’agissant de la Carte Administrative de la république/
1-Révision du Découpage des Gouvernorats :
Réviser le Découpage des Gouvernorats pour plus de justice politique et sociale et pour mieux répondre aux évolutions démographiques et économiques de nombreuses régions.
Notre père Haj Mohamed Laroussi Hani, ancien de la fonction préfectorale, ; a formulé des propositions chiffrés et cartographiés sur ledit découpage. D’autres ont esquissé des idées intéressantes, notamment en marge des Débats généraux dans les deux Chambres, à l’occasion de la présentation du Budget général de l’Etat.
Le Ministre de l’Intérieur devrait proposer à Monsieur le Premier Ministre et au Chef de l’Etat un cadre national de réflexion sur le sujet, avec notamment l’avis des acteurs politiques, syndicaux et associatifs et des consultations régionales et locales, pour re-penser le découpage administratif d’une manière démocratique et citoyenne.
2-Création d’un niveau supra-régionale sous appellation de District ou Région :
Là aussi une réflexion citoyenne, démocratique et participative doit s’engager. Pour mieux répondre aux besoins locaux, le re-découpage territorial doit s’accompagner de la création d’un nouveau niveau supra-régional, sous appellation de District ou Région, regroupant plusieurs Gouvernorats, afin de mieux fédérer les efforts en matière de Développement.
La Tunisie est composée de 7 ou 8 Grandes Régions géographiques et économiques. A la tête de chacune pourrait être nommé un Gouverneur de District / Région.
D’ailleurs de nombreux services de l’Etat et des entreprises publiques sont organisés en Grands Districts.
3-Démocratisation de l’exécutif régional :
Notre pays doit engager un processus serein de démocratisation à l’échelon régional, la démocratie enracinée est celle qui prend appui et attache à la source, près des gens, des problèmes et des aspirations quotidiens du pays. Cette démocratisation peut adopter le système mixte français avec un partage de prérogatives entre l’exécutif régional ou départemental élus et les services de l’Etat géré par le Préfet, nommé en Conseil des Ministres.
Une pensée à la mémoire des premiers gouverneurs de l’Indépendance:
Un autre Décret du 21 juin 1956, paru dans le même JOT 50 de l’an 99, en date du 22 juin 1956, annonce la nomination, à partir du 1er juillet 1956, des Premiers Gouverneurs de la République, tous décédés aujourd’hui Allah Yarhamhom, après la suppression du corps caïdal.
Une pensée s’impose à leur mémoire. Nos Gouverneurs doivent se rappeler qu’ils sont assis sur le siège des Pionniers Bâtisseurs du Service Préfectoral tunisien:
-M. Ahmed Zaouch, Gouverneur de Tunis et Banlieue avec le titre de Cheikh Médina et Banlieue ;
– M. Mohsen Nouira, Gouverneur de Bizerte ;
– M. Béchir Bellagha, Gouverneur de Béja ;
– M. Naceur Ben Jaafar, Gouverneur de Souk-el-Arba,
– M. Ahmed Bellalouna, Gouverneur du Kéf,
– M. Mustapha Khabthani, Gouverneur de Sbeitla,
– M. Béchir Achoura, Gouverneur de Gafsa,
– M. Abdelhamid El Cadhi, Gouverneur de Tozeur,
– M. Mohamed Ben Lamine, Gouverneur de Médenine,
– M. Lahbib Ben Mohamed Lahbib, Gouverneur de Gabés,
– M. Zeïn El Abidine Mohsen, Gouverneur de Sfax,
– M. Amor Chéchia, Gouverneur de Kairouan,
– M. Mohamed Makni, Gouverneur de Sousse,
– M. Salah Ben Ayache, Gouverneur de Nabeul,
-M.Mohamed Jedidi, Gouverneur détaché à l’Administration Centrale du Ministère de l’Intérieur,
Que Allah Le Tout Puissant les Récompense dans son Paradis éternel Pour Leurs Services rendus à la Patrie,
Besançon, le 29 juillet 2010
Genève, le 26 juillet 2010
تَحْيَى تُونِس
تَحْيَى الجُمْهُورِيَّة
Âïd / Retornado, Bi Idhni Allah, Ahabba Al Mouhibboun Wa Kariha Al Karihoun
Abdel Wahab Hani
العائِد بإذن الله تعالى، أحبَّ المُحِبُّون وكَرِهَ الكارِهون
عبد الوهَّاب الهاني
+33 6 17 96 00 37 (toujours injoignable depuis toutes les lignes fixes, publiphones, mobiles, rifi, publiques et privées de l’opérateur étatiqueTunisie Telecom, demande de passeport bloquée depuis le 19 juillet 2009, par décisions arbitraires d’un ‘ir-respensable’ zélé qui continue à se pourrir la vie à 70 ans, des peurs d’une démocratisation, pourtant inéluctable, de notre système politique, Rabbi Yehdi Ma Khlaq, mais l’Histoire jugera Koll al-Khalq)
Vœux entre deux feux !
