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PDP Canada: Le gouvernementconservateur est le seul AU MONDE à refuser aux Tunisiens le droitde vote
Espace Manager: Tunisie: Yadh Ben Achour informe BCE de « la déclaration du processus transitoire »
Espace Manager: Tunisie: Kamel Eltaief s’explique sur l’enregistrement audio
Mediapart: Salah Karker, l’oublié de la révolution tunisienne
Slate Afrique: Où les enfants Ben Ali vont-ils faire leur rentrée?
Kapitalis: Tunisie. La vigilance quant à la constituante et Bardo1
Espace Manager: Tunisie: Hamma Hammami parle de « forces ennemies »
L’Instance Régionale Indépendante pour les Elections France-1 COMMUNIQUÉ
L’Instance Régionale Indépendante pour les Elections France-1 convie les listes candidates à une réunion d’information qui se tiendra le:
Mardi 20 septembre 2011 à 18H,
à l’Espace Famille
95, avenue de la République
93300 Aubervilliers.
L’ordre du jour de cette rencontre avec les listes candidatess’articulera autour des trois points suivants :
-détermination de l’ordre de présentation des listes par tirage au sort effectué sous le contrôle d’un huissier de justice,
-informations relatives à la campagne électorale,
-proposition et adoption d’un code de bonne conduite.
Pour des raisons de sécurité et dans l’attente de pouvoir vous accueillir dans un espace plus grand, seuls deux représentants par liste sont conviés (un pointage sera effectué à l’entrée). Nous vous remercions de bien vouloir tenir compte de cette contrainte, indépendante de notre volonté.
AMNESTY SECTION TUNISIENNE – CONFERENCE DE PRESSE
POLE DEMOCRATIQUE MODERNISTE
Fédérationdu Parti démocrate progressiste au Canada
Le18-09-2011
Communiquéde presse
Pourdiffusion immédiate
Le gouvernementconservateur est le seul AU MONDE à refuser aux Tunisiens le droitde vote
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LeParti démocrate progressiste soutient l’Ambassade de Tunisie auCanada et l’Instance Régionale Indépendante pour les Élections(IRIE) dans les démarches déployées afin de remédier à cettesituation et demande à la communauté tunisienne de se mobiliserpour sensibiliser l’opinion publique canadienne et défendre sondroit de vote et son droit à être représentée à l’AssembléeNationale Constituante. Il fait également appel à tous lesdémocrates, à la société civile et aux partis politiquescanadiens pour demander au gouvernement conservateur de réviser saposition afin de permettreaux Tunisiens au Canada de voter les 21 et22 octobre 2011.
La victoire d’Abdellatif Bouhjila
Tunisie: Yadh Ben Achour informe BCE de « la déclaration du processus transitoire »
M. Béji Caïd Essebsi, Premier ministre au sein du gouvernement transitoire, a reçu, lundi matin, au palais du Gouvernement, à la Kasbah , le président de la Haute instance pour la réalisation des objectifs de la révolution, de la réforme politique et de la transition démocratique, qui l’a informé de la teneur de « la déclaration du processus transitoire », afin d’examiner la possibilité d’élargir la liste des partis signataires. Il convient de rappeler que les partis représentés au sein de la haute instance pour la réalisation des objectifs de la révolution avaient signé, le 15 septembre écoulé le document de la déclaration du processus transitoire, élaborée à l’initiative de M. Yadh Ben Achour, et ce à l’exception du parti du Congrès pour la République. M. Ben Achour a déclaré que la rencontre a offert, également, l’occasion d’évoquer plusieurs questions qui se rapportent notamment au processus transitoire et à l’Assemblée nationale constituante. Il a également ajouté avoir informé le Premier ministre de l’intention de la haute instance d’organiser une cérémonie symbolique, le 13 octobre prochain, à l’occasion de la fin de ses travaux, soulignant que « cette action ne signifie pas nécessairement sa dissolution qui n’aura lieu qu’à l’occasion de la première réunion de la Constituante. » Source: “Espace Manager” Le 19-09-2011
Yadh Ben Achour et Béji Caïd Essebsi ne seront pas à la Présidence
Les élections de l’Assemblée Nationale Constituante le 23 octobre prochain, mais après ? Telle est la question que bon nombre de tunisiens se posent, entre temps, place aux rumeurs qui circulent annonçant le nom deBéji Caïd Essebsià la présidence de la République pour ensuite changer de visage et se tourner vers Yadh Ben Achour comme futur président de la Tunisie… sauf que pour le moment, nous nous sommes même pas sur du régime que les tunisiens choisiront, régime présidentiel ou parlementaire ?
L’actuel Premier ministre, M. Caïd Essebsi, a déclaré à maintes reprises qu’il honorera son engagement à quitter la scène politique suite aux élections. Quant au président de la Haute instance pour la réalisation des objectifs de la révolution,Yadh Ben Achour, aurait déclaré qu’il ne postulera à aucun poste.
Source: “Tixup” Le 19-09-2011
Tunisie: Kamel Eltaief s’explique sur l’enregistrement audio
M. Kamel Eltaief, personnage qui intrigue l’opinion publique en Tunisie, revient au devant de la scène à une poignée de semaines des élections prévues le 23 octobre 2011. Un enregistrement audio circule actuellement sur le net et aurait été réalisé par M. Eltaief à destination du Président déchu Ben Ali. Cet enregistrement (si jamais il est authentique) aurait eu lieu entre le 17 février 1991 et juillet 1992 puisque M. Eltaief aurait parlé au moment où Abdallah Kallel était Ministre de l’intérieur (nommé le 17 février 1991) et pendant que Ben Ali n’avait qu’une seule fille de son deuxième mariage (la deuxième étant née en juillet 1992). Dans cet enregistrement, M. Eltaief aurait mis en garde Ben Ali contre certaines personnes telles que MM. Chedly Nafati, Mohamed Chokri et Abdallah Kallel. Après les remous qu’a suscité cet enregistrement sonore,Espace Managera contacté M. Kamel Eltaief qui, tout en affirmant qu’il s’agit d’une vidéo truquée a fait la déclaration suivante:« la diffusion d’une telle vidéo est de la pure manipulation. Certaines parties ne veulent pas que des élections aient lieu le 23 octobre prochain et veulent ainsi créer, par tous les moyens, un climat d’instabilité dans le pays » Dans sa déclaration furtive, M. Eltaief a également parlé de la nature de ses rapports avec les sfaxiens. Dans la dernière partie de la vidéo M. Eltaief aurait mis en garde Ben Ali contre le danger que pouvait constituer M. Abdallah Kallel. Un homme qui avait placé des sfaxiens un peu partout. Par rapport à cette partie, M. Kamel Eltaief affirme que cette déclaration confirme qu’il s’agit bel et bien d’une vidéo truquée:« Comme tout le monde le sait, je n’ai aucun problème avec les sfaxiens et la meilleure preuve que je puisse vous fournir est que ma fille est mariée à un sfaxien ». Il est à rappeler que Kamel Eltaief, après avoir participé le 7 novembre 1987 à la destitution de M. Bourguiba, était disgracié totalement et avait même été poursuivi par Ben Ali suite à la publication d’une interview dans un journal français, en octobre 2001. Source: “Espace Manager” Le 19-09-2011
Figure emblématique du communisme tunisien, Mohamed Harmel n’est plus
Mohamed Harmel, figure emblématique et ancien secrétaire général du Parti communiste tunisien (PCT), devenu par la suite Ettajdid, est décédé, aujourd’hui dimanche 18 septembre 2011 à l’âge de près de 85 ans. Mohamed Harmel est un patriote respecté qui a participé activement à la lutte pour l’indépendance de la Tunisie. Alors qu’il effectuait ses études, il fut arrêté en 1949 après une manifestation. Libéré quelques mois après, il fut de nouveau arrêté et envoyé dans un camp à Teboursouk en 1951. Mais tout de suite après l’indépendance, il se retrouva dans l’opposition au sein du Parti communiste, interdit par Bourguiba. Réhabilité en octobre 1981, le PCT participa pour la première fois aux élections législatives de 1981 avant d’être renommé, en 1993, Mouvement Ettajdid. Il fut élu, député en 1994 et 1999 et poursuivit la direction du Parti jusqu’en 2007, année où il passa le flambeau à Ahmed Ibrahim, actuel secrétaire général d’Ettajdid.
Source: “Business News” Le 19-09-2011
Salah Karker, l’oublié de la révolution tunisienne
18 septembre 2011 | Par Lénaïg Bredoux et Mathieu Magnaudeix
Depuis le salon des Karker, au 7e étage d’une HLM d’Eaubonne (Val-d’Oise), la vue sur le quartier populaire des Dures Terres est imprenable. Ce paysage, Salah Karker le connaît par cœur. L’homme ne sort plus de chez lui. Ou sinon pour de petites balades devant l’immeuble, «quelques minutes seulement, après il a des vertiges», dit sa femme, Samira, qui lui consacre tout son temps.
Salah Karker a 63 ans, mais il fait bien plus. Un accident vasculaire cérébral en 2005 l’a gravement handicapé. Selon son médecin, il est hémiplégique du côté droit, ne peut plus«verbaliser les pensées et les émotions», souffre d’«hypotonie», une intense fragilité musculaire.