« Incendie dans une grande surface, vite maîtrisé ». Normal vu les prix qui ont « flambé » et qu’on tente de maîtriser. Conclusion : le feu est arrêté grâce à la protection civile, mais le feu des prix nécessite un comportement civil, ce qui est plus difficile… Fathi EL MOULDI (Source: « Le Temps » (Quotidien – Tunisie) le 30 juillet 20110)Ouzifa Trabelsi : »La tunisie n’a aucun intérêt à s’unir au terrorisme »
C’est le résultat accablant d’un rapport sur la pénétration des Logiciels libres en Tunisie. L’étude qui promet de faire des vagues a été réalisée pour le compte du ministère des Technologies de la Communication. Et pour l’occasion, les inspecteurs de l’Education Nationale y vont aussi de leur grain de sel.
L’informatique est un outil bien présent dans l’enseignement secondaire, 97.9% des inspecteurs interrogés déclarent que l’informatique est intégrée à l’enseignement de leur discipline. Néanmoins plus de 45% des enseignants ignorent complètement l’usage de l’outil informatique ou disposent d’un niveau basique». C’est le résultat accablant d’un rapport qui fait un état des lieux sur la pénétration des Logiciels libres en Tunisie.
Ce rapport qui porte le titre «Étude stratégique sur les Logiciels Libres» a été réalisé conjointement par l’Institut de Sondage et de Traitement de l’Information Statistique (ISTIS) et la société d’ingénierie informatique MedSoft pour le compte du ministère des Technologies de la Communication. Il y fait un état des lieux sur l’utilisation et le développement des Logiciels Libres en Tunisie.
Manque d’infrastructure et d’espace dans les lycées
Parmi les secteurs passés au peigne fin, le rapport s’est également intéressé à l’utilisation de l’Open Source dans l’éducation secondaire. En préambule, ISTIS et MedSoft ont voulu mettre toute la lumière sur les racines du problème entravant la diffusion de la culture du Libre chez les élèves : «La disponibilité de l’espace et de l’infrastructure nécessaires représente l’un des facteurs clés à l’intégration des TIC dans les diverses disciplines. Plus de 26% des inspecteurs indiquent que cette infrastructure n’est pas toujours disponible et 38% disent qu’elle est moyennement disponible, contre 36% déclarant qu’elle est disponible».
Un autre point a été épinglé par ce rapport. Les professeurs sont parfois obligés de mettre la main à la poche pour enseigner ou diffuser une information sur le domaine informatique : «Environ 80% des enseignants utilisent aussi bien les moyens disponibles au niveau de l’établissement que leurs propres moyens». De ce fait, l’éducation numérique dans les lycées est disparate entre les régions et voire même entre les classes. Et pour cause : elle dépendra étroitement des moyens financiers et moraux de l’enseignant lui-même.
L’utilisation de l’Open source n’est pas obligatoire
Toujours d’après le rapport, «même si plus de 90% des inspecteurs déclarent qu’ils ont entendu parler du Logiciel libre, ceux qui en connaissent la définition ne représentent que 34%». Pire encore, «environ 16% seulement des inspecteurs sont informés des Logiciels libres disponibles et adaptés à leurs disciplines». La raison ? «L’utilisation du Logiciel libre n’est pas dictée par des programmes, elle est laissée dans 93% des cas à l’initiative des enseignants», rapporte cette étude.