Karker fut dans les années 1980 une tête pensante du mouvement islamiste tunisien. Un des fondateurs en 1989 de ce qui allait devenir «Ennahda» (Renaissance), parti interdit sous Ben Ali, à nouveau autorisé depuis la révolution. Mais aujourd’hui, il ne peut plus lire ni écrire, parle avec d’immenses difficultés. Cherche ses mots pendant de longues secondes. Les trouve rarement, tant son vocabulaire est limité. Samira l’encourage. «Que veux-tu dire, Salah?»Il lève les bras, dans un geste d’impuissance, rictus gêné.
Pour les autorités françaises, Salah Karker reste pourtant un dangereux islamiste. Malgré la révolution de janvier 2011 en Tunisie, l’Etat français n’a toujours pas abrogé l’assignation à résidence décidée en 1993 par le ministre de l’intérieur de l’époque, Charles Pasqua. Les anciens chefs politiques d’Ennahda sont revenus d’exil après la révolution, ils sont même candidats aux élections de l’Assemblée constituante, prévues le 23 octobre. Mais la France continue d’avoir peur de Salah Karker. Assigné à résidence à son propre domicile, il ne peut quitter le territoire communal.
Son avocat, Jean-Daniel Dechezelles, a déposé un nouveau recours en février auprès du ministère de l’intérieur. Pas de nouvelles, depuis, des autorités, sauf pour demander des pièces complémentaires. Contacté, le service de presse du ministre de l’intérieur, Claude Guéant, indique que «la demande d’abrogation de l’arrêté d’expulsion et par voie de conséquence de l’assignation à résidence est instruite par les services», sans faire davantage de commentaires. «Il faut arrêter de m’embêter, de m’accuser, articule péniblement Karker. Il faut me laisser vivre ma vie, maintenant.» «Vivre ta vie, mais quelle vie, Salah? Tu ne peux même plus sortir…», lui répond Samira.
Depuis 1993, Salah Karker n’est plus libre de ses mouvements. Guerre civile en Algérie, attentats… La France vit alors dans la hantise de l’islamisme. Le ministre de l’intérieur, Charles Pasqua, se fait fort de traquer les réseaux islamistes en France. En octobre 1993, le ministre signe de sa main un arrêté d’expulsion en «urgence absolue». «Salah Karker (…) apporte un soutien actif à un mouvement terroriste présent en France et dans d’autres pays européens. En raison de l’ensemble de son comportement, l’expulsion de cet étranger constitue une nécessité impérieuse pour la sûreté de l’Etat et la sécurité publique.»
Pourtant – et Pasqua le sait bien –, Karker est inexpulsable: condamné à mort en Tunisie en 1987, il a fui et obtenu l’asile politique en France l’année suivante. Le ministre de l’intérieur signe donc un second arrêté qui l’assigne à résidence dans le Finistère. Charge au préfet de lui trouver un point de chute. A l’époque, la France et la Tunisie de Ben Ali travaillent main dans la main pour lutter contre les islamistes – en Tunisie, la répression est féroce, à coup d’emprisonnements et de torture.«Ben Ali était un bon supplétif des Occidentaux notamment dans la lutte contre les islamistes», rappelle Jean-Daniel Dechezelles. Selon lui, l’ordre de neutraliser Karker est venu directement du Palais de Carthage. «C’était un accord tacite entre les deux Etats», dénonce Salah Karker.
Une situation absurde, aussi légale qu’arbitraire
Pour le chef islamiste, c’est le début d’une longue succession de résidences surveillées en France. Le préfet du Finistère, Christian Frémont (aujourd’hui directeur de cabinet de Nicolas Sarkozy à l’Elysée), l’envoie d’abord au large, sur l’île d’Ouessant. Puis le rapatrie sur le continent, dans un hôtel de Brest, avec plusieurs agents des renseignements généraux pour le surveiller en permanence – la facture est alors estimée à un million de francs par an, selon un syndicat de police.
Karker est ensuite expédie à l’autre bout de la France: Saint-Julien-de-Chapteuil et Cayres (Haute-Loire), puis Digne-les-Bains (Alpes-de-Haute-Provence), où il restera près de dix ans.«Ils choisissaient les endroits les plus éloignés pour qu’ils soient difficiles d’accès», raconte Jaafar Karker, 32 ans, l’aîné des six enfants de la famille, ingénieur en Suisse. «Une fois, on a même dû sortir des banderoles pour que les RG se décident à venir nous chercher à la gare», se rappelle Samira.
La famille a multiplié les recours devant le Conseil d’Etat, la Cour de cassation, la Commission des droits de l’homme des Nations unies. Sans succès. Tout au long de ces années, Karker est resté dans une zone grise du droit: assigné à résidence sans être sous le coup de la moindre procédure judiciaire. Une situation absurde, aussi légale qu’arbitraire.«Si je suis coupable d’avoir commis des actes délictueux; ma place n’est pas dans une chambre d’hôtel mais en prison. Lorsque je demande ce que l’on compte faire de moi, je n’ai droit qu’au silence», explique-t-il au Provençal en 1995.