Les professeurs dans les lycées sont donc libres de choisir les logiciels de leur choix pour enseigner l’informatique. En dressant un tableau des logiciels les plus utilisés par ces enseignants, on trouve au top 3 MS Office, Solid Works et Flash Player. Tous les trois sont propriétaires.
Le rapport conclut à la fin de cette étude sur le secteur de l’éducation secondaire que «le pourcentage d’enseignants maîtrisant l’utilisation des Logiciels Libres est estimé à environ 29% toutes disciplines confondues. Pour près de 85% des inspecteurs, les connaissances des enseignants ont été acquises par des initiatives individuelles non structurées».
La solution préconisée par la majorité écrasante (91.4%) des inspecteurs de l’Education Nationale ? Dispenser une formation obligatoire aux enseignant pour leur apprendre les fondamentaux de l’Open source, pour pouvoir enfin libérer les élèves des entraves propriétaires.
(Source: « Tekiano » le 30 juillet 2010)
Source: http://www.tekiano.com/tek/tek-news/3-4-2490/tunisie-45-des-profs-ignorent-l-informatique.html
La destination Tunisie relookée sur le marché britannique
Y’a-t-il une vie avant la mort en Tunisie ?
Par BIJU EN CE 25 JUILLET THERMIDOR, CHERS TUNISENS « FAITES LA REPUBLIQUE ». La liberté douce et dangereuse est mère de la république , res publica , chose publique , c’est-à-dire l’exercice de sa seule souveraineté par le peuple , mais la foireuse revendication de ben Ali , ou pire la pédante explication de certains pédants qui nous affirment que même dans la dictature , ses tenants et ses hommes de mains sont pour la république , la langue de bois de certains est aussi stupide que la propagande du régime , en Tunisie c’est pire qu’une monarchie éclairée , c’est le pouvoir absolu du bey de Carthage et cela n’a rien à voir avec la république ni de prés ni de loin. Res publica :la souveraineté d’un pays , exercée directement par le peuple à travers ses élus , c’est clair et net et ce n’est pas , cela n’a jamais été le cas en TUNISIE. Je ne sais rien des tunisiens éristiques , mais j’aime infiniment le feu qui dévore le tunisien d’aujourd’hui , quelque part il me dérange et ma quiétude et mes certitudes ,tant mieux , je suis vivant , ce feu ardent , il m’interpelle sur l’intime et l’universel et entre lui et moi tout coule de source , c’est le mystère du trou noir et du sens de la vie , je ne veux rien chercher et rien savoir de cette emprise qui me compresse l’esprit et l’âme , vivre son chaos me suffit amplement. La liberté comme le salut, comme un rêve, la liberté vivante, imposante et belliqueuse qui nous absout du dérisoire de la mort. La liberté dans la sève et le TOUT de l’acte accompli, n’importe quel acte, même celui des chiens. Morte même sous les décombres et l’opulence , brumeuse , brûlante , violente , nue , soudaine , sombre , puritaine , printanière , mutante , salope , gironde , traîtresse à sa propre folie, la liberté à tout prix. Celle qui nous envahit par le premier et le dernier cri. Celle qui entre par le silence, les mansardes des prisons et les portes défoncées.Et les yeux aveuglés, les bouches cousus et les poitrines écrasées. La liberté droite , oblique , tordue , sensuelle , contraignante , délinquante , dévoyée , délimitante , généreuse , calmante , sereine , franche la liberté dans le baiser de ma mère. Je t’adore maman, ce n’est la faute de personne, si la haine mauve ose tout, et qu’on ne veut pas s’abaisser à sa misère. Une seule et unique chose dans cette vie codée et codifiée, cernée de chiffres, de zooms et de miradors, dans cette horreur grise qui fait les crépuscules, c’est la liberté, 37,2 le matin, c’est pire que la plus nymphomane des maîtresses. C’est un état premier et second d’une totale disponibilité et d’amour et de jouissance, d’une totale ouverture vers le bonheur absolu