Le 15 janvier 2005, Salah Karker fait un accident vasculaire cérébral. La surveillance policière s’est relâchée. De longues heures se passent avant qu’il ne soit emmené à l’hôpital de Digne. L’hémorragie a comprimé le cerveau. Un mois de coma. Les séquelles sont lourdes. Pendant quelque temps, Karker perd la mémoire. Il l’a aujourd’hui retrouvée, en partie seulement.
Malgré ce grave incident de santé, la France n’a jamais abrogé les arrêtés de 1993. Tout au plus Karker est-il autorisé à rentrer chez lui. En 2007, sa femme intente un nouveau recours. «Sa présence est toujours de nature à menacer gravement l’ordre public», lui répond le ministère de l’intérieur. «L’Etat n’annule jamais ses propres décisions. Ce serait reconnaître que la France a pris un jour une décision inique sur le plan juridique et des droits de l’homme», dénonce l’avocat.«C’est injuste… c’est déplorable… c’est absurde… Moi je suis toujours ici, je ne fais que dire la même chose, mais les diplomates français ne veulent pas voir», dit Salah Karker, épuisé – «au bout de vingt minutes, il fatigue», explique sa femme.
Salah Karker n’a ni carte de séjour ni revenus, à part l’aide médicale d’Etat qui prend en charge ses soins. Le couple vit grâce aux dons de ses enfants et au RSA de Samira, à qui la France refuse la nationalité au motif qu’elle vit de prestations sociales et qu’elle soutient «les théories développées par [son] époux». «Si, actuellement, la position officielle de l’organisation Ennadha vise à promouvoir, à travers des moyens légaux et pacifiques, la cause de l’islam en Tunisie, son objectif, à la fin des années 1980, était de s’emparer du pouvoir par les armes afin d’y instaurer un Etat islamique», lui a écrit en avril 2010 un haut fonctionnaire du ministère de l’immigration.
Fondateur en 1989 du Mouvement de la tendance islamique (MTI) devenu ensuite Ennahda, Salah Karker reste comme ses anciens camarades Rached Ghannouchi ou Abdelfattah Mourou un personnage contesté en Tunisie. Dans les années 1980, Karker et ses amis défendaient un islam radical. Karker a été emprisonné trois ans sous Bourguiba, période où la répression anti-islamiste battait son plein. Certains voient la main du parti derrière les attentats des 2 et 3 août 1987 à Monastir et Sousse, dans lesquels treize personnes avaient été blessées.
Mais aujourd’hui, le paysage est bien différent. Rached Ghannouchi, le leader d’Ennahda, parti qui pourrait réaliser un score substantiel aux élections à la Constituante du 23 octobre, se revendique d’un islam ouvert, sur le modèle de l’AKP en Turquie. Quant à Salah Karker, il a depuis plusieurs années renoncé à l’Etat islamique. «Il a eu le temps de réfléchir…», dit son fils Jaafar. «Je me suis dit au début des années 2000 que l’urgence, c’était un Etat de droit… que Ben Ali s’en aille», dit Karker. «Il faut laïciser le mouvement islamiste, expliquait-il à Libération en 2002, avant son AVC. Islamiste, je n’aime pas le mot. Je suis tunisien, musulman pratiquant, démocrate, prônant la séparation de l’Etat et de la religion.» Ennahda l’a même exclu en 2001, jugeant ses propos trop édulcorés. Il entretient désormais des relations polies, sans plus, avec ses anciens amis.
Vu son état, Salah Karker a de toute façon renoncé à l’activité politique. «Moi je ne fais rien parce que je ne peux ni parler, ni réfléchir.» Quant on lui demande ce qu’il pense de la révolution, son visage s’éclaire. «Je suis content… Ben Ali c’est fini, comme par miracle… La révolution, c’est une joie pour tout le peuple tunisien…. Elle avance tout doucement.»
Salah Karker voudrait juste retourner une fois en Tunisie, ce pays qu’il a quitté en 1988. «Une semaine, et je le ramène pour pas qu’il fatigue trop», soupire Samira. A condition, évidemment, que le ministère de l’intérieur lève enfin l’assignation à résidence à laquelle Karker, prisonnier sans jugement ni prison, est assujetti depuis dix-huit ans.
Tunisie : Un compte, avec plus de 17 MDT, à la HSBC de Belhassen Trabelsi
Selon une information rapportée, ce dimanche, par le journal suisse tsr.info, l’homme d’affaires gendre de l’ancien président tunisien en fuite, détiendrait un compte de 11 millions de francs suisses (17 735 632,964 MDT) à la HSBC Private Bank de Genève et qui représenteraient un sixième des 60 millions d’avoirs tunisiens bloqués en Suisse suite à une ordonnance de gel du Conseil fédéral. «La TSR a ainsi appris que HSBC Private Bank (Suisse) avait eu d’étroites relations d’affaires, durant des années, avec Belhassen Trabelsi, le beau-frère notoirement corrompu du président déchu tunisien Ben Ali. Au point de lui ouvrir un compte en banque sur les bords du Léman, compte qui abrite aujourd’hui plus de 11 millions de francs», indique le journal qui assimile cela à une action de blanchiment d’argent de la part de la banque suisse.
Rappelons à ce propos que le montage financier des Holding propriétaires de Carthage Cement (Bina Holding et Bina Corp) lorsqu’elles appartenaient à Belhassen Trabelsi, avait été faits par la banque suisse HSBC de Londres et a eu un contrat en «success fees » d’un montant avoisinant les 1,5 MDT avec la holding de Lazhar Sta (Groupe Majus) pour les levées tunisiennes et étrangères pour la création du projet, et cela pendant deux années (2008 et 2009).
Source: ”African Manager” Le 19-09-2011
Lien: http://www.africanmanager.com/detail_article.php?art_id=135516
Où les enfants Ben Ali vont-ils faire leur rentrée?
Depuis son départ précipité en janvier 2011, l’ex-présidentZine el-Abidine Ben Aliet sa famille sont en exil à Jeddah, en Arabie saoudite.
Tandis queles premiers volets de son procèsse sont déroulés à Tunis par contumace, le dictateur déchu, qui assurait le 17 septembreavoir l’intention de rentrerune fois le pays«stabilisé», revient vers la Tunisie non pas pour ses propres intérêts, mais ceux de ses enfants.
Il semble en effet que le gouvernement provisoire tunisien n’ait pas remis aux Ben Aliles carnets scolaires de ses deux enfants, empêchant de fait une éventuelle réinscription dans un pays étranger:
«Ben Ali accuse l’Etat tunisien de ne pas délivrer les carnets scolaires de sa fille Halima (18 ans) et de son fils Mohamed (7 ans) aux autorités canadiennes pour qu’ils puissent continuer leurs études. Il compte s’adresser au Premier ministre Beji Caïd Essebsi pour qu’il intervienne et mette fin à de pareilles pratiques contre ses enfants. Ces derniers n’ont rien à voir avec la politique pour qu’ils soient privés de poursuivre leurs études», a indiqué son avocat, Makram Azouri.
A la poursuite des membres de l’ex-famille présidentielle, la piste du Canada n’a jamais été écartée. Cette récente déclaration laisse donc entendre que les enfants de l’ex-président sont déjà au Canada, oùleur oncle, Belhassen Trabelsi, pourrait les recevoirou bien comptent s’y rendre prochainement.
Par ailleurs, Ben Ali aurait joint son avocat ainsi que plusieurs ex-collaborateurs pour leur faire des révélations et assurer qu’il ne les a pas lâchés et qu’il ne s’est pas «enfui» du pays:
«il y a eu un complot contre Ben Ali, actuellement hôte privilégié de l’Arabie saoudite et point à la ligne. Ce complot a été tramé pour l’obliger à quitter immédiatement le pays et le renverser. Mon client dévoilera bientôt à son peuple des secrets», souligne maître Azouri.
L’avocat est progressivement devenu le porte-parole de Ben Ali. Dans une interview accordée auquotidien saoudien Achark al Awssat, ce dernier revenait sur les accusations à l’encontre de son client, concernant notammentles ordres de tirs sur les manifestants:
«Mon client est en train de subir une campagne de dénigrement qui nuit terriblement à son image. Aucun ordre de Ben Ali n’a été donné pour faire tirer sur les manifestants et les conversations téléphoniques entre les ministères de l’Intérieur et de la Défense sont toutes enregistrées».