parce qu’il se suffit à lui-même. LA LIBERTÉ. L’écrire et la revendiquer , en ces lieux de décombres qu’est ma Tunisie , c’est m’astreindre à un état de malheur linéaire et circonstancié , tellement nous sommes nous autres tunisiens au fond du gouffre depuis longtemps , nous avons touché le fond et nous creusons encore. Je n’ai rien à lui offrir. vingt ans et des murmures et un bilan général digne de papillon le bagnard. -Le temps d’exil et de coma de mon cher pote, frangin de la neuille, l’honorable maître de cérémonie SK. -Le temps d’exil même intérieur d’AZ, BEN SALEM, HAROUNI, ABBOU et ceux des dizaines d’oncles , de cousins emmurés et les larmes taries des visiteurs , le poids calamiteux des couffins de l’ordinaire pour le goût et pour la tendresse. -Le temps de la marée destructrice et haineuse du général FOLAMOUR de Carthage. -Le temps additionné de solitude, de mépris et d’humiliations de dix millions d’âmes qui font mon peuple chéri. -Où j’ai paumé mon flingue ???? La liberté qui nous incombe aujourd’hui ? c’est de se lever et marcher même crosse en l’air vers un destin que nous aurons imaginé et écrit tous ensemble , et ne parler de nous qu’en ce domaine divin où précisément tout le MOI s’évanouit :celui de l’amour de notre terre , et pour cela , les moroses , ne tournons pas le dos à nos vérités , je vous le dis , regardons nous une seule fois , vraiment , en face et ce qui est prédis impossible ne sera plus que l’écume des jours. La vie est la meilleure école contre Ben Atchoum la mort, car au jour d’aujourd’hui, dans ce village qui est le monde, chaque événement qu’elle nous propose peut devenir un support de la liberté. Là en ce lieu devant l’immensité du Djérid, la volupté océane du nord, la fièvre du sud et les aurores de nos quatre point cardinaux, devant la mer frangine et l’extase de sentir les miens, à la Tunisie tous reconnaissants, tous les miens ces tunisiens limités par l’ordure à l’injonction et aux interdits. JE SAIS. Que tant que l’âme de ma Tunisie n’est pas touchée, tant qu’elle méprise et oublie les rôdeurs à ses périphéries, l’espoir est en nous et la force aussi. Mais aussi tant que cette attente de liberté est pauvrement limitée à une adhésion intellectuelle, plus ou moins fluctuante, ON EST ENCORE VRAIMENT LOIN DU COMPTE. Oui tout doit être passé au tamis de ce corps social en dégénérescence planifiée ; inculquée par doses homéopathiques par des sorciers malfaisants. Concevoir la liberté comme faire l‘amour , ses réalités métaphysiques comme si on devait vivre l’éternité , écrire sur elles et les provoquer , en parler ne suffira jamais , il faut les atteindre pour enfin réveiller le volcan qui dort en chaque tunisien. Se lever et se détourner de toute spéculation inutile et toujours essayer de saisir l’essentiel, ce que sont la vacuité, la liberté, la connaissance, la culture, le débat, le courage, la tendresse et autres « abstractions » qu’on abandonne d’ordinaire aux pseudos élites autoproclamés, et qui sont généralement bornés face aux stigmates qui font une nation et un pays, je hais les poètes tunisiens qui parlent de beauté et qui pointent au sinistére de la torture de ben Ali. Depuis toujours dans notre Tunisie, il y’ a eu un mystère dans la vie courante, une permanence du merveilleux caché, combien de peuples et de passions dorment dans ses sédiments, dites moi ? c’est pour cela qu’à travers toutes nos luttes et nos souffrances et notre train-train quotidien , l’intuition ne doit jamais nous quitter , et veillons à ne jamais nous perdre de vue , que ce bonheur inouï , la liberté , cette joie ineffable , terrible et douce ne se trouve qu’en nous , dans le plus profond de notre être.Aussi , demandons à notre histoire , à nos anciens , à nos dinosaures et à nos maîtres , de nous rapprocher toujours de ce centre absolu et