Source: “Slate Afrique” Le 19-09-2011
Lien: http://www.slateafrique.com/42503/tunisie-enfants-ben-ali-exil-scolaire
Mariages en Tunisie: la hausse de l’or fait le bonheur des bijoutiers
En Tunisie, la révolution a plombé les ménages et l’économie est en récession. Mais, tradition oblige, les bijoutiers continuent de se frotter les mains: même si l’or flambe sur les marchés mondiaux, les jeunes mariés continuent à se saigner pour acheter des bijoux. Après un répit pendant le mois du ramadan, au cours duquel les rapports sexuels sont interdits de l’aube au coucher du soleil, la saison des mariages a repris de plus belle en Tunisie depuis l’Aïd el-Fitr. La tradition veut que le jour de la cérémonie la mariée porte des bijoux en or -colliers, boucles d’oreille, bracelets et bagues- offerts par son futur mari. Or le cours de l’or bat des records: les crises économiques et financières et l’instabilité politique au Moyen Orient inquiètent les investisseurs mondiaux qui se rabattent sur des valeurs refuge à l’instar du précieux métal. Dernier record en date: l’once d’or a dépassé le 6 septembre les 1.920 dollars. A ces prix-là, les bijoutiers vendent moins. Mais ils ne sont pas pour autant perdants. « La grande partie de mes 40 kilos de marchandise a été acquise quelques années auparavant, » déclare Aslem Fakhfakh, 23 ans et déjà gérant d’une bijouterie dans la médina de Tunis. « Quand je vends un bijou démodé, je le fais au prix actuel », reconnaît-il, ravi. Et si les bijoux sont vraiment trop démodés, il suffit de les fondre et de les retravailler. « S’il y a une guerre, comme maintenant en Libye, la monnaie, le bâtiment et plein d’autres choses perdent de leur valeur.Seule l’or va crescendo », poursuit-il. Dans la minuscule boutique d’une vingtaine de mètres carrés, puissamment éclairée pour faire scintiller les bijoux, une dizaine de clients venus en famille se bousculent. Mais pour les Jridi qui arpentent le souk en couple, il n’est pas question d’acheter. Ce soir, c’est prospection. Même s’ils se marient dans un mois, ils veulent prendre le temps de choisir. « J’ai dû renoncer à beaucoup de choses », regrette Mahmoud Jridi, qui compare avec sa future femme les prix des bijoutiers du souk de la rue de la Berka. « On s’est passé du voyage de noces à cause des bijoux, en attendant d’avoir les moyens d’aller ensemble quelque part, mais vraiment, les prix sont brûlants, brûlants », déplore-t-il. Sa future femme, un sourire en coin, acquiesce: « Je pense que les personnes aux faibles revenus ne pourront pas acheter des bijoux à ces prix-là. Dieu merci, on en a les moyens ». Le couple cherche une parure. C’est le produit phare pour les grandes occasions: collier, boucles d’oreilles et bracelet. « Il y a dix ans, une parure pesait environ 100 à 150 grammes, mais aujourd’hui, elle ne pèse plus que 20 grammes », raconte le jeune vendeur se voulant rassurant avec des clients effarés par les prix. Autre produit vedette: les alliances, baptisées en Tunisie : +solitaires+. Aslam répète à chaque personne intéressée qu’il ne peut pas vendre ces bagues au poids, car ce dernier ne prend pas en compte la main d’œuvre ou la certification par la douane. Une chose est sûre, conclut-il: tous les clients de sa joaillerie finissent toujours par dépasser le budget qu’ils s’étaient fixés initialement.
Source: “Liberation” Le 19-09-2011
Lien: http://www.libe.ma/Mariages-en-Tunisie-la-hausse-de-l-or-fait-le-bonheur-des-bijoutiers_a21612.html
Tunisie. La vigilance quant à la constituante et Bardo1
Par Abderrazak Lejri
Le débat politique est faussé par le déficit de morale de certains partis, animés de motivations électoralistes étriquées, opportunistes et mercantiles.
Les partis Upl, Pdp et d’autres n’ont pas obtempéré à l’interdiction de publicité dictée par l’Instance supérieure indépendante des élections (Isie) instaurée à partir du 12 septembre et font toujours la sourde oreille aux appels à publier leurs comptes ou tout au moins à décliner leurs sources de financement, tant l’étalage d’énormes moyens est ostentatoire et suspect.
Des arguments fallacieux et des motivations électoralistes
L’argument fallacieux d’absence de justification légale à la décision de l’Isie ne convainc personne et à supposer que ces partis estiment ne pas être au-dessus de la loi, ils n’en sont pas moins en-dehors du consensus national accepté par tous.
Le second argument de nécessité de compléter la présentation de leurs programmes aux citoyens ne tient pas non plus, car dans le cas d’espèce, ce n’est pas l’objet des élections du 23 octobre, le vote étant destiné à choisir essentiellement les personnes estimées par les électeurs les plus probes et les plus dignes de les représenter dans la période transitoire de rédaction de la nouvelle constitution et d’organisation des élections législative et présidentielle.
Or avec l’agissement de leurs responsables, ces partis ont dévoilé davantage leurs motivations électoralistes, étriquées, opportunistes et mercantiles. Ils ont fait fi du respect de la morale et de la chose publique, et éclairé, ce faisant, les citoyens – qui ne l’étaient pas déjà – sur ce dont ils sont capables et ce bien avant qu’ils soient investis d’un quelconque pouvoir.
Ce n’est pas un hasard que ce soient les mêmes partis dont les leaders sont dévorés par une ambition démesurée d’accéder au pouvoir, qui ont fait montre d’un ego qu’ils ont du mal à dissimuler et qui ont déployé de grands moyens qu’ils ont toujours esquivé de justifier, ayant démissionné avec d’autres de la haute instance Ben Achour dès lors que la nécessité de transparence du financement des partis a été mise sur le tapis.