intime de notre pérennité , en nous aidant à écarter les voiles , les brumes et les brouillards de la haine et du mensonge , qui nous le dissimulent. On est jeune et libres , plein de vie et d’avenir et d’envies , le monde nous appartient , l’argent , les situations , les filles et tout le reste , nous sommes des milliers de jeunes tunisiens de part le monde qui au-delà de ces choses , notre cœur et notre esprit battent au diapason des fièvres de notre patrie.Il serait simple de dire à cette Tunisie chérie , nous on vit notre vie , TU NE NOUS CONCERNES PAS !! TU NE NOUS CONCERNES PLUS !!! Mais c’est terrible de se suicider, de mourir. C’est terrible la brûlure de ce cordon ombilical qui n’a jamais été brisé ni par le nom, ni par la parole, ni par la mémoire, ni par les cheveux gris de nos parents. C’est formidable, formidable dans son vrai sens lexique, ce lien aphrodisiaque, ce complexe d’oedipe que beaucoup d’entre nous ont avec la Tunisie. Plus fort et présent qu’avec ma mère, tout simplement et innocemment parce que ma mère chérie est vivante, vivante et heureuse. Mais pas ma Tunisie. Ouvrir nos esprits, ouvrir nos cœurs, ouvrir nos yeux, ne plus se croire, ni se sentir seul et à l’écart du monde, et pousser par notre fraternité et notre amour notre destin à s’accomplir malgré tout, malgré nous surtout. Être notre république occupée par les forces des ténèbres sans jamais renoncer à notre liberté, et surtout rester debout et s’endurcir à leur seule vérité. Réveiller ces légions de gisants qui s’épuisent à demander au temps qui passe si il y’a une vie après la mort. Ce qui est sûr c’est qu’il n’y’ a déjà pas de vie avant la mort dans cette Tunisie violée par ben Ali. TABARKA-TUNISIE 25 THERMIDOR
Les Tunisiens sont-ils de bons citoyens? Personnellement je ne le pense pas d’ailleurs si on lance un sondage sur le civisme. j’en suis sure que le résultat sera choquant.
De fait, les trottoirs sont toujours garnis d’ordures, partout, on trouve des restes de nourriture, des articles ménagers abandonnés, des paquets de cigarettes, des papiers d’emballage et des sachets en plastique.
La progression de façon importante du phénomène d’incivisme chez les tunisiens est constatée par ces tas d’ordures qui jonchent les rues
Ce constat est encore plus flagrant à la capitale de Tunis .
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la durée de vie de certains déchets :
Type de déchet |
Durée de vie |
mouchoir en papier |
3 mois |
journal |
3 à 12 mois |
allumette |
6 mois |
peau de banane |
8 à 10 mois |
mégots (tabac et papier) |
3 ou 4 mois |
mégots (tabac et papier) avec filtre |
1 à 2 ans |
Chewing-gum |
5 ans |
papier de bonbon |
5 ans |
canette en acier |
100 ans |
briquet en plastique |
100 ans |
canette en aluminium |
200 ans |
sac en plastique |
450 ans |
bouteille en plastique |
500 ans |
polystyrène expansé |
1 000 ans |
carte téléphonique |
1 000 ans |
le verre |
5 000 ans |
DONC, pensons sincèrement à etre des ECO-CITOYENS et commençons à réduire nos déchets
je vous propose qq « truc » :
1/ utilisez le couffin comme ça vous vous débarrassez des sacs de toutes espèces et de leur pollution
2/ n’entretenez pas et ne créez pas de décharges sauvages.
3/ n’achetez plus de produits à usage unique (style rasoirs jetables)
4/ le compostage
http://www.reduisonsnosdechets.fr/home1.html
surement, il y a d’autres solutions, si vous en avez n’hésitez pas à les donner en laissant un commentaire,..
je vous remercie pour votre interet et n’oubliez pas de sensibliser vos amis à cette action et de nous joindre sur le FB
« حتى تسترجع العاصمة « تونس » جمالها ونظافتها. »
https://www.facebook.com/event.php?eid=141659795859708&v=wall&story_fbid=141663265859361
merci
(Source: Infos-banks le blog de la Fouilleuse le 27juillet 2010)
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