Référendum et craintes de dérive de la Constituante
Quand Kasbah 2 a arraché l’engagement du gouvernement provisoire pour la nécessaire refondation d’une deuxième république par l’appel aux élections d’une Constituante, les Tunisiens étaient loin d’imaginer qu’il fallait intégrer le comment faire par le positionnement notamment de la problématique de la durée au quoi faire (prérogatives et attributs de cette assemblée provisoire).
D’ailleurs, on n’imagine toujours pas comment les 217 personnes élues à la Constituante vont s’y prendre à 434 mains pour rédiger un texte consensuel fédérant sur la forme et le fond l’ensemble des points de vue sur la vision de la république de demain.
Les craintes exprimées par beaucoup de citoyens de donner un chèque en blanc à une assemblée (même élue, qui va concentrer provisoirement les trois pouvoirs) sont motivées par l’expérience du passé, l’image négative associée aux politiques en général et aux opportunistes de tout bord révélés après la révolution, la duplicité du discours de certaines formations politiques et le soupçon légitime d’existence de forces occultes qui sont à la manœuvre pour remplacer une dictature par une autre notamment théocratique.
Il n’y a qu’à rapprocher les agissements de Ben Ali qui nous a roulés dans la farine pendant les 21 ans de pouvoir sur les 23 par rapport aux engagements de la déclaration du 7-Novembre et la période de grâce des deux premières années de son règne.
Même si techniquement le référendum (que certains ont même eu le culot de qualifier d’antidémocratique) sur les 3 ou 4 questions essentielles est jouable concomitamment avec les élections du 23 octobre, on peut comprendre ses détracteurs qui estiment que cela perturbe l’agenda politique – les Tunisiens ayant eu du mal à assimiler la problématique de la Constituante – sauf ceux qui ont des arrière-pensées, et qui comme d’habitude se sont dévoilés (ils sont toujours les mêmes).
Un Bardo 1 à la place d’un Kasbah 4
Le débat pour ou contre le référendum est instructif et formateur pour le citoyen quelle que soit la disposition prise in fine et ne constitue en soi ni une déviation ni un chahut inutile.
Sur la durée – sauf à vouloir s’incruster – les membres de la Constituante élue seront capables de débattre et rédiger la constitution en moins de 6 mois et d’appeler aux élections législative et présidentielle dans le semestre suivant.
Sans verser dans l’angélisme et en considérant la bonne foi de chacun ou a contrario dans le scepticisme et le doute, on peut accorder aux membres élus de la Constituante un préjugé favorable d’autant plus que près de 50% des listes sont constituées de membres de la société civile qui à part quelques opportunistes- sont mus par une volonté sincère de servir la nation.
Reste que la vigilance ne doit jamais être relâchée, car il sera toujours temps (comme l’ont fait les Egyptiens en rappelant aux militaires leurs engagements non tenus de passer le pouvoir aux civils après 6 mois) de provoquer en lieu et place d’une Kasbah 4 (la 3 ayant échoué) un Bardo 1 (la Constituante devant siéger au palais du Bardo en attendant le parlement issu des législatives).
* Membre de la Ligue tunisienne pour la citoyenneté, Pdg du Groupement Informatique.
Source: ”Kapitalis” Le 19-09-2011
Tunisie : Le visa du Parti Pirate refusé par le Ministère de l’Intérieur
Par Mohamed Jebri
leheddine Kchouk se prépare à annoncer la légalisation de son parti au cours d’une conférence de presse qui se tiendra dans les deux prochaines semaines. Mais le Ministère de l’Intérieur précise qu’un avis de refus a été formulé au dirigeant du PPT. Ultime épisode de notre trilogie pirate.
Après avoir donné la parole aux différentes parties concernées dans le différend qui sévit actuellement entre les membres du PPT, nous réserverons ce dernier épisode de notre enquête à la question de son visa, qui, selon les dires de Sleheddine Kchouk se fait encore attendre. Pour rappel, dansl’interviewqu’il nous a accordée, le président du Parti Pirate Tunisien a assuré que suite au silence administratif ayant duré plus de trois mois du Ministère de l’intérieur quant à leur demande, et conformément à la loi régissant la composition des partis politiques, le PPT serait en mesure d’annoncer sa légalisation dans la conférence de presse qu’il organisera dans les deux prochaines semaines.
Le PPT «légalement» reconnu…
La rédaction de Tekiano a consulté l’avocat Kaïs Berrjab, également blogueur surCool Breakfastpour s’enquérir du bien-fondé des déclarations de Sleheddine Kchouk, alias «Le loup». «Ayant déposé leur demande d’agrément à la date du 9 mai 2011, les fondateurs du Parti Pirate Tunisien sont maintenant appelés à publier une annonce légale dans le JORT pour certifier le statut juridique de leur parti à travers le numéro de référence de leur dossier indiqué dans le récépissé qui leur a été fourni par le Ministère de l’intérieur. L’article 9 du chapitre 2 de la loi organique N°88-32 du 3 mai 1988 organisant les partis politiques stipule que le silence de l’administration jusqu’à l’expiration d’un délai de quatre mois à compter de la date du dépôt de la déclaration et des statuts, selon les formes prévues à l’article 11 de la présente loi, équivaut à acceptation» nous explique Kaïs Berrjab. «A un mois près, et à défaut d’avoir reçu un avis de refus, les affirmations de Sleheddine Kchouk sur la situation légale du PPT sont, donc, vraies» ajoute Me Berrjab.
Le Ministère de l’intérieur dévoile sa position
Lors d’une conversation téléphonique avec Slim Amamou au sujet du visa du PPT, les indiscrétions de notre interlocuteur nous ont mis la puce à l’oreille. «Je crains fort que la requête de Kchouk ait été déjà refusée par le Ministère de l’intérieur. Mais que le président actuel du PPT évite de l’annoncer de peur que d’autres intéressés se jettent sur l’occasion pour ressaisir le coup avec plus de sérieux. Je suis personnellement prêt à formuler une nouvelle demande au cas où celle de Kchouk est désapprouvée» avoue Slim Amamou.
Suite à cette discussion, Tekiano a pris contact avec la cellule de communication du Ministère de l’intérieur pour vérifier les allégations des uns et des autres. Et selon le Ministère, le dossier de constitution du Parti Pirate déposé par Sleheddine Kchouk, a bel et bien été refusé à la date du 6 juillet 2011. La cellule du ministère chargée des partis politique a même envoyé une lettre recommandée à l’adresse indiquée dans la demande qui leur a été fournie le 9 mai pour avertir les instances du PPT du refus, pour non-conformité avec la Loi sur les partis. «M. Sleheddine Kchouk est au courant, il est venu lui-même récupérer les papiers. Il faudrait qu’il revoit sa copie s’il tient à recevoir l’aval légal pour ce parti» nous a-t-on précisé.
Affaire classée. Même si notre enquête a pris un tournant tragique dans son éplilogue. Et que, contrairement aux chutes des trilogies classiques, le meilleur n’a pas été réservé pour la fin. Le Parti Pirate Tunisien, avorté encore au stade de fœtus (sans mauvais jeu de mots!), arrivera-t-il a renaître de ses cendres?
Source: ”Tekiano” Le 19-09-2011
Tunisie: Hamma Hammami parle de « forces ennemies »
A l’occasion de l’inauguration du nouveau local du parti dans la région de Kebili, le parti communiste des ouvriers de Tunisie (PCOT) a organisé, dimanche 18 septembre 2011, une manifestation culturelle marquée par une intervention du secrétaire général du parti, M. Hamma Hammami et un débat sur la situation générale dans le pays. Au cours de cette rencontre, le secrétaire général du PCOT a réaffirmé le refus de son parti d’organiser un référendum qui constitue une sorte de « violation de la volonté du peuple et une tentative de marginaliser l’assemblée nationale constituante qui sera la seule institution légitime dans le pays après le 23 octobre 2011. » Les campagnes de dénigrement lancées contre le PCOT sont menées par « des forces ennemies » qui ne croient pas en les principes révolutionnaires du parti dont, notamment, l’ouverture des dossiers de la corruption, a-t-il soutenu. Et M. Hammami d’enchaîner en critiquant le rendement du Gouvernement provisoire. « Ce Gouvernement, estime M. Hamma Hammami, n’est que le prolongement de la politique du président déchu, une politique fondée sur la dissimulation de la vérité et l’attachement au pouvoir », appelant à dissoudre ce gouvernement après l’élection de la constituante.
Source: ”Espace Manager” Le 19-09-2011
Lien: http://www.espacemanager.com/politique/tunisie-hamma-hammami-parle-de-forces-ennemies.html
Abdelaziz Mzoughi agressé (mise à jour)
Abdelaziz Mzoughi, avocat et tête de liste indépendante pour les élections de la Constituante, a été victime d’une agression, ce soir du 18 septembre 2011 vers 19 heures à Mornaguia, par un individu. Nous avons appris, par ailleurs, que M. Mzoughi semble s’être tiré sans trop de casse alors que son agresseur aurait été identifié et est activement recherché. Affaire à suivre… Mise à jour à 22:51 Sur son profil Facebook, Abdelaziz Mzoughi a déclaré : « Je me suis effectivement fait agressé par un inconnu dont je ne connais pas les motivations, aujourd’hui à 18 h30 à la Mornaguia. Je me porte très bien. Ce n’est pas un tabassage et le type n’est pas un barbu ( du moins en apparence). J’ai quand même porté plainte et l’agresseur est presque identifié. Car la violence est inadmissible. Ceux qui veulent nous intimider en seront pour leurs frais. Je continuerais à me battre pour ce pays dans la légalité et dans le respect de toutes les opinions. »
Source: “Business News” Le 18-09-2011